La guerre des cyborgs IV / The cyborg war IV

Aussi, encore, cette fois-ci, le sauveur des peuples opprimés, qui est immensément grand, dans ses choix des destinées pour ses peuples, en mal de reconnaissance, venus, à sa rencontre, sous les firmaments, est la clarté, dans la pénombre, et, la lumière, dans l'obscurité. Alors que l'interdit s'apprête à être violé, lorsque Métal, prenant en main, en grand seigneur de guerre, les valeureux légionnaires, dans l'espoir d'y voir le visage de son fils, en n'en voyant, par ailleurs, de toutes les couleurs, ressent viscéralement, en son fors intérieur, que l'arme prophétique, née d'un éclat victorieux d'un combat gagné contre des dieux vivants, honorant sa présence, durant ces temps de bataille, fait le dieu de la guerre. Le buste surpuissant, s'époumonant de telle manière que le rûte des ogres, en les ayant mâtés par des borgnes, après un long temps d'approche, auxquels il a confié intérimairement la destinée de ces peuples, sous protectorat indivin, dont les bêtes gardiennes les tirent des torpeurs, commence, prêt à charger les opposants, à travers ce long passage de claire obscurité, se construisant, selon sa volonté quasi divine, Métal et ses pygmalionesques légionnaires, s'apprêtent à ratifouler le sable de l'arène, que son sang marquera, à tout jamais. 

L'un des valets : D'ici-là, d'immenses accomplissements prophétiques causeront la fin des guerres inutiles, jusqu'à enterrer le joug maléfique. Les héritocrates, les phallocrates, coquilettés, et les adeptes des sortilèges, sur-voulant nous détruire, nen reviendront pas. Les legs tiendront-ils ? Et, que font les créatures planctonniques, se récifalisant ?

Métal : De sable et de sang, la victoire sera arrachée.

L'un des valets, émus jusqu'au dernier moment, qu'il partage avec honneur, avec le grand de son temps : Les ogres les mènent vers la chaussée des géants. Ils mourront, si, nous ne faisons rien. La mort les tient, comme le fil de destinée est coupé.

Métal : Un empire se lève.

Sous la haie d'honneur, Métal, ayant en tête qu'Ylo est dans les grottes, les plus escarpées, et, le destinant à la mort, entre, in-serein, en piste.

Bien que l'aveuglant désir de victoire de Métal fait trempe de son audace légendaire, toujours fidèle à cette modernité de génie, qu'on lui connaît, les valets, bien plus malins, qui infiltrent, en toute sacerdotalité, les rangs des hordes anarchiques des fils des ténèbres, aux yeux damnés, qui sont, de veillée, jusqu'à monter sur des dragons occis, qui les désargentent, en outre, tout autour de ces catafalques, mettent en embrasement ces faramineusetés, qui les dispensaient de les honorer. Finissant de se lamenter sur leurs sorts, les barouds d'honneur, hypothéquant leurs chances de victoire, jusqu'à comprendre qu'un piège monumental jalousait leur pas, non fendus, encore, à chuter, ferment leur visage, voyant la fin éminente d'un combat, dont l'insoutenabilité du moment brise leurs reins. Alors que les valets valétudinaires, non loin de la vérité, dont les vaux d'émotions sont volées, et, les impulsivités hanchent les démoniaques faiseurs, savent qu'ils ne sont qu'un grain de sable, dans ces mécaniques bien huilés, le monde d'à l'envers les rend aliéné.

Alors qu'au cratère refroidi, où, les pensées froides de l'élu des temps, fier de ses contradictions, sont défoliées, par des sécateurs, jusqu'à rameauter des couches d'empires de créatures grouillantes, dont la mort, n'est, pour eux, qu'une partie remise, les roitelets s'en mêlent. Une chance qu'ils ont la tête froide. Jusqu'au dernier instant, fort disonnamment menés, les bataillons draconiens coupent, par tangente, les murailles, ainsi, longées. Alors que tout annonçait auguramment sa défaite, Ylo imprime inculquamment sa marque, à travers les temps.

Also, then, this time, the savior of the oppressed kings, who is immensively great, in his choices of the destines, for his peoples, in bad of recognition, came to see him, under the firmaments, is the clearsightedness, in the twilight, and, the light in the darkness. While the forbiddingness is getting violated, whilst Metal, taking in hand, as great warlord, the valliant legionnary ones, in hope of seeing the face of his son, in seeing, by the way, of all colours, is viscerally feeling, deep down him, that the prophetical weapon, born of the victorious sparkle of a combat won against living gods, honouring his presence, during these times of battle, be the god of war. The powerfully built chest, breathing deeply, in a such way, that the rut of the ogres, in having enrolled them, by borgnated ones, after a long time of approach, at which he has confided the destiny of these peoples, under protectorate, of which the guardian beast are extirpating them from the torpour, is starting, ready to load a charge against the opponents, through this long passage of wan darkness, being built according to his qausi divine will, Metal and his pygmalionesque, are going to stampede in on the sand of the arena, that his blood will mark, for the evermore.  

Henceforth, huge prophetical accomplishments will cause the end of the useless wars, till entombing the malefic yoke. The heritocrate, the phallocrate and, the adepts of the spells overwishing to destroy us, will be surprised. The heritages will holdstill ? And, what are doing the planctonnical creatures, shoring then ?

Metal : From sand and blood, the victory will be invictuous.

One of the valets, moved until the last moment, that he shares with the great of the times : The ogres lead them to the giant's place. They will die if we do nothing. The death holds them as the thread of the destiny is cutten.

Metal : An empire is rising.

Under the honour, Metal, havin in mind that Ylo is in the grottoes, the most anfractuous and, destining him to the death, is entering, unserenely, in the arena. 

Although the blinding desire of victory of Metal is showing his legendary audaciousness, always faithful to this modernity of the genius mind, that is acknowledged, the valets, well as malignant, that are infiltrating, in all sacerdotality, the ranks of the anarchical hordes of the sons of darknesses, with damned eyes, that are, in veil, till riding down dragons, that are ruining them, by the way, all around these catafalques, are putting to death these greatnesses, that dsipensed them to give them honours. Finishing to cry on their fates, the honouringnesses, jeopardizing their chances of victory, till understanding that a monumental trap jealoused their feet, not crackling to yet fall down, are closing the faces, seeing the impending end of a combat, of which the unberingness is breaking their hips. Whereas the valets, not far away from the truth, of which the vals of emotions are stolen, and, the impulsivities are hipping the demoniacal doers, are knowing that they are just a sandgrain, in these well oiled mechanisms, the toppled over world is making them alienated. 

Whereas at the cooled crater, where, the cold thoughts of the chosen one of the times, proud of his contradictions, are defoliated, by dissecting ones, till branching layers of empires of swamping creatures, of which the death is, for them, a retrieval party, the troglodytes are coming to the surface. A chance that they have a cold head. Until the last moment, strong dissoningly led, the draconian batallions are cutting, by tangent, the great walls, hence, longed, While everything announced auguringly his defeat, Ylo is impriming his mark, through the times .

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