Le long diapason IV / The long tuning fork IV

Répitantes dans le jardin édénique, où, les dénis du dieu tout-puissant avaient fait du tort à sa famille, et, son clan, les naïades des delphinariums prêtent idiomatiquement au poison, très couru, un charme. Se portant comme un charme, le deutéragoniste, au surcot extrêmement joliment cousu, subissant l'extracorporelle transfiguration pour rejoindre les condamnés aux prières, et, aux exorcismes, afin de tourner à son avantage, ces temps sombres, durant ces décidément réussies imitations de l'arène, après que la plupart de ces animaux aient été anémié, est dépité, lorsque les peuples de dieu, achetant, de l'orge et des céréales, ayant ce grain de réalité, dans les chalands de ces marchés, où, il fait encore bon vivre, voire, une distraction à ne surtout guère abandonnée, sous aucun prétexte, libéralisant, même, des professions, tout à fait, en accord à ses approbations, racialisent, jusqu'à soupçonner un détournement de son esprit, au profit des sous peuplades, s’empalant et s'entrelivrant, sur ces domaines de l'intelligence, qui les dépassent, des batailles non flatteuses, sans but, se rebiquent.

Pendant que le verseau, au bel attrait qui, de la ceinture adonis aux épaules puissantes, est considéré, par les néréides, l'écume spermique, qui brasse les peuples, est instantanément piqué par la curiosité, lorsque les harpies, bagués, aux pattes, de petits messages secrets, qui sont enlancés à pigeonner par la harpe des curiosités, viennent à cette crête, se vallonnisante toute seule, étalant, ainsi, les talents du terra-formateur, où, le crépisme y est succulent, comme un délice de cette épopée. Au fil de ses pensées, il vague, dans son esprit, la toponymie de ces lieux découverts par les mers. Mais, les chairés dans cette chaire innovatrice, où, ils chariottent la vérité de dieu, explorant, à l'aide de l'astrolabe, les sciences de l'ailleurs, aux fumes de vouloir voir, toujours, plus loin, et, plus, du monde. Mais, la pierre obsidienne, noircissant, toujours plus, malgré les blanches notes, tenant racine dans les entrailles du mal, au grand patrimoine surnaturelle, possédé par ces hauts inspirés préservateurs, creusant, inlassablement, tout en faisant avancer des peuples jusqu'à ce oritemps, la tombe de leurs peuples, à cause de l'imprudence liée à cette infusion des sciences, qui risquait d'être accaparé par le mal, détournait, ainsi, le regard strict des dieux, où, l'arme universelle, de tous les temps, n'était qu'un passe-temps pour l'atelier de dieux. C'est alors que la jactrie tout autour de l'oeil-des-célestes campagne pour ceux doivent nécessairement mettre la main à la patte.   

L'un des anges atterrés : De la manière des divins, ils exhortent ceux, qui sont imprudents, de travailler de leur côté, jusqu'à préparatoirement conditionner ces tueurs-nés de peuples.

Un autre ange : Le chainé, averti en vaut deux, lorsque le gémeau tempère les archanges, jusqu'à délivrer l'ultime clef à leurs songes, à ces rumants la vérité divine, abaissés, et, infoutues à créer la diversion ludionnique. Mais, plus grave, la condamnation ultime des enfers, qui s'exécute de la manière suivante, en possédant une âme, et, le temps durant, qui leur appartient, fraye, dans l'horreur, aucune bonne chose. Ainsi, ils montrent leur toute-puissance, sur le temps, comme des chars inarrêtables.    

L'un des dieux mineurs: L'accaparation du temps est un fait sombre. Si cela s'avère être vraie concernant le niellement, l'un des chefs de ces sectes campe dans l'horreur. Ne t'en fais pas ! L'héraut, voué à ce passe-temps, est l'éveilleur de conscience, jusqu'à que nos enfants retracent le chemin vers nous. Il naîtra près d'un arbre.  

