La cataphonie V / The cataphony V

L'horreur porte un visage méconnaissable. Malgré qu'elles méconnaissaient le bien qu'il pouvait leur apporter, les zombies frappadingues, gâteux, et, gadineux, aux bâtons crantés, et étagérés jusqu'à être cloutonné de clous perforateurs, qui crapulent, et, verminent, qui nécessiteraient, bien, d'une chirurgie maxillofaciale, des maxillaires aux joues creusées, s'ouvrant horriblement, telles des bouches de l'enfer, y cherchent aveuglément l'orifice, qui les feront rejoindre les sommets. L'émotion, frisant le ridicule, y est perceptionnelle, lorsque le grand cœur des résistants bat pour qu'ils reviennent à eux. Parmi eux se trouve le conseil, le dernier renfrogneur, qui décadrera, par un acte de bravoure, lui rendant sa vie, le cadre de l'horreur, la porte à trou noir, si longtemps recherchée, et, si, parmi les revenants, se trouvait l'un des embrigadés. Les larmoiements ne cessent de torrenter sa colère, tourbillonnant, à l'intérieur de lui, comme si l’océan n'était que le seul recueil pour ses prières, constituant soudain, une chapelle de foi, jusqu'à sanctuariser ces lieux vides, longtemps, de bons esprits. Sans jamais se prendre pour dieu, qui mettrait un terme à cette guerre, et, jamais sans sa cutille, sa chambre de spiritualité, qui l'avait jamais quitté, en ces circonstances d'excessivités, où, il dépassait abnormalement le temps de vie, le batailleur, sur lequel tous les généraux comptent, jusqu'à ouvrir le baroud d'honneur, qui déchire son cœur, en petit morceaux, qui est totalement, à cran, depuis qu'il s'est foutrement embourbé dans les jeux interdits des graciles succubes, telles des concubines, aux visages d'enterrement, épousant le mal absolu, se donne peu de temps, jusqu'à y voir le prieuré, dans lequel la lumière, libérée par des prières, cousues, cette fois, de vérité, inonde son esprit, ainsi, sauvé. Mais, hélas, le chemin vers la lumière est trapué d'éclipsées noires, à partir desquelles les succubes véhiculent la mort. Pendant ceci, dans les camps concentrationnaires, où, le temps de chien vient à maurer, moroser, et, à nostalgiser, les esclaves de la mort, comme morts de l'intérieur, et, appartenant à ces bataillons morts, mais, vivants, maussés, et, maqués aux pires succubes, léchouillant diablement avec leurs langues brosseuses, et rêchues,  les crânes de ces résistants, de la dernière averse, dont les corps crient de vie, comme si tous les éléments étaient réunis pour revivre, sont, subitement, emportés par la gracilité de ces moments de soleil, replaçant la fée de la vie, à l'intérieur de ces espoirs perdus. Les larmes témoignent mutiquement de cette dernière salvation. Dans ce tout, la mémoire dans la lumière prismatique tient le rôle formidable de reconnecter les corps de cette vie. Soudainement, la lumière strombe, et strobile, jusqu'à étoiler leurs plus sombres nuits.

Tandis que le métronome, Fozin, ayant tangé, jusqu'à ne guère pouvoir rattraper Mote-a, dans sa descente dans l'abîme, où, Cygos, Nævus, et, Skovusins, sont piégés dans ce labyrinthe du temps, inredallable, y lance, malgré la successivité des actions malencontrées, qui l'emprisonne, d'emblée, cette orbe se filipendularisant, jusqu'à accrocher au bout de ce fil, cette lumière d'espoir. Les rubiquistes, qui rubicubant le monde des enfers, dans tous les sens du terme, sont éjetés, dans cette guerre cérébrale. 

The horror is carrying an unrecognizable  face. Despite the fact that they disacknowledging the good that they could bring to them, the crazy zombies, with staged sticks, spinned of perforating screws, that crapule and transform, that would well need of a maxillofacial surging, from the chin to the dug cheeks, opening horribly, such as hellmouths, are seeking blindfoldingly for the hole, that would make them join the summits. The emotion, quite ridiculous, is sudden perceived, whilst the big heart of the resistants is beating for that they come back to them. Amongst them finds the counsel, the last frowner, that will deframe, by an act of bravery, giving him his life, the frame of the horror, the gate of black hole, a long time searched, and, if, among the revenants, one of the brigaded ones. The teardrops do not cease to torrent his wrathful, whirlwinding inside of himself as if the ocean was not the only place the for his prayersn constituting, sudden, a chapel of faith, till sanctuarizing these places yet voided of good spirits. Never ever taking himself for god, that would end this war, and never ever without his spiritual chamber, that had never ever leaved him, in these circumstances, where, he exceeded abnormally the time of life, the struggling one, on which every general are counting, till opening the salutation, that are breaking his heart, into little pieces, that is totally in his nerve, since that he has been bogged down in the forbiden games of the demones, such as weds, espousing the absolute evil, is giving a little time, till seeing the priorship, in which the light, liberated by prayers, weaved, this time, of truths, is inundating his mind, hence, saved. But, alas, the path towards the light is trapped of black eclipses, from which the demones vehiculate the death. During all this, in the concentrationnist camps, where, the dog's time comes to melancholize, the slaves of the death, as dead from the inside,  and, belonging to the these dead batallions, but, living, dimmed, and, macked by the worst demones, leaking devilishingly with their hard brushing tongues, the skulls of these resistants, from the last downpour, of which the bodies yell for life, as if all the elements were reunited for reliving, are suddenly carried by the gracility of these sunny moment, replacing the fairy of the life in these lost hopes. The teardrops witness silently of this last salvation. In this allness, the memory in the prismatical light has the formidable roleplay to reconnect of life the bodies. Suddenly, the light is strombing and coning, till starring their darkest nights. 

Whereas the metronomical Fozin, having escaped by tangent, till not being able of making for lost time, catching back Mote-a, in his fall into the abyss, where, Cygos, Naevus and Skovusins, have been trapped in this labyrinth of the times, that can not be stepped, is launching, in spite of the successivity of the actions, that traps him, right away, this orb being filipendular, till clinging on this tip of thread, this light of hope. The rubiquists, that are rubicking the hellworlds, in the sense of the term, are throwed in this cerebral war.  

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