La prédiction astrale I / The astral prediction I

Au prix auquel le lutin patient et dépensier, Pollion, tel un boursier diplômé, de cette assemblée mirifisée de clochetants, a du payer, d'ordinaire de leurs vies, malgré la sordidité de ces entourloupes, au gré des vices du djinn, donnant de telle sorte qu'il soigne, au coin du feu, le secret qui les lie, ensemble, des laissez-passer étranges, vers la terrible trouée, il aurait, comme le grognonnaient ces autres taïautés, du profiter, à pleine dent, de ces profiteroles, de ces noisettes, et, ces châtaignes. Les breloques revenant assez chers, aussi chers qu'un baveau de viande, les sautées de lutins, et, de gnomes, qui sont tortueusement fris, dans ces incompréhensibles recloîtreries, et, recluseries, s'échardent, avec des lamelles de bois, allumettées jusqu'à avoir, en main, ce ridicule pouvoir allumique, et, s'écharnent, jusqu'à que l'un d'entre eux, flanellant couveusement le cadran temporel, rayonnant depuis peu, la sanctifiable reconquête, dessine, grâce à sa mémoire eitidisée, au contraire d'être idiotisée, la voie vers la sainte chapelle, couronnée de timides blanches lueurs, purifiant l'âme. Dans le bain de foule totalement calcifié, où, l'assemblée des clochetants, galérants, anordissant, jusqu'à mettre à la raison le fait de récurer continuellement, nettoyer détacheusement toutes les tachettes sur des éléments composant du temps, les chemins de traverse, galérinant sous terre, qui étaient comme des cloches, plus précisément, sous des cloches dômes, oubliant leurs conserveries, les sardinant, comme impassibles au déluge de feux, aux rouilles des fabriques métalliques, après avoir tragiquement élu la croix des chemins, en les allaitant de vérité, ces pauvres esseulés, fut vue, la dernière fois, il n'y reste que désœuvrement et pénitences. Ramassoyant les cendres résurrectives, par cette montée d'ombres, étuvant un mal bien plus grand, personne n'atermoie ici, dedans, dans le vacuole. Pendant que la quintessence du combat des croyants, à peine, étouffée, ici, où, il n'y a plus rien, rend incandescent, par la plus grande des surprises, d'autres brandons, dans d'autres camps pré-carrés, les décroiseurs flegmés, grillant aussi tout, aux nombreuses exbourrades, émonderaient, à nouveau, ces amandiers, sous terre, à moins qu'il y a toujours des miniatures espiègles minus. C'est que les marmots, dont l'unicité dans l'entraide ne varie guère, marmottant, dans ces trous de taupiers, rappellent qu' il n'y a guère de vie, qui puisse résister, sur ces tranches, ressemblant à des dédales infernales, précédant l'entrée aux enfers, aux prises avec les diables morfales, tout le long desquels, les éruptions maléfiques font conjonguer, au sanction terrible pour ceux n'ayant guère reçu le tenet de ces ordonnancements, les plissures, ceinturent, jusqu'à les obliger à creuser, en-deça de cette ligne imaginaire.  

Tant pis, s'il n'est qu'un lâcheur, aux yeux de ses communiants, avec les ancêtres herboriaux, la   conclave végétalisée, s'appuyant sur les roches ferrifères, comme des gisements rares de  gravitoniums, n'avance plus sur ce chemin froid, glacé, jusqu'à aimer, le fondreur de ses pas, dans la neige, à la fois, magnanime et super-actif, Pollion, faire ses premiers pas. C'est, à l'arrivé surgissante, dans ce pic encoluré de blanchâtres ballets de nuages, de la montagne enculée dans ces culs-de-monts, que Pollion, l'itinérant, titule, avec les propres mots de ses pères spirituels, de l'astrphysique.   

