Les supercordes I / The superropes I

Le branle-bas de combat, au sein de cette forêt sanctuarisée pour l'accueil des rédemptés, des âmes repêchés, et des réminiscés, naît à l'origine de l'initiative controversée des chérubins et, d'autres angelots. La motion des endoctrineurs de la lumière, toujours panégyristes, conformés en d'implacables censeurs, qui panégyrisaient, avec de belles éloges, la grâce de ces ailes, sans avoir commis de pêchés, à peine, retenue, contre les dissémineurs d'effroi, en froid avec les hautes sphères, est mis au rebut. Alors que l'origine sulfureuse des ailes bras protecteurs, que les chérubins, que la lumière aveuglaient, pour multiples raisons, concernant leurs existences, dont la vérité aseptisée ne convenait guère, d'aucune façon, leur est révélée, en tout premier, est viscéralement rejetée, pour cause de maintenir le mal, les beautés et la tolérance, qui ne font guère bons ménages, font apprécier différemment ces temps longs. Les rabouchantes bouches de l'enfer, laissant coi, quelques bouche-trous, non formés à déduire qu'il est bon de fuir, sont responsables, selon l'adage, de vivotages plaisant le camp obscur. Alors, que les gros sabots du viel druide, Boniface tel est le chasse-roi, et, à la fois, conseiller vilain des décisionnaires, vu, ainsi, dans sa cour, voué au soutirage de la vérité, par tous les moyens, jusqu'à aérosoliser les forêts de combattants, s'entrechoquent, au pire moment, lorsque des paladins sont, au fond du trou, contre les plaques ferreuses du camp usurpé. Très machiavéliques, et, très manipulateurs, le vice des vice-rois s'exprime, sans retenue, jusqu'à déguiser des révoltes d'à-côté, engloutissant le temps de ces gloutons de la vérité, les faisant tourner en bourriques, tels des bourricots, jusqu'à montrer, qu'un charme entretenant une illusion, si forte, qu'elle est indéjouable, par des contre-sorts, dole les portes des enfers, jusqu'à jeter sur eux, en retour de flammes, des vents maléfiques et des nuages de feu.

A peine l'illusion de la victoire, gagnée par des jets pignonnant du haut des cimes des forêts de l'emboisé, et ce, pognon de lutins, et, de sprites, reprenant du poil de la boîte, et, faisant toujours mu-muses, l'air de rien, avec les éléments papillonants et volatiles de la nature, de plus en plus surprenante et créatrice, sont mis en émoi par les annoncements de l'une des dernières forêts encore debout, blanche, préservée dans son écrin reflétant les lueurs blanches de la voûte céleste, au sein de laquelle l'inimaginable se produit, lorsque le sol ameubli et retourné, par endroit, laisse chignoler des créatures plantes, remuantes, par ailleurs, qu'empotait la main jardinière, aient écouté, en compagnie de chérubins, les battements de la forêt malade, la boussole des orphéonistes, dont la plupart des membres éminents sont des mages accomplis, revient à ce chemin d'entroupement, où, s'invitent les derniers combattants, légion de cœur, défeuillant, à travers les forêts, les pages du temps, qu'après avoir franchi la lisière de cette forêt blanchie, rendant les armes pures, comme des âmes pures veillantes, jusqu'à que le bras immaculé du sauveur suprême illumine toutes les forêts, comme pour empêcher que les ombres progressent. L'enrouage du lutin lui est notifié, lorsque l'un des demi-dieux, qui le faisait piètrer, dans le doute, tirant la vérité drainable de ces effeuillages de feuilles enchevêtrées, puis, ces racines suspectes du mal, ensouillées, appaire, de mots, ces situations déjà vécues. 

L'un des demi dieux : Ô miracle, à cette transition du temps, la forêt vierge, déguisée en une femme idyllique, telle la donzelle cherchant, à travers le temps, capable de démaculer les macules empoisonneuses des diables et les ravages du temps, désignerait, ainsi, symboliquement son pendant masculin. La fureur de vivre de ces peuples alités se ressentent, également, dans ces tombées de feuilles.

L'un des lutins accompagnateurs : Combattante, la forêt se relèvera toujours, enfin, tous l'espèrent. L'assemblée des mages, dont la forêt magistrale, guideuse des âmes de la forêt, qui abrite toutes sortes d'âmes, donne, au foret, ce pouvoir d'évasion, qu'ils maintiennent.    

