La nuit vénusienne VII / The venusian night VII

Bien que les surentraînés, et, confiants valets technologiques, ayant perdus, par outrecuidance et, par goût du danger, le goût, tout court, du sens de leur combat, qui s'extirpent, peu à peu, de cette attaque psychique, déteignant sur eux, jusqu'à être frappés d'anhédonie, se dissuadent étrangement à bringuebaler leurs artilleries, jusqu'aux champs de la destruction, les technodéfenseurs, au train qu'avancent les déroulements de la guerre insidieuse, innovent dans le but d'extraire, de gré ou de force, les valeureux combattants. Les mustélidés y sautillent, jusqu'à faire tressaillir les embusqués. Alors que la martingale est toute trouvée, les entourloupeurs dématés, pour cause d'invisibilité, s’assoient auprès des loups, irrévolus à laisser à cet apport, toujours, réductionniste de destruction, fait par les esclampeurs dévoreurs, nuire à l'intégralité de leur efforts de sentinelles. Le labyrinthe végétaliste y est pour tout, dans le nuitages de ces valets, subissant les rejets de spores endémiques, psychédéliques et hallucinogènes de ces stomatiques envahisseurs. Les enchevêtrés jusqu'alors, habitueraient, bien, leurs armes anthologiques, alors que les barrirères psioniques s'y opposent, à l'avénement si redouté. La nuit vénusienne, dont les noces avec les maléfiques, participe, encore plus, à cette frénésie gigantomachique, dont les relevés phrénographiques créent des dissensions, dans les lignées de combattants barbares, dans laquelle les territoires de crânes, et, ses golgothes, qui y reconnaissent leurs dissemblables, intègrent, de nouveaux bourreaux. La paralysie des gardes valettantes forment l'écueil de la violence. Alors que les golgogthes émondent sélecteusement ces bourbiers, de ses assaillants, seuls les trognes enroués, pour s'arracher de ces situations paralysées, parviennent à s'en tirer, à bons comptes, après s'être arroger un droit de passage imparable. Les tonlieusards s'en y accomodent bien. Soudain, la pente coulis-maçonnée se corrompt, toute seule, lorsque descendent d'elle, des créatures bryozoaires, absolument morbilles, de là commence des confrontations cinglants, où, demeurent aucun interdit, au combat. A peine abricotés, les noyaux gigantesques, coquardés, à cause des anfractuosités des tunnels souterrains, servant, de transport clandestin, à travers les simeonesques ruelles, s'échouent, avec fracas, sur des photophores babiolés, dans lesquels, qu'une fois libérées, les lumières chaloupeuses resilhouettent un loup bipède, carruré par ses moindretés, pour la dimension de cette guerre, et, une harpie, un peu, patton et bourrue de plumes duveteuses, et, embustées, d'un poitrail musculeux, comme l'avaient scalpé, plus d'une fois, ces crânes profilés régençant les territoires, et, leurs assiègeurs. L'invérifiée théorie vient à être vérifiée lorsque les îlotiers s'attèlent à cette mission incommensurable. L'îlot des pannequins, qui retancent, d'avoir trouver la parade, se pare des déboulements salissants. Les ramonages y sont des lubies fortes. Alors que les combattants génériques peinent à se protèger de ces dégueulis, les chimères éclaircissoyent le mucus, telle une substance miraculeuse, lavant, tel un bain utile, les sinusités.

Soudain, l'un des félinidés rabouleux, à la sacoche bourrelée de graphites, et, mustélophiles, utilisant des créatures écouvillonneuses, qui écouvilonnent ces lieux, encore, vivables, au sein desquels les mucusités renforcent fortement l'idée qu'une protection enzymatique et antimicrobienne, est plus que nécessaire, y donne ses enseignements.    

Although the overtrained technological valets, having lost, by excess of confidence, and, by taste of danger,  the taste of the sense of their combat, that are extirpating themselves, little by little, of this psychical attack, tainting on them, till being attacked by the anhedony, are dissuading oddly to bring their arsenals, in the fields of destruction, the technodefenscers, suffering from the speedness of the insidious war, are innovating in order to extract, whether it takes, the vallliant combattants. The rodents are jumping, till making quiver the ambushed. Whereas the flower of the luck is founded, the entwiners not oogled for cause of invisibilities, are besieging amongst the wolves, irrevoluted to let to this alxways reduiced adding of destruction, done by the clampsing devorers, harm the integrality of their effort of sentrys. The vegetal labyrinthe is for everything, the rejets of the endemical , psychedelical and hallucinogenes' spores of these stomatical invaders. The crissed ones up to there, would quite use their anthological weapon, whilst the psionical barrier is formed of opposition, to the so feared advent. The venusian night, of which the noces with the malefics, are participating to this gigantomachical frenziness, of which the phrenological datas create dissensions, in the lines of barbarian combattants, in which the territories of skulls, and, its golgothes, that are reckoning their desiblings, are integrating new tormentors. The paralysy of the veilling guards are forming the foam of the violence. Whereas the golgoths are selectively gathering up these quagmires, of its attackers, only the sly runty ones, for extirpating themselves from these paralysed situations, are succesfully passing through the passageway. The sliders are well accustomed. Sudden, the turning ande stariwaying slope,, is corrupted itself, all alone, whilst descend from it, bryozoans' creatures, absolutely morbid, from there start confrontations, where, remain no forbidden, in combat. Barely the peelings off of the cores, the gigantic nuts, hitten, because of the anfractuosities of the underground tunnels, serving, of clandestine transport, through the narrowed and trapping streets, are falling down, with cracklings, on photophores, in which, once liberated off, the winging lights are resilhouetting a standing on both feet wolverine, moulded by his slightednesses, for the dimension of this war, and, an harpie, a little bit, trumpeting, and full of soft feathers, and, busted with a muscular chest, that had scalped, more than one time, thse skulls ruling over the territories and their besiegers. The unverified theory is in progress verified, whilst the isles of combattants are grabbing this morsel. The isle of the shrouders, not in the head and the feet, are speaking forth, in telling to have found the parade, is paring off with the dirty fallouts. The cleansingnesses are lewdy. Whereas the generical combattants are lacking of protection against these fallouts, the chimeras are lightening up the mucus, such as miraculous substance, washing, such as a useful bath, the sinusities.  

Sudden, one of the felins, with the bag full of graphites, and mustelophiles, using simpering creatures, that ewplore these yet livable places, within which the mucus are strongly reinforcing the idea that an enzymatical and antimicrobial  protection  is more than necessary, is giving his learnings.

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