Les supercordes V / The superropes V

Pendant que l'entier, Gond, et le triton d'eau, à cheval, entre un lézardeux, à collerette, et une créature, aux oreilles ventrilées, sifflant aux vents collinants les mamellons paysagiques, façonnés par tempêtes et tempêtes, ambuliquement équeuté, jusqu'à soucheter dans les corons miniers, à suivre la trame des événements, les tirant de leurs ennuis, et, des ennuis, qui pointent à chaque revue de fond en comble des grottes souterraines occupées, chanfreinent, le tout miracle sumé, depuis là, devient leur réalité. Habile de mots, Gond éveille la conscience, jusqu'à amputer un souvenir de la guerre, de Triton. 

Gond : Quelque chose, dans les bois verticolants, et moussailleux, aux arbres redingotés, où, le vert confortablement investi de faire bourgeonner des armées de dragons, est la haute place du miracle. Roublardisés, les diablotins fermentent un mauvais plan.

Triton : L'oublieuseté de Protée sera, sans conséquence, n'est-ce pas ?

Gond : L'océanisateur n'oubliera pas d'apporter des éclaircissements à cet océan d'obscurité.

Tandis que la conduite de la marche de feu des dragons, en demi-teinte, noirfondue depuis tout ce temps, dans les tréfonds souterrains, qui essoute espièglement ces lieux fortement combattu pour gagner un siège du temps, est rimerveille, le dragon insignifiant, aux yeux des sans ombre de magie, en possession, n'est guère immune aux croisades des créatures fantastiques. Plus qu'à merveille, jalonnant leurs itinéraires, tantôt béni, bénin, des désespérances, l'élément pyralique, et calimorphe, formant un tout, capable de dissimuler menteusement des secrets, telle une paire de pétale, se détachant délicatement d'une fleur, jusqu'à s'envoler, dans le ciel, passe de l'ombre à la lumière, lorsque les dissimulateurs âtreux, et, désentactés, et, sans indisposition, après avoir flirtés avec le bien, qui vanchent, désemparent les serviteurs simiesques de cette cause, repyramide le sommet de ce monde, jusqu'à y contempler des temples ravagés. 

Bien qu'en escale, dans ce vivier frétillant, et, boursicoté de larvée de céphalopodes, qui à l'air de se muer dans les éléments naturels, jusqu'à n'en lire les stagnantes arrière-pensées des dieux, à destination du terrible lieu de rassemblement, l'un des confins du mal affectant leurs marches, dans lequel les volontaires symptomatologisent tardivement des maux fatals, les condorlotant durant des nuits des diables, où, le sang se mêle au refrain de la mort, les approximant toujours la puissance de feu de leurs ennemis,à moins d'avoir un compas dans l’œil, Gond, et Triton, qui auraient bien besoin de l'oeil de l'omnificence, effrangent les fresques de boyaux, épendus, pour comme que ces diables y isolent cette gêne régénératrice, à proximité ce coffrage menuisé, coffrageant le coffre-trappier, débouchant sur un autre temps de la guerre, antérieur à la leur.

Whereas the whole, Gond, and the triton of water, compared to a beared lizard, and, a creature, with ventrilated ears, whistlin at the winds hilling the landscaped valleys, built by rainstorms and rainstorms,   ambulically queueing, till laying down in the miner's cottages, in order to follow up the unravellings of the events, dragging them up from the state of annoys, and, problems, that point at each revisitation of the undersided grottoes, are doing their utmost, the all miracle, sumated, since then, becomes their reality. Smart with words, Gond is awakening the consciousness, till amputating a souvenir of the war, to Triton.

Gond : Something, in the upwarding and climbing ivies and smushing wood, with crazy trees, where, the green comfortably entrusted of making blosom armies of dragons, is the high place of miracle.

Triton : The forgiveness of Protee will be, without consequences ?

Gond : The oceanizer will not forget to bring enlightements to this ocean of darkness.

Whereas the fire walk of the dragons, half extingusihed, blackmelted in the undersided bottoms of the world, all this time, that is going downward beneath these places strongly fought for winning a sieging of the times, is wondrously crazy, the unsignificating dragon, to the eyes of the without ounce of magic, in possession, is not immune to the crusades of the eery creatures. More than wondrousness, stepping their itineraries, at the same times, blessed, harmless, of the desperatedness, the pyralical element, and, calimorph, all in one, dissimulating, with lies, secrets, such as petals, detached delicately off a flower, till soaring up in the sky, is passing from the shadow to the light, while the hearthed dissimulateurs, without indisposition after having flirted with the goddness, that are venging, are causing trouble to the apish servants of this cause, is repyramiding the summit of this world, till contemplating ravaged temples.

Although in this transitory destination, in this frenzy fray, baited, of larvas of cephalopodes, in mutation with their natural elements,, till reading only the stagnating backthoughs of the gods, aiming the destination of the terrible place of gathering, one of the confines of the evil affecting their walks, in which the voluntiers are lately symptomatologizing fatal evilnesses,  lulling them badly, during the nights of the devils, where, the blood is combined to the refrain of the death, the approximating the fire puissance of their opponents, unless of having a compass in the eye, Gond and Triton, who needed well the omnifier eye, are fringing the frescoes of bowels, hung, as for that the devils are isolating this regenrative gene, close to this wooden sag, boxing, the trap box, opening to another time of the war, anterior to their.

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