Les napthes VII / The neaps VII

En d'autres lieux, d'autres circonstances, la remontée de la garde prétorienne, dans ce ressac, qui avait troué tous les murs dérobés, les trappes à bascule, et, les portes-tombeaux, afin d'y entrevoir, par entrave ignominieuse, les rayons telluriques, derrière l'aura mystique de la coupe de l'immortalité, saisissante, dans le noir fantoche, où, les rois fantômatiques, autrefois, meurtris dans leurs chairs, tentaient, dans l'au-delà, de re-densifier le secret du sang, vient à se décrocher de ces vilains subalternes, à la solde des camps de fer, lorsque les tables d'offrandes ravinent le sang d'untel, transformé en tonnes, comme prémonitionnellement appelé des procréateurs de longue lignée de sang. A travers les rimailleries du temps, où, les héritiers, aux futurs, déjà, touts écrits, ou réécrivaillable, si la force d'âme leur permet, et, à moins d'avoir contourner le mauvais sort des mauvais esprits oracleux, le vaillant, comme influencé par l'embaumage parfumé de ces temps anciens, brinde une nouvelle portée de combattants, comme ces portées de Cérébère, chien de enfers, à plusieurs têtes. Le chambellan tartempion, qui donne à ambivaloir ces temps courroucés, où, il ne sait plus où donner de la tête, y forge secrètement, au fer rouge, au bout duquel brillait, à travers les temps obscurs, son ingéniosité, une marque de combattants. Le temps d'une ellipse, aux notes de souvenance grandiloquantes, se produit. Les revoilà, dans le coupe-gorge, où, la sacrifice des lignées était remerciée, de la plus grande manière qu'en accordant l'immortalité, le seigneur bestial, Krakosins, fâme, déjà,ces temps, qu'il rejoindra, d'une manière ou d'une autre. Et tout d'un coup, sous les yeux sur-cerclés d'un anneau de lumière, de Traput, l'émotion est capable de forte chose, y compris d'avoir voler l'intelligence et d'y avoir usurper le diable, tout s'inverse. Le farfadet rouge, indéçus, et, inoubliable jusqu'à l'amenée vers cet épique moment, où, le sang  ramène au sang, et, où, la surconscience du soi puissant vient à Krakosins, maître des destinées, puissant dans les outretemps, verse la gouttelette de sang impoisonnable, qui foise, du calice, à peine, désenveloppé, jusqu'à faire apparaître l'essence de sa vie, dans un moment de feu, d'étrange instinctivité, comme si le diable, jamais, en sommeil, emportait leurs marques de sang, puis, leur redonne la grâce du movement. 

Jamais au-delà de ces confins souterrains, où, se perchait un jardin paradisiasque, où, les fruits des savoirs, épépinés de ces pépins, à ne jamais laisser tomber dans la gorge souterraine, sont la cueillette des porteurs de fruits lumineux, tel des pachas, devant ce taillor, recouvrant l'un des piliers monunentaux, tout se défeuillait, jusqu'à perdre totalement la livrée du temps. Bien que le temps était mis en poème, pour n'éveiller oncques doutes, le misanthrope, qui avait pépiniériquement mis en arbre, ces branches, d'un généalogisme obscurantique, de monstres, sommonne les diables à se dénoyer, jusqu'à re-être les maîtres des destinées. Le traître n'y paraissait être le vrai traître, seul le mot de traître, esclavageant des couches de peuples désaubaineux, dépourvus d'une intelligence claire, a trahi leur temps. Et, le châtiment s'ensuit.

Pendant que les suppôts des diables, devant un tartare de chairs, enchaînent les non rouges, le supradémon, aux élytres spéciaux, Bélial, a sa conscience d'agir, dont l'esprit sis, près de l'axe des mondes. C'est alors qu'il réveille, par l'adresse funeste de ces mots, les démons intérieurs, de ceux qu'il sauve, ainsi.  

Bélial : Le mieux qu'il peut faire. La carte des émotions de Balthazar n'a pas été vaine de succès. 

Pendant que Bélial revoit, dans l'ombre du passage, l'itinéraire du démon, qui incarne le mensonge, le moment fuyant durant lequel le maquignonné, Traput, aiguisant l'appétit féroce des dragons, tapionnant, faisant un somme, jusque dans les abîmes, où, la chance semble, enfin, après tant de chicailles, lui sourit, crée, vainement, une contrepression, contrepressant ce sublime ostensoir, sur lequel se reployait le pouvoir du calice, coupelle de feu sang, à travers des lignes telluriques, comme si l'illusion dans laquelle l’altier, Krakosins régnait, en empire, et, à volonté, sur le sang immortel, était permanente, à ses mirettes, jusqu'à découvrir, par surprise, un tour d'illusion pandiagonalique, était frayé d'esprits menteurs, les plus coriaces les uns que les autres. 

