Mêlée de roches II / Rockcraft II

Les haut lieux, à partir desquels le réel de l'archéoastronomique est loué d'exaltation, par les intimés à accomplir leurs devoirs, coûte que coûte, s’assoient sur des dangers des profondeurs, grouillants, et, vivides. Tous s'éreintent, jusqu'à schmecter l'origine de ce mal, à percer, dans n'importe quel œil suspectable de porter le mal, en son sein, la couleur de l'âme. Contrairement aux elfes naturalistes, et, végétaliseurs, jusqu'à tordre les règles bienséantiques, tels que fourchent des lianes et des cordeaux tirés de manière à réensauvager les esprits, les sylvains terreux, doublés d'un aspect démonieux, et, aux étranges rhapsodies, sont démoniaques, et, les faunes sont des excentricités du mystique. Les yeux fuiteux, dans ces voies mystiques, qui stimulent dangereusement les forêts endormies, et mélopiques, qui se vengent, dans les eaux démoniaques, sont entrain de sondoyer les bandes de terres. Alors que les points de contagion s'élargissent à l'ensemble des points chauds, les dragons réticulés, aux crânes sagittaux, et, aux babines mandibulaires, qui sont énormifiés au vue des énormités, qu'ils commettent, avec une fierté mal placée, des actes envenimants, sont des bêtes à charrues, chahutées et huées. Bien que fortifiables, les forces vives des dragons, qui émêcheraient bien de nombreux esclandrés, et sont, couramment, tâtillonnés par des sylvains, emmiochés, jusque-là, risquant d'évoluer, d'une manière étrange, en s'octroyant, en toute transfulgurance, une hauteur, s'abandonnent, soudainement, dans ces jetées, qui font s'écraser une multitude de magots. Tout n'est guère rose, dans ces lieux tombaux, où, des abandonneurs de leurs corps mausolent. Alors que les torturés, et les suppliciés sont, sur des brodequins, affirment, par des cris de tortures, puis, après avoir passé l'au-delà, la terreur de ces lieux, dont les visites exploratoires de ces dragons matois, rétifs, cornaqués, et, engoncés, avec leurs fantomêtres naturels, les morts, ne semblent, en rien, perturbés. Le maître mot est de ramper en rasant la terre humectée, jusqu'à ne guère excéder la hauteur de ces cadavres affalées. Dans ces propyles désuperbés et vêtés, encore, d'une gloire passée, à qui le vestonnement paraît suffisant pour des êtres passés, les dragons morticulants, partout, excellent dans la percée de ces portes de l'au-delà.

Quelque part ailleurs, loin de ces brouillages du temps, qui cèdent à l'enjeu anthropocénique, où, les elfes éléfiés, et, dandys, qui abrument leurs oreilles pointant vers le ciel, jusqu'à entendre le son dit gravant et poisseux, aigu, à souhait, qui s'offusquent de la place des machines, dans cet ordre de bataille, approximent, avec une élégance inouïe, la vagance des cris fantomatiques, strioleux, et stridentés de manière horrifique par les bouches de l'enfer émoussées. Le siège des âmes, qui refait des siennes, fait seul de sa renommée.       

The high places, from which the realness of the archeoastronomy is rented of exaltation, by the intimitated to accomplish their duties, whether it takes, are besieging on the dangers of the depths, crawling and vivid. All are getting exhausted, till smelling the origin of the evil, to pierce, in any suspectable to carry out the evilness, within it, eye, the colour of the soul. Contrary to the naturalist and vegetalizing elves, till torsing the common rules, as the ivies and the stringed ropes are forking out, in a way of rewildering the spirits, the sylvan elves, dubed of a devious aspect, and, with strange rhapsodies, are demoniacal, and, the faunas are excentricities of the mysticalnesses. The mystical eyes, in these mystical ways, that are dangerously stimulating the slept forests, that revenge up, in the demoniacal waters, are going to probe the patches of lands. Whereas the points of the contagion are widening to the wholiness of the hot spots, the reticulated dragons, with splitted skulls,  and, with enormous lips, that are enormous, to the sight of the enormities, that they are commiting, with a ill placed proud, envenoming acts, are beasts of carts, hushed. Although fortifiable, the bright forces of the dragons, that would breach up well numerous squadfighters, are currently  tousled by the sylvan elves, bratted, up to there, risking to evolve in an odd way, in acquiring, in all transfulgurance, a height, are suddenly derelicted in the cliffhanging cliffs, that make crush down a variegatedness of treasures. Everyhting is not pink, in these tombal places, where, the derelicters of their bodies are mausolating. Whereas the tortured ones are, on the torturing sticks, are affirming, by screams of tortures, then, after having been pasted up to the beyond, the terror of these places, of which the explorating visits of these gazing, shy and vested dragons, with their natural fantometers the dead ones, do not seem to disturb, in nothing. The word master is to crawl up, in razoring the wet lands, till exceeding the height of these affeased corpses. In these propyles not great anymore, and,  worn, again of the past glory, to which the appearance appeals enoughly for the pasted beings, the morticulating everywhere dragons are excelling in the piercedness of these beyond gates. 

Somewhere else, far from these disjonctingnesses of the times that yield to the anthropocenical stake, where, the elefied and dandys elves, that are wearing their ears pointing out the skies, till hearing out the pitchy sound, that are offuscating themselves of the place of the machines, in this order of the battallion, are approximating, with an elegating way, the wavingness of the ghost screams, and giving goose bumps, in a horrific way by the hellmouths. The siege of the souls is talking for itself.    

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