Eolipyle III / Eolipyle III

Les gorgones accompagnés de corbeaux croasseurs, se bourrent lorsque l'odeur du soufre fumante de délire et délirium psychopathique, dansant dans les volutes du monde renaissant, vient à détailler une montagne, en basse coulée magmatisée, acceptant les morts des tréfonds. Les terres d'arables, d'hêtres, et, d'ifs laissent place à des affûts, dans lesquels les gorgonites carapatants, dont les charognards lèvent les traces odorantes, empruntent les lieux de sacrifice et de rituel, animisés, jusqu'à que les orants fassent chemin inverse, jusqu'à les faire simier, telles des créatures primaires. Alors que les gorgones habillent les crimes de lèse majesté, Aphélie au brin fantasque, qui se rabourrait de tous ces grimoires, ces grouillages de vies dans lesquels se couchaient des histoires à dormir debout, se donne un refuge de pensées, qu'aucun démon puisse voler. Alors que le bague sigillaire, efflanqué d'une tête faunistique, au pouvoir animique et animiste, le protège le temps de ramener les morts dans ces pré-lieux des ténèbres, pour constater les toutes premières prédites vérités, tout craille, y compris sa bague harcelée, lorsque le bec de ces crécerelles pique. Dans le même moment, faisant fi des angoisses, les gorgones amenuisent biqueusement ces vols d'oiseaux préveneurs et présageurs, jusqu'à s'enfouir dans le sol tourbeux et limonifié.  Loin des oisillons, qui zinzinulent, dans ces nid-de-poules géants, chaussés par des géants, les gorgones, pouponnant le temps maquillé à paraître, en leur faveur, alors qu'un mal se joue, et jourise, s'accable faussement, afin de fossoyer ces vies gênantes. Alors que rien semble résister à leur joug, jusqu'à fouiner dans ces pouponnières, les dissolues, dans leurs actes de sabotage, quelque fois, revêcheux crée une diversion incommodante, qu'abhorrent les gorgones diurnes, profitant à Aphélie. Bien que le dôme de chaleur, qui est chaulé, comme si l'esprit tortureux, en tourment de leurs temps sabrés, renfermé par les radiesthésistes, les voyants, et d'autres précepteurs, qui radiesthésiaient, assure des évènements dramatiques, dont la hantise des lieux était forte, le sacrifice de son temps stoïcise les moindres exagérateurs, à qui la guerre crépusculaire avait grandi avec eux. Les fleurs du mal, empoisonné de noir, et, noiraude pistillent les parfums, jusqu'à ne même plus tinter leurs pensées de soupçon avant-coureur d'une mort imminente.

Sans mise en échec, l'ange du bien, et, l'ange de la mort, qui sont du pareil au même, aux yeux des gorgones, le confondant, Aphélie, qui austéritarisait les royaumes des sots, se quitte d'une mémoire, jusque-là, enfermant l'emplacement de l'antichambre.

The gorgones accompanied with yelling are misdoing whilst the odor of the suplhur, smoking smudgingly of psychopathical delirium, dancing in the volutes of the rebirthing world, come to detail a mountain, in lower magmatized flow, accepting the death from the bottoms. The lands of trees are letting place to dens, in which the shambling gorgonites, of which the bounders are tracking down the odoring traces, are seizing the places of sacrifice and of ritual, till that the dawning ones do reversal path, till transforming them to primal creatures. Whereas the gorgones are covering up the crimes of the uncommonality, Aphelion with a dosis of fantastic, that is fuelling himsekf of all these books, these swarmingnesses of life, in which laid swamper whimpering stories, is giving himself a shelter of thoughts, that no demon can steal. Whereas the sigillary ring, flanked of a fauna's head, with an animical power, is protecting him to rebring the death in these fore places of darkness, for constating the all first foretold truths, everything is causing a little stir, including his agressed ring, whilst the birds are biting. In the samewhile, fearing the anguishes, the gorgones are harming, quite badly, these flights of advening and omening birds, till hiding in the muddy grounds.  Far from the little birds, that zinzinulate, in these giant sinkholes, stampeded by the giants, the gorgones blemishing the time masked to appear, in their favour, while an evilness plays them, till mopping down these disturbing lifes. Whereas nothing seems to resist to their yoke, till seeking for these ferver-swamps, the dissoluted ones, in their acts of sabotagignness, sometimes, hard to beat down, is creating an harmful divertion, that abhorrate the diurnal gorgones, in profit of Aphelion. While the dome of heat, that is downpoured, as if the tormenting spirit, in turmoil of their sacrificed times, cloistered by the radiesthesists, the soothsayers and other preceptors, that radiesthesized, is ensuring dramatical events, of which the hountedness of the places was strong, the sacrifice of his times is stoicizing the sligthest exagerating ones, whom the crepuscular war had grow with them. The flowers of the evil, poisonned of blackiness, is blacking the perfums, till not even taint their thoughts of forwarding hint of impending death. 

Without failure from Aphelion, the angel of the good and the angel of the death, that are the same for the gorgones, the confounding one, Aphelion, that austeritarized the realms of the lewdy ones, is leaving one though, up to there, closing the place of the antichamber.

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