Les ascendants II / The ascending ones II

L'abîme des combattants s'élargit grandement, jusqu'à provoquer l'émoi des supporteurs de cette chapelle de roches. Rien ne s'effrite aussi vite que ces chiffonniers. Sans munitionnés les gardes, bien, précinctes, par cette nature irréelle, s'éloignent de ces frontières de croyance, sur lesquelles la mort se dresse pour les faucher. Bien que le code, pour lequel des combattants ne cesse de produire des imprécisions, dans leurs descriptions lamentable, se battent, y déplore un sens juste, le rapide sens, qui se perd, de combat juste, est tardivement coercé. La lanterne de fantassins, n'ayant rejoint les carrousels mystiques, au sein desquels, se dessinent des remords, qui les rongent, s'était bridée de lumière juste, dans ces dérivations coupables. les incursions s'épendent, dans ces sacs forestiers noueux, les cloportes excisent des passages furetant dans des orifices, dans ces sacs végétaux étranges. Dans les étendues rases, les bergers portant l'étoile dans leurs cœurs, deviennent veules, acariâtres, grincheux, et, des porte-a-faux, pour le moins étrange. Au même moment s'englorifiant, à travers les trébuchements des élus, où, le pogue sombrissime, défalé de ces grimpeurs, et, ces escaladeurs, sur lequel le mirifique Lug empogne ces terres déplacées par ces créatures faisandières, aux odeurs plus qu'étrange, le clairon de ces derniers samaritains sonne la cessation des combats. Le bâton érige la lumière poguante. L'immanqué événement, dans ces horizons sombres, est, de loin, l'acrimonie des ciels, lorsque le pognement,qui n'a manqué de créer, dans ces couloirs des vents tempétueux, émousse les valeureux agrippeurs, paraguant, par ailleurs, dans ces intersillons fallactiques. Dans les hauteurs épargnés de ces invasions grouillants, depuis ces trouées monstrueuses, le sacreur, Lug, qui, envahissamment s'empare de l'attention des fortes têtes, goussonne, par des remontadas, cette garde, et, des boîtes flanquées de remonte-pendules. Aussitôt que la garde, au pardessus blasonné, est gotée de trésors pleins les poches, ces préceignements servent à faire luire les pierres d'emphase, rainurante de lumières instilleuses. C'est alors que l'un des gardes, aux curieuses capacités médiumniques, et, superstitieux, apostrophonne Lug.  

L'un des gardes : Lug lyriserait, jusqu'au dénouement final. Il fera orire les nouveaux jours, au-dessus de la manière dont nos imaginations vivent. Les admonieux ne suffiront pas à nous ralentir.

Un autre garde sceptique : Vivre, sans combattre, n'a d'honneur que dans la mort. L'aboyé y rameute les loups de la vengeance. 

Lug : Les pognes sont remplies du sang des opprobrés. C'est que brévier, ne suffit pas de gagner la guerre. Nous devons avoir, en visée, le monde du néant.  Dans les grands instants, durant lesquels les limites de l'existence sont explorées, lors de ces cessions, dépassées, et, trop tardives, hors de la réalité, les morbideux, et, les mornes ne contrecaleront pas, ils seuilleront le pied majestueux de la victoire statuée. Dans les habitudes naturelles de ces grisailles, il y a des lumières, qui dragonnent.

Bien que le géomagnétisme est le fil ténu de cette anguille, qui percera ce mystère, les bâtons de sourcier des magnétiseurs vibronnent, qu'il est impossible de passer à côté.

The abyssalness of the combattants is greatly widening, till provoking the emotion of the carriers of this chapel of rocks. Nothing is crumbling as fast as these brats. Without munitionned the guards, well, belted by the nature of the unrealness, are being distant of these frontiers of the belief, on which the death is standingstill for mopping down. Although the code, for which the combattants does cease to produce unprecisions, in their lamentable descriptions, are fighting, is deplorating a sense, the rapid sense, that is lost, of a just combat, is lately coerced. The lantern of combattants, in not rejoining the carrousels, within which are drawing remorses, that gnaw, is cutten of just light, in these guilty's derivations, the incursions are quite continuing in these knotted and forest's bags, the gatecrashers are excising passages furrowing in orifices, in these vegetal odd bags. In the mopped down stretchingnesses, the manants carrying the star, in hteir heats, are becoming moaning, grinched, and, tensing to wrong actions, for the less odd. At the same moment, being glory, through the exploits of the chosen ones, where, the dark pog, empty of these climbers, on which the mirific Lug is seizing, with his hands, these lands deplaced by these intoxicating creatures, with odors more than strange, the saving bell of these last conquerers is ringing the end of the combats. The mist is erecting the pogging light. The unmissed moment of events, in these dark horizons,  is the acrimony of the skies, when the handgripping has not missed to be commentated, in these tempestuous lanes of winds, is galvanizing the valliant climbers, siding, by the way, in these cliffing interfurrows. In the heights spared of these swarming invaders, since these monstrous sinkholes, the sacring one, Lug, that, invadingly, is seizing the attention of the strong heads, is turning up, by angeringnesses, this guard and boxes flancked of pendular knots. A soon as, the guard, with the blazonned clothe, is full of treasures in the pockets, these foreroundingnesses are serving to make gleam up the stones of emphasis, streaking of instillating gleams. it is then that one of the guards, with curious mediumnical capacities, and, superstitious, is interpellating Lug.

One of the guards : Lug would fight elegantly, till the last combat. He will do dawn the new days, above of the manner of which our imaginations live. The admonious will not slow us down.

Another skeptical guard : Living, without combatting, has just honour in the death. The yarked ones is regrouping the wolwes of the revengefulness.

Lug : The mitts are fulled of blood of the shameful ones. We have to have, in target, the world of the centrum. In the great moments, from which the boundaries of the existence are explorated, during these cessions, out of time, the morbid and the mornfull ones would not counter-arrest, they will threshold the foot of the victory statuated. In the natural habits of these greyingnesses, there is lights, that dragoon.

Although the geomagnetism is the fine thread of this kneel, that will pierce this mystery, the staffs of the source of the magnetisers vibrate that it is impossible to not gaze at.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.