La nuit vénusienne II / The venusian night II

L'apparition miraculeuse des lis de feu, à la robe sulfureuse, déflambouillent les esprits bouillants, qui flétrissaient comme feuillades pâlottes. Sous les attaques psioniques, et, psychédélisantes, les fantassins s'accrochent à cette voix histriante.

L'un des fantassins : Comment se prénomment les créatures venues des cités citérieures ? Les paires d'yeux, telles des perles magnifiques, qui nous fixent, rajoutent au joug de cet pan de passage flûtiste, persiflonné de trous de résonance, où, la réverbèration tire son fonctionnement. Halte trépignateurs ! La divinité protectrice nous fait enterrer, dorénavant, nos vies de combattants ordinaires. Il y a une lumière, qui ne trompe pas, et, l'amitié de ce peuple gruauté accorde nos gestes devenant délicats.

L'un des clercs, empaquetant ces paquetages curieux, en jute : Le propre de l'humain est d'aider, quant serait-il de ce peuple ? La tension dans la main, qui doit transmettre l'once de sérénité et, non l'angoisse. Fantassins, soyez prier de convenir à ces convenances.

Un autre fantassin, à la forte conjonctivite : Seul un tir d'éclair pourrait terminer toute négociation. Vous n'y songez pas. Les cœurs végétaux sont dénouables de ces sentiments, que nous léaturons. Dans les archéoastronomiques milieux, où, l'alignement des astres est l'instrument des déités pour conjurer les sorts, les palais souterrains, et, les royaumes des ténèbres, vous ont succédés, dans cette réalisation de cette cosmogonie. Le salut des trognnoniques triomphaux, sous le faîte de la puissance de la terre, y est consigné, dans nos cœurs. Comment apporter la certitude, lorsque la certitude est l'antiliant, puisque, tout ce qui est relatif à l'univers, est d'origine tumultueuse.

Alors que la barde de fantassins, réfutant le précariat des moines et prêtes guerriers, donnant extra-onction à quiconque aliaçant, avec des mas d'ails écrasés, sur leur chemins, qui avait quitté les estuaires, s'enfonce dans le bout du monde apenché, où, les créatures trognnoniques cabotinent, les choses s'inversent.  

L'un des fantassins : C'est le cancer de ces mondes. Le fléau des dieux deviendrait-il le combattant ultime. Les brêles suivent, jusque dans ces travertins, où, les coudées rayées sont inadonisables. 

L'un des compagnons trognonniques, totalement horlogistes : Les minutiers bougettants s'affolent. Les velums de ces toiliers qui couvrent le chapiteau, dans lesquels les metas sont arasinables, par les sables, lançant, dans les flots de l'univers, doivent se retirer, afin détremper cette espace naumarchique.

L'un des fantassins, frappé d'étonnement : L’arène de l'univers, dans cet univers, n'est qu'une invention de l'esprit malade, une gaze de l'esprit commun inconsistant. S'il elle existe, nous serons le continent.

Palefroi, à Beffroi : La pièce rouage de la machinerie, voyageant à travers le temps, est ce qu'ils cherchent.

The miraculous appearance of the fire flowers, with the exciting dress, are dismantling up the boiling spirits, that was down such as dying foliages. Under the psionical attacks, the infantrymen are clinging to this histrying voice.

One of the infantrymen : How do you name the creatures coming from the tether lands ? The pair of the eyes, such as wondrous pearls, that stare us, bury, from the times forth, add to the yoke this whispered pan of passage, holed of holes of resonance, where, the reverberation is functionning. Halt hasslers ! The protecting deities buries, from now on, our lifes of ordinary combattants. There is a light, that is not fooling, and, the friendship of the stucked people accord our gestures  becoming delicate.

One of the religious clerks, knotting these curious bags  : The proper of the human is to help, what shall this people do ? The tension, in the hand, that must transmit the hint of serenity, and, not the anguishness. Infantrymen, be prayed of convening to these convenances.

Another infantryman, ill : Only the drags of lightning could terminate all negotiation. Do not mind it. The vegetal cores are not knottable of these feelings, that we lecture. In the archeoastronomical middles, where, the alignment of the celestial bodies is the instrument of the deities for conjuring up the spells, the underground palaces, and, the realms of the darkness, have yielded you, in this realisation of this cosmogony. The salute of triumphical trognonnical ones, under the bow of the earthly puissance, is consignated, in out hearts. How bring the certainty, whilst the certitude is the antilinking, because, everything about the universe is of turmoil origin. 

Whereas the hord of infantrimen, refutating the carefulness of the warmongering priests and monks, giving extra-unction to anyone, sprouting, with crushed garlic, on their paths, that had leaved the coasts, is descending in to the end of the world, bent, where, the trognonnical creatures are shambling, the things are getting reversed.  

One of the infantrymen : It is the cancer of these worlds. Would the scourge of the gods become the ultimate combattant. The snoodging ones, up to these ribs, where, the stried bows can not be flawless.

One of the runty companions, totally hourglassing ones : The minute maidens are getting crazy. The velums of these shrouder maidens, that cover the  capital, in which the metas can be mopped down, by the sand, launching it in the flows of the universe, must be withdrawed, in order to dewelter this naumarchical space.

One of the infantrymen, hitten of astounishingness : The arena of the universe, in this universe, is just an invention of a sick mind, a common inconsistant gaze of spirit. If it exist, we will be the continent.

Palfry to Belfry : The piece of the wheel of the machinery, voyaging through the time space, is what they are gazin upon.

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