Le traitre de la traitrise III / The traitousness of the traitorship III

Au bout du compte, Mote-a ne s'était guère trompé. Laissant abandonnamment derrière lui, ce bol d'air frais, qui constitue, dans son cœur, un parc zoologique et botanique extraordinaire, abondant, toujours, d'idées ingénieuses, tant qu'il copie biomimétiquement la nature de l'avifaune, jusqu'à ignorer, au coin de ce paradis terrestre recrée, qu'ils étaient épiés, l'accompli n'y cache plus sa nouvelle religion de cœur. Cette théologie qui a grand d'être connue. Ce n'était qu'une fois que son cœur était rempli de la bonté de la nature, qu'il fit la possession d'une pierre de fertilité. Lui, qui avait besoin de cette fertilité d'esprit, les rejoignait, en quelque sorte. Soudain, alors que les forêts de combattants, emmitouflés dans la savane, à qui la fertilité de la nature viviscente importe énormément, sont déforestées, les unes après les autres, jusqu'à perdre les mamelons des collines, les créatures d'effroi, tels des morfales et mi-faméliques gorillants, aux têtes anthropologiques, et trapéizoïdales, qui crachent des morves dégueulassantes, avec des teneurs mycéliennes, se hissent sur les promontoires surélevés et cimaises, à ligne d'horizons panoramisés s'entrechoquant avec la vue lunaire d'un nouveau monde d'entoilement. Des vaisseaux solarisés, cousus d'une partie planisphérique, jusqu'à voir s'effondrer la thermosphère, sont leurs soleils doublés, suffisants à les faire patienter, jusqu'à quand. Une famille de golgotants, ayant les pied sur terre, braguemardisant les gros gibons taximoniques, à qui la mort est accoutumée de leurs présences, tient un sous-royaume obéissant. Mésaventurée dans ces captures gigantesques, la force brute gongue, jusqu'à lancer les hostilités. Les chasses aux golgoteurs, qui ne semblent guère tourner courts, sauf que le braconnage de ces charognes, et, ces gibiers, et, de leurs honneurs, leur donnent un certain avantage caché, c'est alors qu'ils s'entrefilent, tels des fléaux, dans ces croquables nacelles de pêche, tournaillant, dans le vide, jusqu'à y gagner tout un monde, ce qui laisse deviner qui sont ces créatures répressantes. Les épendances sont toutes faites. Partout, où, ils créent cette diversion fantastique, quasi miraculeuse, les victoires s'accumulent. La pluie d'étoile, attraignant les ruées vers l'éparse réflectante la toile, où, se joue la guerre. Les gisements, en tuf, sous lesquels, avec la tête à l'envers, des golgoteurs gisent de vie, font d'acroyable accompagnateurs, vers le firmament. De retour sur cette fuite temporelle, vers l'avant, curieusement, sur laquelle le traverseur du noir, des secteurs, semblerait-il, à ses yeux excipés, galactisés, constellées par des représentations étoilées, tout comme ces golgotés, s’ingénie lorsque ces bêtes de foires, des curiosités bestiales, et, également, bêtes noires, sont de parfaits interposeurs, reprend du poil de la bête. La glanation de la foi n'est guère encore expressible, qu'à moins, il avait abrité, avec un soin d'être immortalisé, ses mots apocryphiques, sous des pierres pyrographiques. Tout d'un coup, les dommages pyroclastiques n'avaient à oncques moment effrayé cet esthérisant ces feux d'esprit, emboclés, jartés dans des récipients hermétiques, obligeamment parfait de conception pour contenir l'immort, jusqu'à être le retémoin de cette fusion temporelle. L'accroyant à l'animus, au séjour, toujours, aussi, turpideux, dans cet instant d'animalité, où, il a de la veine, jusqu'à resubliminer ce royaume minéral et végial, suit, avec célération, l'étoile de pensée. Les croches de magie baltharzaresque y ont fonctionné parfaitement. 

