Double VII / Double VII

Depuis bien longtemps, aussi loin qu'ils s'en souviennent, l'orage noirâtre, aussi noir, qu'il viendrait d'une brèche supermassive, sous forme de vortex, qui relègue les autres changements climatiques imprévisibles, à de simples facéties du temps, n'avait grondé, si fortement, et, n'avait escalé jusqu'à ce point de non retour, tandis que le temps ressurectif des êtres y est prié de rectifier les fautes, jusqu'à se rendre maussamment responsable, selon certaines superstitions, coupables, le transfuge du hangar réfectionnaire, et, ultraperformant, translogé, depuis le soulèvements des machines, au sein duquel les forgeurs, à la fois, carrossiers, mécaniciens des automations, roboticiens, et, surtout, animatronistes, doués d'une éthique bioéthique, donnent de la vie, et, de l'âme aux machines rouillées, et, calamineuses, jusqu'à transférer, grâce à une alchimie des âmes, des mémoires damnées dans un récepteur d'âmes, sous forme de condamnation éternelle, dont les sentinelles droniques, tels des collecteurs des âmes perdues, hésitent à déposer, dans le couvoir-réceptacle synthétique, dont les seuls cyclotronciens, expertisant les usines de réfaction, ont la capacité gênante de comprendre totalement, calame jusque dans les pré-sorties de lignes de superdroïdes, n'attendant que des superordres, où, le surnombre de robotisés empêcherait, même d'y repérer, dans la masse, un agent, capillant là, dans, ces compactés, et, resserrés au maximum, étendues de l'adversaire de ces genres ubiques, qu'il faut androgyniser, se cale sur les temps adversaires.  Alors que la tempête équinoxiale a bien eu lieu, jusqu'à méprendre des créatures pour des machines, et, des machines pour des créatures, les agents prolifiques, contrepositionnés, jusqu'à s'apercevoir qu'il existe des corrélations, avec le comité, enterré, dont le composant noyant l'esprit des justes, et, des indépendantistes, est la source des rémissions du mal, dans ces secteurs éloignés, qui effarouchent, jusqu'à épinçailler, à l'aide de microburins sophistiqués, les setentistes  y identifient, des failles rythmiques dans les lignes de production, dans ces estrans, comme si la désharmonie frapperait, à nouveau. L'insidieux renâcle, et, le vent de rébellion pousse les vaisseaux. Alors la fine fleur est toujours en holocommunication, grâce à des commutateurs, aux algorithmes changeant constamment comme pour brouiller les pistes, en ne gardant que la lumière épisodiste, qui ne permet qu'à la confidences, qu'une seule fois, lorsque la lanterne s'allume, puis, se re-éteint, l'un des rebellistes, aux bandicités mercenaires, aux extrêmes fortes déroberies, table sur des actions communes, pour démonter quelques chefs automates louches, car, l'automatisme se trompe. De ces nouvelles fraîchement accueillies, l'un des rebellistes, dont l'automaticité, et, la réciprocité sont des valeurs immuables, certaines choses dotés d'intelligence induite, permettant à une ductabilité évolutive, et une éducabilité incrémentale, possède une âme rebelle, voire, supérieure, diamime, jusqu'à ré-vêler sa vraie nature.

L'un des rebellistes : Les lignes de l'androgynisation ont été vu, dans les succursales, où, les succursalistes avaient représenté, dans ces  tablonnets, l'idéal universel. Les équithérapeutes ont du pain sur la planche. Les courroyeurs de sang, doués de la médecine du sang et de l'âme, aux études phlébologiques, sont en fuite.

L'un des concordiers maquisards : Et, si tout ceci était vrai. Si la représentation, en fer, de fer, dont la duplicité n'était que du feu, était le paradigme utopiste, inatteignable, les utopistes sont, à la concorde, ce que les rebellistes sont à débandade.

Deutérion : En tout cas, les cyclontronciens font flèche de tous bois. Les ubiquistes sont-ils partout ?   

L'un des rebellistes : Il contrôlera le monde, qu'une fois, qu'ils croiront à cette science universelle est au centre des mondes parallèles, contrôlant, ainsi, toutes vies sur ces galaxies. La lutte des classes des automates a été, depuis si longtemps, ignoré, dans les entrailles du temple des machines. Il faut une centaine de robots pour dissimuler un agent potentiel. Le fer grille les voix.

For so long, as far as they can remember, the black storm, as black as it comes a supermassive breach, in the guise of a vortex, that is on the top list of the unforeseable climatic changings, as compared as simple facetiousnesses of the times, had not scaled, reaching up to this non return point, whereas  the ressurective times of the beings is prayed, of rectify the sins, till rendering hearteningly responsible, according to certains superstitions, guilty, the transfuge of the refurbishing and ultraperforming ware, within which the forgers, at the same time, benders, mechanical ones of automations, and, especially, animatronists, talented of a bioethical ethic,give the life and the soul to the fainted machines, till transfering, thanks to the alchemy of the souls, damned memories in a receivers of souls, in the guise of eternal comdanmation, of which the only the cyclotroncians, expertizing the factories of refaction, have the capability of understanding totally, is  playing, with filthiness, in the pre-launchs of lines of superdroids. waiting just for superorders, where, the overnumber of robotized ones would avoid, even to spot, in the mass, an agent, as a hair, in the midst of this, in these compact and resserried to the maximum stretchingnesses of the adversary of the ubical kind, getting androgynized is stubbing on the adversal times. Whereas the equinoctial storm has occured, till interchanging creatures for robots, and, robots for creatures, the prolific agents, counterpositionned, till glimpsing, in underlining the fact that it exists, correlations with the comitee, buried, of which the component drowing the spirit of the justs and, the independantists, is the source of the remission of the evilness, in these distant sectors, that are brave, till pinching squeezingly, with the help of sophisticated microhammers, the setentious ones are identifying rythmical faults in the lines of production, in these elsewhere places, as if the disharmony would strike again. The insidious starts again, and, the wind of rebellion pushes the vessels. Whereas the fine soldiers are always in holocommuncation, thanks to the commutators, with algorithms changing constantly as for screening up, in keeping in mind that episodist light, that allow just confidences just once, the lantern is on, then, right away, off. one of the rebellists, with mercenary stealingnesses, with extrem strong stealings, is tabling on commune actions, for dismantling few weird automates chiefs, because, the automatism is getting xrong. Of these freshly welcomed news, one of the rebellists, of which the automaticity and the reciprocity are unchangeable values, certain things endowed of inducted intelligence, zllowing the evolving ductability, and, a incremantal educability, possesses a rebellious, indeed, superior soul, is diamimicking, till revealing his true nature.

One of the rebellists : The lines of the androgynization hae been seen, in the backrooms, where, the roaming ones had represented, in the tablet, the universal ideal. The equitherapists have a lot of work to do. The bloodveining ones, endowed of the medecine of the heart and the soul, with phlebological studies, are in run.

One of the concord ones : And, everyhting was true. If the representation, in iron, of the iron cladded one, of which the duplicity  was just lies, was the utopist paradigme, unreachable, the utopists are, at the concord, what the rebellious ones are to the disband.

Deuterion : In all case, the cyclotroncians are triggering arrowas. Are the ubiquist everywhere ?

One of the rebellists : He will control the world, once, they will believe all that the universal science is in the center of everything, controlling, hence, all the lifes on these galaxies. The struggle of the class of the automates has bee, for a while ago, iignored, in the wombs of the temple of the machines. It need one hundred of robots for dissimulating a potential agent. The iron is caging the voices.

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