L'un des anges : Le condamné à faire l'holocauste  recherchera le carré. Et, les maîtres de chair, faisant la peau à ces proprioceptivités, atteignent le gorgon, dont le nom d'hautbois, sublime le phénomène, nous concernant, boire l'ambroisie, qui, au maximum de son temps, embrase ce chemin de la connaissance, tant convoité, à moins qu'il œuvre à mal. Les bibliothécaires trouveraient, à travers les temps, des réponses, sur des lectures d'un présomptif, ayant son esprit, à peine, réveillé, investissant des âmes, à restituer, au travers des éons, ces gores. Il y a des sorts maléfiques auxquels les peuples peuvent échapper. il y a l'espoir qu'il soit bon.   

Respiting in the edenic garden, where, the denyings of the almighty god had putting in bad situation his family, and, his clan, the sea-nymphs from the delphinariums are sealing the fate of this running poison. Having worn the clothe of the god, the warmonger, with a undershirt extremely beautifully seamed, suffering the extracorporal transfiguration for joining the condamned to the prays and to the exorcisms, in order to turn in his advantage these dark ages, during these decidely succesful imitations of the arena, after that the most part of these animals had been flooded, is unwanted, while the people of god, buying the cereals, having this grain of reality, in the stores of these markets, where, it is still good to live, as a distraction to not abandon, under any circumstances, liberalizing, even, professions, in accordance with his approbations, are racializing, till suspecting a narrowing of his spirit, protecting the sub people instead of them, killing themselves, on these fields of intelligence, that are flattering, without goal, are fedding up.

Whereas the water-bearer, god asset, who, from the adonis belt to the powerful shoulders, is considerated, by the nereids, the foaming, that brews the people, is momentarily catched back by the curiosity, while the harpies, having with them, at the forefeet, little secret messages, that are launched by the instrument of the curiosities, are coming to the crest, valleying iself, stretching out, henceforth, the talents of the terra-former, where, the crepancy is just delicious, as a delicatessen of this pipe times. As flies his thoughs, he is waving, in his mind, the topography of these places discovered by the seas. But, the chaired ones in this innovating chair, where, they are chariotting the truth of god, exploring, with the help of the astrolab, the sciences of the elsewhere, at the smokes of wishing to see, always, beyond, and, more, of the otherworlds. But, the obsidian stone, darkening, always, in spite of the white notes, taking root in the wombs of the evil, with the supernatural patrimony,, posssessed by these high inspired preservating ones, digging unceasingly, all in making advance people to this original time, the tomb of their people, because of this careless method linked to this infusion of sciences, that risked to be seized by the evil, had turned way, henceforth, the strict eye of gods, where, the universal arm, of all times, was just an hobby for the workshop of the gods. It is then that the talks about the celestial eye is campaigning for the ones that shall necesserally put a hand to the forefoot.

One of the crestfallen angels : Of the manner of the divines, they are exhorting the ones, that are imprudent, of working aside them, till preparatorily conditionning these born killer of people. 

Another angel : The chained up, warned, is worthy two men, while the gemini temperates the archangels, till delivering the ultimate key  to their thoughts, to these intercepters of the divine truth, bedown, and, lacking of time for creating this water path diversion. But, moreoever, the condamnation of the hell, in possessing a soul, and, the time, at which it belongs to them, glance upon the horror, no good thing. Thus, they are showing their almighty power, over the times, as unstoppable chars.

One of the minor gods : The seizing of the times is dark fact. If all this is true about the blights, one of the chief of sects camps in the horror. Do not worry ! The herald, fated to this hobby, is the awakening of consciousness, till that our children retrace the path towards us.

One of the angels : The condemnned to do the holocaust will find the square. And, the master of the fleshes, revengeful about these proprioconceptivities, are reaching the gorgon, of which the name of oboe calls upon the vagabond deuced, in the hellworld, that, at the maximum of his utmost time, is ablzing this path of knowledge, so coveted, unless he works for the bad side. The librarians will find, across the times, anwser, in accordance with the lecture of a presumptive, having his mind, barely, awakened, entrusting souls, to restitute, for the eons, these gores. There is malefic curses at which the people can avoid. There is hope that is is good.    

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