Les filipendulaires II / The filipendular ones II

Avec ceci, la chimiothèque s'étoffe. Pendant que les descendeurs, aux écœurations et aigreurs très fortes, quasiment indépassables, en terme de vengeances inquantifiables, qui expriment, en regard des événements obscurissimes, et, transviciants des intentions à vouloir éloigner les dangers provenus des entrailles du monde obscur, dont les voix d'outre-tombe éventent, au pire moment, se contentent, de peu, le paladin, ayant, avec judicie, mis en relief les sculpturées par les grottes diablotines, jusqu'à judicier le fait d'associer ces touche-à-tout passe-murailleurs, dont les oreillons poilus et poudreux tombants piègent des bruits amenant à des issues, dans lesquels les transmorphologies participent lourdement à leurs pertes, s'échigne à railler ces traverseurs sur-fardelés, qui seraient scoumonés, à leur tour, à la place de ces grand échassiers, à qui le ciel des hommes, dont les bras s'étaleraient bien de plumes soufflables, doit beaucoup. En tout cas, ils remplissent bonnement les cases, durant ce temps long. Un peu partout, dans ces creusets, le démon ethnomorphique, aux mouvements vaporeux, et, déportés, avec un cran d'avance, parasitant jusqu'à commanditer la main voleuse de ces passeurs, d'un genre maléfique et présomptif, est le semeur du chaos. Soudainement, loin de ces entretissages du mal, où, la neige réfugie, tant bien que mal, les oppressés, les forces de la nature relayent les intimiques convictions de ces impuissants, ayant mis sur leur chemins ces salutateurs. Malgré que la voix de la nature se désatténue, d'impuissance, peu à peu, dans l'esprit de ces témoins, leurs renforcements viendront prochainement.

Dans ce monde, à l'intérieur du monde de désordre, les choses s'organisent. En premier lieu, les lutins orguent les organes de la nature. La guigne guette, et, alors pour combattre la poisse, les lutins implorent les mondes sauvés. Aussitôt que ces scoutiques et trognonniques lutins, trop souvent lunaires et farfelués, par des paladins hautainisant et snobinards, qui ne mouchaient guère dans ces grandes salles aux maléfices, éboulent ingambement jusque dans ces raques, aux boiseries mélaminées, et, resplendissantes, brouillent le temps, comme pour se ressentir dans leurs verdures, aux odeurs de bois de santal, jusqu'à prier l'esprit de cet arbre, qui féconde leur terres, reparsemées de glands, de noisettes, de marrons, et de châtaignes, mais, également, spirituellement, l'espoir se ressèmerait, petit à petit, selon les folklores, les plus appréciés. Tandis que les temps d'insouciance se moquent des temps chaotiques, les juges de la situation avalaient l'abscondité des droits des peuples, sans divinité. Malgré que les druides physiognomonistes scrutatifs, qui échelonnent des temps d'observation, dans les forêts miraculeusement luxuriés, par rapport à leurs pépinières, jusqu'à voir la forêt risaimer, à nouveau, ces calanques, des lutins, telles des boules de poils, qui escantent, avec leurs voix hauts perchées, créçantes et crécerelle, comme pour que des ailes, se déployant, dans les ciels, ravinent les sillons du chaos. Le flegme des soldats, investissant des druides, en abnégation, demeure intact quant à cohabiter avec ces vies d'ailleurs. Malgré qu'il écastille, de branches géantes, ces ciels d'ailes, le roi trognnonique, qui y accueille, tout en villégiant, en hauteurs, les lutins de passage, allie les branches de peuples, à ce ciel souteneur, sous dragons.   

Chaque lieu, où, la forêt balbutie, sorbettise une foultitude de trognes. Concernant de cet ersatz de peuples, les abattus de ces batailles, trop grandes, pour eux, ayant trouvés grâce à leurs yeux, comme les hospicieux leur accordent des barques célestes, creusées dans des perchoirs incroyables, se dénimbent, petit à petit, de ce voile ténébrique, y trouvent une issue heureuse.  A cette perte irréparable d'irrepérable garon sectorisé, dont les boussoles indiquent, toutes, la disparition magnétique, les combats in-démarrés, pour que les poursuiveurs assentis, qui s'attachent à ces temps épargneux, déplorant ces latences, regagnent leurs temps.

With that, the chimiotheque is getting restored. Whereas the downworlders, with very strong soreness, quasi unexceedable, in terms of unquenchable revengefulnesses, that are expressing, in glancing upon the dark events, some intentions to wish to impel the dangers coming from the wombs of the dark world, of which the voices from the beyond world are tipping off, at the worst moment, are contempting of little thing, the paladin, having, with justness, put in relief the sculpturated by the bedevilishing grottoes, till judiciating the fact of associating these sliders, of which the falling hairy and powdering ears are trapping noises leading to issues, in which the transmorphologies participate a lot in their losses, is slowing down in mocking these overburdened crossingpaths, that would be plagued, by turns, and, instead of the great long legs, whose the sky of the mankind, of which the arms would be well feathered of blowable feathers owe them a lot. In all case, they fill wittingly the cases, during this long time. Everywhere, in these deadpools, the ethnomorphical demon, with vaporous and deported movements, with a advance, parasiting till command the stealing hand of these sliders, of a presomptive and malefic gender, is bringer of the chaos. Suddenly, far away from the sowings of the evil, where, the snow shelters, whether it takes, the oppressed ones, the forces of the nature are calling upon the intimical convictions of these powerless ones, having put on their paths these salutating ones. In spite of the voice of the nature is, of its powerlessnesses, not dimming any longer in the head of these witnesses, their reinforcingnesses will come soon.  

In this world, inside the world of disorder, the things are getting organized. In first place, the sprites are organed the organs of the nature. The jinxed eye is at each corner, and, then, for combating the jinx, the sprites are implorating the saved worlds. As quick as those drafting and muggy sprites, too often lunar and mocked, by the snobby paladins, that were not backbiting in these big rooms of mischievousnesses, are, with sliness, descending in reaching these racks, with melamined and resplendishing woods, for feeling well in their greeness, with odors of santal's wood, till praying the spirit of this tree, that fecunds their lands, full of glands, nuts, and, chestnuts, but, also, spiritually, the hope would be sowed, little by little, according to the most appreciated lores. Whereas the times of unworrinesses are mocking chaotical times, the judges of the situation swallowed the obcurities of the rights of the people, without divinity. Despite the fact that the scrutative physiognomonists druids, that are lengthening the times of observation, in the miraculously luxuriated forests, per to their seed wares, till seeing the forest resplendish, again, these flancked places, sprites, that are singing, with their high pitched voices, as for the wings are deploying themselves, in the skies, are attacking the furrows of the chaos.  The phelgm of the soldiers, entrusting the druids, in abnegation, remains untouchable, as being co-inhabitant with these lifes from the nowhere. In spite it castling, with giant branches, these skies of wings, the trognonnic king, who is welcoming, all in resplendishing the heights, the sprites of passage, is allying the branches of people to this sustaining sky, under dragons. 

Each place, where, the forest purls, is sorbetting a variegatingness of mugs. Concerning this ersatz of peoples, the doomed of these battles, too big, for them, having found grace to their eyes, as the auspicious grant them celestial boats,  dug in incredible perched places, are denimbed, little and little, of this darky veil, are finding a happy issue. To this unreparable lose, of the unreparable secotrrized garon, of which the compasses indicate, all, the magnetical disappearance, the combats not stated for the pursuing ones, that are clinging on to the sparing times,  deplorating these latences, are gaining back their times.

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