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25 Aug

Les ptérygotes II / The pterygote II

Publié par Nipon Duong  - Catégories :  #colosse, #colossus, #naevus, #cygos, #métal, #metal, #technodéfenseur

A peine aneurisé, par ce colosse, à partir duquel l'horreur personnifié en un être polymorphique, déformé, et, difforme épouvante, jusqu'à briser, avec fracas, l'unité, déjà, fragile de ces unités de combat, la rassérénisation des esprits combatifs, pourtant, réencordables, même par un filet de lumière, comme si la poursuite de leurs destinées était si fortement incertée, par les curateurs, d'alors, convaincus du pouvoir aseptisant de la lumière,  n'advient guère, comme prémonisé, depuis les affrontements des gouffres chasmiques, où périssaient des fosses de combattants de la lumière. L'odeur de décomposition n'y est que plus forte. Les masses corporelles jouent l'équilibriste, comme flottantes, et, léviteuses, dans cette sorte d'orage mêlé aux ténèbres, en fusion corporelle. Complètement charadé énigmatiquement, par la lumière, à travers laquelle les curateurs corporent, au lieu d'incorporer des morceaux de vérité, pré-connus, et faisablement inscrivables, dans ce marbrage, dont la signification représente le summum de la création, jusqu'à perdre leur latin, la préhension de la vérité, en défaut d'absolution, et, abattant toute vérité toute faite, et, pré-conçue, à dissoudre totalement, débourre les centaures conseilleurs, et, autres beau-parleurs minotaures. Alors, le repli, dans les retranchements souterrains, après que la potence des deux à sacrifier ressuscite, contre toute attente, le combat contre l'hécatonchire, monstre, sans pareil, n'échappe guère à la règle, si rude, dans ces outre-passements du temps, comme si le temps leur faisait défaut. La lutte cérébrale des sages, dans leurs égarements, et, dans leurs étourderies, montre une réalité crue et vile de sens retournant toutes préconceptivités, comme si la sumation totale n'était guère possible. Soudain, le jardin non déniant, et, dépeuplé de ses plumes, à présent, devient la bénéficerie du le faisan ocelle, et, paonnant, jusqu'à câliner ces temps. Bien qu'à bout de force, les sages devraient lâcher prise, le sacrifice collectif, en lien à une conscience collective, n'en est que plus remarquable comme si les esprits blancs, se débanchant, de ces parois d'entre les mondes, les poussaient en dehors du feu de l'abîme. Au summum de la destruction des peuples inférieurs, où, la proprioceptivité met en branle l'intelligence musculaire des désormais créatures de l'abîme, abîmées mais toujours vivantes, par un fil de miracle, le crack, se proclamant, ainsi, le seigneur du chaos, arénise, jusqu'à devenir colosse du temps. 

 

Pendant que le chaos grandit exponentiellement, les deux acolytes, en comparution, devant le redresseur des tors, et, juge des penitents, qui avaient été loustiquement amené, jusqu'aux limbées, par des diablotins, aux contre-temps fâcheux, pouvant sabotager tout, y compris, son pouvoir holistique sur ces mauvais esprits, brisent, avec une force morale inouïe, la gaze spirituelle, et embaumatrice. Se désestrapatouillant de cette estrade chemineuse, fumerollant de toutes parts, ils sautent, illico presto, sur le talon que les diablotins avaient frêlé, jusqu'à créer, lors de retombées pierriques, des influx pertubateurs. Alors que les causes optogénétiques sont difficiles à comprendre, les troubles neuromorphiques peignent ces temps. C'est alors que la lousticité des gobelins, désaffloués, remporte, enfin, après de longues ingratitudes, un franc succès, jusqu'à remportailler une porte d'escapade. Mais, hélas, dans l'axe du mal, où, l'aneurisme, créant des troubles monstres, et, parapsychologiques tout autour de la prise de contrôle des corps, par la mère des monstres, où, sont transférés des lignes métallotelluriques, dans les trombes, desquelles tout corps se transforme, rien semble être humain. Les prévots sèchent, et, les scélérats mouvementent les frais dispendieux de la guerre lumière lorsque l'égide des éclaireurs, neutérisant, le temps qu'il faudra, les corps, et, les esprits, et, ici, surperfomateur, reprend, avec forte amélioration, contrôle de la situation, comme considérée irrattrapable. 

Barely aneurized by the colossus, from which the horror personnified into a deformed polymorphical being, till breaking grumpingly the unity already fragil of these unities of combat, the restrenghtening up of the spirits, re-kindlable, even by the slightest tread of light, as if the pursuit of their destinies as so strong incerted, by the curators, henceforth, convinced of the aseptical power of the light, is not advening, as premonized, since the ocnfrontations of the chasms, where, sinkholes of the combattants of the light have died. The odor of the decomposition is even more stronger. The corporal masses are playing the equilibrist, as floatting, in this kind of storm combined with the darkness, in corporal fusion. Completely ciphered mysteriously, by the light, through which the curators are corporating, instead of incorporating morsels of truth, fore known, and, feasibly incrustable, in this marble, of which the meaning represents the apix of the creation, till losing their latin, the prehension of the truth, in default of absolution, and, beating down all maid truth, adn fore conceited, to disolve totally, is agressing the  advising centaurs, and other good speakers minotaures.  Thus, the folding, in the underground retranchments, after that the pity of the both to be sacrificed is ressurecting, against all odds, the combat against the hecatonchire, unpeared monster, is not escaping to the rule, so crude, in these delayments of the times, as if they can not attempt to make up for lost times. The cerebral struggle of the wise ones, in their disorientatingnesses, is shwoing a raw reality, villainous of meanings, returning all preconceptions, as if the total sumation was not possible. Sudden, the garden not deniable, and unfletched of feathers, from now on, is becoming the beneficery of the peacock with odd eyes, till embracing these times. Although out of strength, the wise ones must withdraw their forces, the collective sacrifice, in link of a collective consciousness, is just even more remarkable, as if the white spirits, becoming ghost, getting out of the bloom of these trapped worlds, pushed them out of the fire of the abyss. At the peak of the destruction of the inferiror people, where, the proprioconceptivity s endangering the muscular intelligence of the, from the times forth, creatures of the abyss, damaged, but, always living, by a thread of miracle, the crack, in, so, proclaiming to be the lord of chaos, is arenizing till becoming colossus of title.      

 

While the chaos is expandingly growing, the both acolytes, in front of the tormentor, and, judge of the penitents, that had been pranksteringly brought un to the limboes, by imps, with pissing off counter-times, that can sabotage everything, including his holistic power upon these bad spirits, are breaking off, with a dazzling moral force, the spiritual and embalming gaze. No more bedridden this smoking embers, with smokes coming from everywhere, they are jumping steadingly on the tallion that the imps had made feeble, till creating, during fallouts, disturbing influx. While the optogenetical causes are hardly explainable, the neuromorphical troubles are brushing the times. It is then that the pranksteringness of the goblins, not blurred, has won a franck success, till carrying an escaping gate. But, alas, in the axis of the villainousness, where, the aneurism, creating monsterous and parapsychological troubles, all around the control of the bodies, by the mother of monsters, where, metallotellurical lines are transfeered, into which every body is transformed, nothing seems to be human. The doers are dried out, and, the hinged ones are changing the castly spendings of the light war whilst the aegis of the pathfinders, neutering, the times, that it is needed, the bodies and the siprits, and, here, superformating, is taking back the control, as considerated as not restorable.  

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.

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