Dans l'urne naturelle, assez large, pour y laisser faufiler lézardeusement des dragons à collerettes, le détail sauveur saute à la figure du farfadet rouge, le chapardeux, qui chinait, par ailleurs, les en-saugés par des mages, qui ne sont qu'autres des gonflés gobelins, tout-pleins, et, gonflant leur joues, jusqu'à être vermeillés, semant des granulés, des graminées, des fèves, et, des concasseries, privilégient la fouinerie.     

In other places, other circumstances, the upspring of the pretorian guard, in this odd place, that had holed, all the hidden walls, the basculating traps, and, the tombs' bearers, in order to glimpse, by ignominious entravation,the tellurical beams, dbehind the mystical aura of the cup of the immortality, seizing, in the ghostly blackiness,where, the ghost kings, in the erstwhile, wounded in their fleshes, were attempting, in the beyond, to redensify the secret of the blood, is coming to surpass these villainous hounders, under the crupper of the iron claded camps, when the tabs of offerings drag the blood turned in tons, as forementionned as procreator of long bloodlines. Through the versifyingnesses of the times, where, the heirs, with futures, all already written, or, rewrittable, if the force of the souls allows him, and, unless of having thwarted the bad spell of the bad oracling spirits, the vaillant, as influenced by the perfumed embalmingness of the ancient times, is meshingly making at growth a new breed for combateousness, as these breeds of Cerebere, hellhound, with multiple heads. The crisscrossing chamberlain, who is giving changing these wrathful times, where, he is not knowing how to start, is secretly, with the red iron claded rod, at the tip of which his genius mind shines  through the darkest times, a mark of combattants.  The time of a ellipse, with notes of rememberings, is happening. There they are, in the cutting throat, where, the sacrifice of the bloddlines was thanked, in a way that the immortality was granted, the bestial lord, Krakosins is already celebrating these times that he will join, by all the ways possible. And, all of sudden, under the eyes overcircled of a ring of light, of Traput, the emotion is capable of pretty things, including of stealing the intelligence and having ursuparted the devil, everything is getting reversed. The red hobgoblin,, not disappointed, and, unforgivable until the moment when he was brought to the epic moment, where,  the blood brings the blood, and, where, the overconsciousness of the almigthiness of himself, comes to Krakosins, master of the destinies, puissant in the beyond times, is letting drop the droplet of unpoisonable blood, that is riched, from the barely unwrapped calix, till making appear the essence of the life, in a moment of fire, of odd instinctivity, as if the devil, never ever, in sleep, brought their blood lmarks, then, is giving them back the grace of movement.  

Never ever in these underworldly confines, where, is nested a paradise's garden, where, the frutis of the knowledges, without the seeds, in never ever let fall into the underground throat, are the harvesting of the fruits' bearers, such as workshippers, in front of the wearing of columns of a monumental pillar, everything was defoliaged, till losing totally the surrendings of the times. Although the times were put in poem, for not awakening never ever doubts, the misanthropes, that had put in tree, these branches, of obscurating genealogism, of monsters, is summoning the devils to be not drowned, till rebeing the masters of the destinies. The traitrous one was not appearing such as the true traitrous, only the word of segression, slavishing layers of people without windfall, deprived of clearsigthed knowledge, has betrayed their times. And, the punishment follows.

Whereas the agents of the devils, in front of a tartare of fleshes, are schakling the not red ones, the suprademon, with special elytras, Belial, has his consciousness of acting, of which the spirit sieged close to the otherworldly axis. It is then that he is awakening, by the deadly attention of words, the inner demons of the ones what he saves like that.

Belial : It is best that he can do. The map oif emotions of Balthazar was not crowned of no success.

While he is seeing back, in the hollowed passage, the itinerary of the demon, that incarnates the lies, the sliding moment during which the guised one, Traput, in making grow the appetite of the dragons, tapping, up to the abyssals, where, the chance seems, in fine, after so many mishaps, smile to him, is vainly creating a counterpression, counterpressing this sublime display, on which the power of the calix, cuplet of fireblood, through the tellurical lines, as if the illusion in which Krakosins reigned, at empire, and, at will, upon the immortal blood, was permanent, to his ooglingnesses, were fulled of lying spirits.

In the natural hole, enoughly widened, for letting through lizardingly beared dragons, the saving detail is jumping at the face of the red hobgoblin, that vents, by the way, the embalmed by the maguses, goblins, pocketing of air their cheeks, till being red, seeding granulates, and others seeds, are favorishing the rodent method.

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