L'un des chérubins : Mais, cela a-t-il consommé entièrement ce pouvoir cosmique ?  Les lutins enseignistes, qui donne le nom aux choses, sont tous ouïs. Bientôt la forêt, respectant l'habit du temps, devra se cramponner, à l'effondrement du temps. En avance de notre temps, une bataille celluleuse se jouerait, dans l'invisible. 

L'un des demi dieux : Dans les silos, se creusent des terribles pièges, que la luciférase et les mitochondries jouent, dans ces microbiaux mondes, une guerre sans merci. L'enrochement des choses n'était que le début, transposé mutativement, dans le monde des vivants, jusqu'à devenir des plaies des êtres vivants. La science du vivant manquait. Mais, l'espoir n'est pas perdu. L'effort des lutins puisatiers a payé. 

The commotion, within this sanctuarized forest, for the welcoming of the redempted ones, the fished back souls, and, the reminisced ones, borns at the origin of the controversial initiative of the cherubs and other little angels. The motion of the enrolling ones of the light, always elogious, conformed such as unbearable censoring ones, that venting the grace of these wings, without having commited sins, barely, held, against the disseminating ones of the dreadfulness, in cold with the high spheres, is forgotten. While the sulfurous origin of the protective arms winglets, that the cherubs, that the light blinds, for multiple reasons, about their existences, of which the aseptised truth did not convene, in anay way, is revealed to them, in first. is viscerally rejected, for cause of maintaining the evil, the beauties are letting appreciate differently these long times. The remouthing hellmouths, letting silent, some nags, not formed to guess that it is good to run away, are responsible, according tot he saying said, of the transfeering of souls pledging the dark side. While the old druid, Boniface, such as the hunter of kings, and, at the same time villainous counsellor of the decisionnary ones, seen, like that, in his courtyard, fated to extirpating truth, by all the ways, till aerosolizing the forests of combattants, are hobbling up the iron planks of the usurpated camp. Very machiavellic, and, very manipulating, the vice of the vice-rois is expressing itself, without hasting, till disguising asiding revolt gobbling up, the times of these gluttonous ones of the truth, making turn around such as donkeys, till howing, that a charm maintaining an illusion, so strong that it is unthwartable, by against spells, is maintaining open the hell gates, till throwing, by return of flames, mischievous winds and fire clouds.

Barely the illusion of the victory, won by jets laucnhed from the heights of the flattering forests, and, this spear of the sprites, playing with the flying elements of the nature, more and more surprizing and creating, are not despised by the annunciatings of one of the last forests standingstill,,white preserved in his its box reflecting the white gleams of the celestial vault, within which the unthinkable is happening, while the returned soil lets swirling vertically the plants' creatures, whinning, by the way, that the gardening hand planted, had listened, with cherubs, the achings of the sick forest, the compass of the orpheonists, of which the most of the eminent members are accomplished maguses, is coming back to this path of trooping, where, the last combattants, legion of heart, are defoliaging, across the forests, the pages of the times, after having crossed through this while forest, rendering the weapons pures, as the pure souls veiling, till that the immaculated arms of the supreme savior illuminates all the forests, for avoiding that the shadows progress.  The cleverness of the sprits is notified, while one of the semigods, from the serendipity, that makes him pitiful, in the doubt, is draining the truth from these entwining foliages, then, these whirring roots of the evilnesses, are wording these already lived situations.

One of the semi gods : O miracle, the transition of the times, the virgin forest, disguised in to a idyllical woman, seeking for the times, capable of earsing the maculatingnesses of the devils, and, the ravages of the times, would, thus, designate symbollically his masculin pendant. The fury of living of the people down with plague, are felt, even, in the falls of the foliages.

One of the accompanying sprites : Fighteous, the forest will be standing up again, indeed, everybody hopes for it. The assembly of the maguses, of which the majestical forest, guiding the souls of the forest, that shelter a lot of kind of souls,  gives to the digger, this power of evasion, that they maintain.

One of the cherubs : The sprites, that give name to things, are all hearing. Soon, the forest respecting the wear of the times, must hook up, at the collapsing of the times. In advancing of our times, a cellulous battle is playing, in the invisible.

One of the semi gods : In the silos, digging the terrible traps, that the luciferase and the mitochrondries plays, in these microbial worlds, a merciless war. The enrockment of the things was just the beginning, till being transposed mutatively, into the world of living,  till becoming the plague of the living ones. The sicence of the living was lacking. The effort of the shaft-sinker sprits has paid.  

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