Les neutrophiles IV / The neutrophil IV

Alors que les destructeurs maléfiques, honnis par les païens, sinistrent désastreusement, jusqu'à la fin apparente, où, les buissons de feu acétifient, encore, les arches de la félicité, de l'entente et de la bravoure, il persiste, avant cette fin annoncée, une lueur d'espoir, dans ces mercenariats. Malgré les objets crapulaires et sombrissimes, riches d'histoires de malédictions, facétient jusqu'à que des reproducteurs d'art guerrier fassent uniformément à ce que les prédictions attèlent esprit et main, coordonnées à dessiner la volonté d'un dieu, l’œuvre de leurs mains, rien n'avait fait douté de la ténacité du bois, des pieux. Aux détours du temps, où, les ères vouées aux grands dieux de la nature étaient, tout bonnement, révolues, la force de mémoire, à l'origine de leur longévité, dans les bois obscurs, à qui les bâtons de guideurs, de possession uniquement elfique, encaissonnés, dans des coffres décorés glyphiquement, radiants multimillénairement, par des druides, lorsqu'ils sont entre de bonnes mains, sont, voilà, simiens d'un sang incrusté millénairement, re-balbutie, par un incessant recommencement. Reprenant les chevaux du temps, les voilà, subitement, la cavalerie fantastique d'elfes, confraternels avec l'ensemble des chevaux recueillis, à travers ces auges, où, l'eau limpide leurs mouvements orientant les guideurs de peuples, s'étale tout le long de cette rive enchevêtrée, dans les palissades des goules, aux pas cendreux. Or, le danger de ces ères, plaidant pour une nature, au-dessous de toutes lois non naturelles, étant mis de côté, le temps pourvu que l'élitiste elfin, Orfin, chef des elfes et des chevaux grégaires, fasse toute la lumière sur les sinistres.

Orfin : La lumière des songes ne sera jamais aussi lumineuse que dans notre arche perché. Il va falloir un terrible sacrifice pour que le goule accouant montre sa force destructrice, montagnant une puissance colossale.

L'un des elfes : Malgré que la régulation parfaite du sang a été permis, par un procédé sanguin unique, la pierre de sang, qui devrait décorrompre les sangs viciés, n'est considérée comme un placebo. Alors qu'il reviendrait à mettre de l'or immutatif dans le sang.   

Orfin : Les sèves noires, les rêves noires, accoulant jusque dans les forêts paréidolisés, ont été, en quelques sorte, irradié par un puissance que la terre a ignoré, de longue éternité, l'existence. Il a fallu des millénaires et des millénaires. De par ce phénomène anisotropique, l'invasivité de cette substance toxique est un parfait carburant. Pendant que le dragon moribond, démon des enfers,  aux sangs simiesques, désattise les flammes noires de l'enfer, nous veillerons aux grains. Il est certainement tombé sur des morceaux de dieux. La bête régénératrice marche sans cannes. Le misanthrope ne doit être plus loin.

Durant sa prise de conscience de sa cruelle indominance sur les êtres, qui décomposent l’harmonie de la nature, hors de sa vue, hors de sa chefferie, l'elfin rade, jusqu'à radier les enclavettés, abruptant la nature environnante, l'empêchant de mettre ses idées en ordre.  

Whereas the malefic destroyers, execrated by the manants, are disasteringly cursing, until the apparent end, where, the fire undergrowth are still playing with mind, the arks of the felicity, of the cordiality and the bravery, it persists, before this announced end, a sparkle of hope, in these shyster ponds. In spite of the dark objects, rich of story of curses, are playing with codes, till that the reproducers of warrior art are singularly doing what the predictions are plodding mind and hand, coordonned of drawing the will of god, the workshop of their hands, nothing had made doubt about the hardness of the wood, spikes. At the about-turns of the times, where, the eras fated to the grand gods of the nature were, simply, over,  the force of the memory, at the origin of the lengthness, in the dark woods, at which the sticks of the guide ones, stored in boxes decorated with glyphs, radiating multimillenarly, is purling out, again, by a unceasing rebeginning. Taking back the horses of the time, here they are, suddenly, the eery riding hoods of elves, brothers of the entire horses harnessed, during these spots through the water distribution wares, where the water makes clearer theirs movements orientating the guides of the people, is stretching out, all along this shore entwined, in the palissades of the ghouls with ashy footsteps. Hence, the danger of these era, pledging for one nature, above all unnatural laws, were put aside, the time for that the elitist elve, Orfin, chief of the elves and the grouped horses, is glimpsing these area of doubts.    

Orfin ; The light of the thoughts will never ever enough luminous than in our perched ark. It will need a terrible sacrifice for that the necking ghoul shows his destructive force, mounting a colossal puissance.

One of the elves : In spite that the perfect regulation of the blood has been permitted, by an unique process, the stone of the blood, that must decorrupt the vitiated bloods, is just considered as a non effect method. As considered, it is like putting gold in the blood. 

Orfin : The black saps, the black dreams, running through the forests showing monsters, has bee, somewhat, irradiated by a puissance that the soil has ignored, of long eternity, the existence. It has needed millenar and millenar. By this splinting earth's phenomenon, the invadingness of this toxic substance is a perfect carburant. While the moribund dragon, hell monster, with combined bloods, is not stirring up the black flames of the hell, we will watch over all. His teeth have certaintly fallen on to morsels of gods. The regenerating beast walks without woodstick. The hatred one is not far away from there.  

During his consciousness of his curel undominion over the beings, that are in charge of the decomposition of the harmony of the nature, out of his sight, out his chief's attention, the elve is lacking of energy, till expelling the locked down, abrupting the surrounding nature, in avoiding him to put in order his ideas.

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