Le vaisseau requin V / The shark vessel V

Pollion : Nous implorons votre mansuétude. Les barbillons des diablotins, à nos trousses, frisent aux vents d’Éole, dans cette collerettée d'haute-passe. En chassant les vents, qui batifolent avec les cimes des montagnes, le mollasson implore votre mansuétude.

L'un des gnomes, se retransformant en druide : La chiffe molle aurait du, certainement, se débarrasser des choses encombrantes, qu'il trimbale et bringuebale, le long de ces chemins coupeux, redessinant les itinéraires des messagers foulant les terres qu'une seule fois. Simplifions les choses. Anses tes réponses et tu saura sauf. Quel jardin est le plus magnifique de tous les jardins ? 

Pollion : Le jardin aquatique est le plus beau et le plus merveilleux de tous, est celui des eaux limpées, où, les eaux limpides caressent les herbes de la posidonie.

Soudainement, les entrailles de la grotte de la connaissance s’entrouvrent grandies, jusqu'à libérer des esprits du vent cachés dans les roches, avec des limpets. Alors que les diablotins barbilonnant les cascades de vents blizzants, savatant, jusqu'à calaminer des troufions, aquarellisant au lieu de se quereller, afin d'empêcher la révélation ultime des oraclées, le nemeton, qu'il souhaitait absolument surseoir, se tient, sur un éperon montagneux, sur le point de se détacher. Un vent d'illusion chromatique survient, subitement, lorsque des aurores vertes resillonnent les chemins de ces ètrésilloneurs, comme pour leur donner assez d'air pour monter ces marches encaissées dans cette mesa, sous la chaleur oppressante de cette diablotinerie. L'avidité des diablotins est, sans borne.

Pendant ce temps, tantôt confrontés aux feux des éléments, tantôt, confrontés aux présages, les rubigineuses séraphines, aux petites épées, aux lames séraphiques, sérigraphiant, jusqu'à la perfection, les quillonnantes attèles, qui tiennent leur apparences des branches d'arbres, comme pour y délivrer un message aux anges, investissant la voie des runes, et, des farfadets rubignolants, se soulassant des armes traditionnelles, soubassant difficilement ce pouvoir ancestral, et, commutatif, en communication avec d'autres empossesseurs de pouvoir, tout en cherchant à regagner leur ancienne nature suprême, quant à elles et à eux, s'efforcent, à l'exécution d'ordre nouveau, donné mystiquement lors leur époque découplativée, se contemporisante au fil des traversées du temps, à bûcher, avec dendrophilie, ces écorces, emparcheminées, expulsées, lors de ces décorçages, et, ces foudroiements, par l'éclair divin, les faisant trampoler vers d'autres conclavettes, donnant des délivrées de messages, tout aussi précieux, dans la chance d'y voir gravillonner des xylophagiques insectes, capable de faire parler les ancêtres arbreux, au gigantisme outrancier. La soupière des farfadets, subissant les empressement du temps, est, à raz bord, de précieux confidents devineresques.            

Pollion : We implore your help. The little mustaches of the bedevilled ones, in our pursuits, are curling to the winds of Eol, in this enclosed crossing path. In hunting the winds, that couple with the peaks of the mountains, the brat implores your salvagingness. 

One of the gnoms, being retransformed into druid : The fearing one would have, certaintly, be whacked, in taking off all the heavy things, in his bag, that he carries all the long these paths, redrawing the itineraries of the messengers treading upon the lands, just once. Simplifying the thing. Giving thickingness to your answer and you will be safe. Which garden is the most beautiful garden above all ?

Pollion : The aquatic garden, the most beautiful and wonderful of all, is the one of the hung water, where, the cleared water caress the grasses of the posidonia.

Suddenly, the wombs of the grottoe of the knowledge are opening, till liberating the wind spirit hidden in the rocks, with limpets. Whereas the bedevilled ones, having the thrill during these walks through the blizzing winds, whimpering, till calaminating smugs, smudging instead of disputing with each other, in order to avoid the iltimate revelation of the oracles, the nemeton takes place, on this mountainous spear, going to fall down.  A chromatical illusion is suddenly happening while green auroras are going down the paths till catching up these onlookers, as for giving them enough air for climbing these steps incrusted on this tableland, under the oppressing heat of this bedevilling attack. The thirstiness of the impish is without boundaries.

Between-whiles, at the same time, confronted to the fires of the elements, or confronted to the omens, the reddening  seraphims, with little swords, with seraphical blades, serigraphying, to the perfection, the kind of antlers, that look alike the branches of trees, as for delivering a message to the angels, entrusting the path of the tunes, and, the reddishing hobgoblins, being annoyed of these traditionnal weapons, protecting hardly this ancestral power, in communication with other possessing ones of power, till seeking for reaching their new supreme nature, as for them, are keeping, at the execution of the new order, given mystically during this time,  of this endless times, to maintain, with dendrophily, their effort, moderning as the sliding through times, these wood crusts, readable, expulsed, during these snatchings, and, these thunderings, by the divine lightning, condusing to make them slide to other conclaves, giving messages, also, precious, in the chance of seeing climb xylophagical beetles, capable of make speak forth the treed ancestral ones, of the old gigantism. The soup cup of the hobgoblins, suffering the rushings of the times, is filled of precious soothsaying confidents. 

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