Alors qu'il creuse ce sillon entonnal, vers le seigneur de la mort, les décans sont, les uns après les autres, réexaminés, avec une attention, si bien qu'ils savent parfaitement que la mort n'hésitera guère à les prendre, par ces astrologues, pour connaître les ascendances zodiacales, d'un des leurs, par Ylo, et ces astrologues-là. Bien que a défaite n'est guère pour maintenant, car, le gorifique y vasque du sang profus, un monde, en cuvette, l'escorté jusque dans l'abri souterrain, dans lequel une garde de la lumière vive, est, en veille, qui n'est autre que l'inconscient Mote-a, qui brûle d'impatience, jusque-là, blisté par des esprits psychopompes, de revoir ces consalués, empoche un sacré pan d'immortalité.

At the end of a this course, Mote-a did not mistake. Leaving dereclitingly behind him, this bowl of fresh air, that is constituted, in his heart, a zoological and botanical parc, abundant, alaways, of inegnious ideas, as he copies biomimetically the nature of the fauna, till ignoring, at the corner of this recreated terrestrial paradise, that they were spied, the accomplished one is not hiding his new religion of heart. This theology, that has big of being known. This was not once, that his heart fills of the goodness of the nature, that he possessed the stone of the fertility. He, that had needed of this fertility of spirit, joined them, in a way. Sudden, althought the forest of combattants, muffled in the savannah, whose the fertility of the nature viviscent is enormously important, are deforested, the ones after the others, till losing the peaks of the valleys, the creatures of the dread, such as the starving gorillas, with anthropological and trapezoidal heads, spitting out disguzsting salivas, with mycelian compounds, are hoisting themselves up till reaching the summits of the trees, with the line of panoramical horizons, schoking with the lunar sight of a new whole world of starringnesses. Solarized vessels, weaved of a planispherical part, till seeing collapse the thermosphere, are their doubled suns, enough, for making patient, until when. A family of golgoting ones, having the feet on earth, giving the power fo fertilizing to the big monkeys, taximonical, whom the death is accustomed of their presences, is holding a obeying sub realm. Misadventured in these gigantic captures, the brutal force is ringin gong, till launching the hostilities.  The hunts for golgoting ones, that do not seem to be turned down, except that the  hunts for these fleshes, and, their honours, give them sudden a certain hidden advantage, it is then that they clobbing up, as the flail, in these crookable nests of fishes, swirling in the vois, till gaining a whole new world, what let them guess who is inside who are the creatures of control. The ependances are all done. Everytwhere, where, they are creating this eerie, quasi miraculous, diversion,the victories are getting accumulated. The rain of star moderate the rushes vers the sparsing reflectingness of the toil, where, the war is played. The deposits, in tuf, under which, with the head up and down, golgoters are flancked of life, be incredible accompanying ones, to the skies. Back to this temporal run, towards the forward, curiously, on which the crosspather of the blackiness, and, of the going-to-be-galactized sectors, constellated by starred representations, as all these golgoters, is mingling while these beasts of circus, bestial curiosities, and, also, black beasts, are perfect  interposers, is taking back faith. The glanation of the faith is not yet expressible,  unless he has sheltered, with a care of being immortalized, his hidden words, under pyrographical stones. All of a sudden, the pyroclastical damages had never ever frightened this estherizing these fires of spirits, dumped in defaultless and flawfless recipients obligingly perfect for holding the undead, till being the rewitness of this temporal fusion. The believer of the animus, isojourning hellishingly n this moment of animality, where, he has luck, till resubliminating this mineral and vegial realm, is following, with wits, the star of the thought.  The magical balthazarical crooks have fucntionned perfectly. 

While he is digging this furrow towards the lord of the death, the decans are, the ones after the others, reexaminated, with a attention, although they are perfectly knowing that the death will not hesitate to take them up, by these astrologists, for knowing the zoodiacal ascendancies, of one o fthem by Ylo and those astrologists, Although the defeat is not for now. because, the gorified one is pouring down blood an entire world, in cuve, the escorted up to the undersided shelter, in which a guard of bright light, is, in veil, that is not other than the unconscious Mote-a, that burns of impatience, thereupon, blisted by psychopumping spirits, of seeing back the consalutated ones, is collecting a sacred pan of immortality.

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