Pollion, les druides : A l'aurore de ce monde caché, d'autrefois, dans lequel les nouvelles compositions du monde s’agrégeant, de manière antagoniste, comme cherchant un équilibre parfait, pour vivre, juste simplement, à la surface des mondes, sont les suivantes : l'atomicité, la pluie cométaire, la plume iriscente, l'aurore rouge, et, l'aurore verte, tels les gémellisés de pouvoir à maintenir la vie, la borée, le foret, puis, toutes les autres composantes satellitaires. Que le sésame ouvre le trou de passage blanc, vers le palais plutonique, là ailleurs, où, le soleil timide ses rayons.   

At the price at which the patient and buying everywhere sprite, Pollion, such as a diplomate moneyed one, of this mirific assembly of the ringed ones, has own, of ordinary of their lifes, in spite of the dullness of these mishaps, as the vices of djinn, giving a such way that he is taking care, at the corner of the fire, the secret that links them, altogether, odd passes, towards the terrible hole, it would have enjoyed, as these other accursed ones are grousing, of starvation, at full bite, of these foods. The goodies being enougly costly, as costly than a piece of meat, the seasonnings of the sprites, and, gnoms, that are, as torture, fried, in these understandable hulled places, are duelling with each other, with wood pieces, such as igniting woods, till having, in hand, this laughable  power of scratchingness, and, are keeping fighting wih each other, till that one of them, covering the temporal dial, beaming, ever since it started; the holy reconquest, is drawing, thanks to its eiditic memories, contrary to being idiat, the path towards the holy church, haloed of white gleams, purifying the soul. In the totally burnt crowd, where, the assembly of the ringed ones, tousling, northing their quests till putting to the reason the fact of recuring continually, wiping off all taints upon these elements compounding the time, the crossing paths, galleying the undersides, that  were as knells, more precisely, under dome bells, forgetting their alloyed wares, squeezing them, as impassible to the deluge of fires, to the meltingness of the metal maiden, after having tragically domiciliated the cross of the pathways, in giving them notches of truth to these poor lonely ones, has been seen, the last time, it reamins only disembodiment and pities. Grabbing the ressurective ashes, by this rise of shadows, shrouding heatingly an evil more great, nobody is lingering, there, insighting, in the vacuole. While the quintessence of the combat of the believers, so barely, muffled, down there, where there is no life, is making incandscent, the highest of the surprises, other embers, in other foresquarred camps, the decruisers with phelgm, roasting also everything, with numerous exwrongies, would make plenty these, almond-trees, underneath their feet, unless that there is teeny tiny glaring minus. It is that the smugs, of which the unicity in the helpingness does not change, are sojourning, inside these mole holes, are reminding  that it is not life, that can resist, on these sledges, ressembling to infernal daedalus, preceeding the enty in to the hells, taken by the backbitting devils, along side which, the malefic belchingnesses are doing layer, with terrible sanction for the ones in not having received the tenet of these ordonations, the foldingnesses, are belting, till forcing to dig more deeply, under the imaginary line.

Whatever he is considerated as a idle one, to the eyes of his herborial ancestral ones, the vegetalized conclave, taking force from the originated ferrous rocks, as rare deposits of gravitoniums, is no longer advancing, on this cold, freezing path, till loving that the melting his foot with the snow, at the same time, playful and superactive, Pollion, do his first entrances. It, at the surging arrival, in this peak ribbonned with white ballets of clouds, of the mountain stucked into these bumps of mounts, that Pollion, the half breeding one, is shawing audacity, with the words of the spiritual fathers, from the astrophysic.    

Pollion, the druids : At the dawning of this hidden world, from the distant past, in which the new compositions of the world, agregating themselves, in an antagonist way, as seeking for a perfect equilibirum, for living just simply as it is, on the surface of the worlds,  are the fellowing things : the atomicity, the rain of comets, the iridescent plume, the red aurora, the evergreen aurora, as geminis maintaining the life, the perforer, the borer, then, all the satellite compounds. That the sesame is opening the hole of white passage, towards the plutonic palace, there, where, the sun lowers its beams.

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