Le faune et le sylvain VI / The fauna and the sylvan elfe VI

Loin des imaginations du peuple des fées, qui distribue la peine, le chagrin, aux créatures champignonnières, instinctuelles dans ses recherches de la vérité, dont les reconnexions avec la nature sont impossibles, tant le feu s'interpose, les créatures fayottes, et, perchées, michetonnent un plan, à se rappeler, pour bien longtemps. Hélas, l'orage de sentiments, une fois, passé, est déchiré par les morceleurs obscurs, qui hument les dernières peurs ondiquement partagée, dans ces seins confinés. Alors que les dépasseurs de ce seuil moribond, où, tout être doit avoir une rogation pour trépasser, peut être abduit, jusqu'à se subduire enfouissamment, dans les creux-de-terres, sont les proies privilégiées, les créatures amnésiques, mais, opportunistes, quant à elles, parviennent à crucher, voire, émietter le secret jalousement gardé. Partout, où, la forêt grignote des parcelles de landes, tous parlent de la magie du mycélium, et, la preuve tant attendue proute, dans l'un des encossées loges. Alors que le drain de manigance commence à faire ressortir vilainement des veines, encore dissimulées, dans lesquelles le monde pétri de mauvaises intentions fait rougeoyer, est fial, pour les donnants dans la grotesquerie. En premier, ils s'échignent à ne guère dévier veinement les veines, sur lesquelles les disparitions des mémoires sont inquiétantes, tel un sort bondissant sur eux, et, en deux, ils confient, sans ravage, et, sans dégât, au roi des champignons vénéneux, et, surtout, en-venimeux, de convoquer les diligents.

Le roi des champignons : La sale guerre a enfin ses ennemis cruellissimes. Les meilleurs transmorphificateurs sont du côté de ces maîtres-champignons. La vérité constatée, dans la forêt s'allie aux pensées d'un des nôtres. Que commence la printanisation. Changeons les saisons !

Judae : Au loin, l'énième bataille des croisées de la lumière, explorateurs des puits profonds, aux pilarités curieuses, dont les précédentes batailles saisonnaient, semble permanente. Les dieux défèquent leurs rages, jusqu'à les couler, les noyer, par la boue causée par l'orage, qui cisaille, par des éclairs fulminaires, la roche promontée d'un aigle aigleronnant les emblèmes. Ces brisures sont à relever. La terre écumée est leur seul refuge. Que devons-nous faire ? Cette noisettée de combattants, aux couvre-chefs parasoliques, suffiront-elle ?

Le roi des champignons : L'épineuse question doit faire méticuler nos prochains mouvements, dans ces tapisseries toiturantes des forêts. Les tisserands s'allieront à nous. L'imagerie féérique, et, la polyphonie fantastique, dans la tête biscornue du faune, ont fortes à faire. La dégentrisation des lieux sarcloyés ont permis de regagner, autre part, une beauté non fadasse, et non blèmisée. La polyphonie est, certes, fanfaronnesque, et tintammaresque mais, les sols ne nous privent guère de les écouter. Les quiversifications sont propagatrices de peurs.

Judae : Votre aiguille de la vérité percera. Une acupuncture pourrait fortement servir cette guerre, et, cela aurait des bénéfices cachés. Dans le cellier du monde, nous attiraillerons pour préparer un sac, sans précédent.   

Far away from the imaginations of the people of the fairies, that distributes the pain to the mushroom's creatures, instinctual in their researches of the the truth, of which the reconnexions with the nature are impossible, as the fire is blockading, the following and perched creatures, are plodding on with the cause of plan, to be remember, for a long time. Alas, the orage of feelings, once, passed, is splitted by the dark morsellers, that where, every being must have a rogation for trepassing, can suffered from the abduction, till subducting buryingly in the soaked holes, are the priming preys, the amnesical but opportunist creatures, as for them, are succesfully crumblling the secret jealously kept. Everywhere, where, the forest is eating out the patches of lands, everybody talk about the magic of the mycelium, and, the proof so awaited is shown, in one of the encossed lodges. Whereas the drain of manigancy is strating to make regush villainously veins, yet dissimulated, in which the world full of bad intentions is making reddish, is trustworthy, for the givers, in the clumsiness. in first, they are disputing to not deviate the veins, on which the disparitions of memoirs are worrying, such a speel jumping on them, and, in twice, they are entrusting, without ravage, and, without damage, to the envenoming king to convoke the diligents. 

The kingslet of the mushrooms : The dirty war has finally his opponents. The best transmorphificaters are in the side of these mushroom's masters. The truth constated in the forest, is being ally to the thoughts of one of oure. That starts That starts the printanization. The the season changes.  

Judae : From far away, the countless battle of the crusaders of the light, explorers of the  deep wells, with odd pilarities, of which the precedent battles were seasonning, is seeming permanent. The gods flooding of rage, the lands of men drown with mud, caused by the storm, that, chiseles, by fulminary lightnings, the rock foremounted of an eagle eagling inside emblems. The broken ones are to lifted up.  The soaked land is their only hope. What shall we do ? Will this nutty of combattants,  with huge hats, be enough ?   

The king of the mushrooms : The thorning question must do meticulous our newt moves, under the roofing carpettingnesses of the forests. The tisserands are getting allied to us. The fairy's imagery, in the head of the behorned fauna, have a lot to do. The degentrization of the cropped places have permitted to win , elsewhere, a beauty not bleeched. The polyphony is thus trumpeting, but, the grounds do not private to hear them. The quiverings are spreading the fears.

Juade : Your spin of the truth will pierce through. An acupuncture could strongly serve this war, and, that would have hidden benefits. In the worldwide cellar, we will prepare a quagmire.  

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