Les heautés II / The helmfields II

L'épuisement des forces des représentants de ce genre vivant, dans le coltar, est si vibrant, que les roches de cette cave cathartique, excavée de ces deux mémoires, des plus mémorables, dorénavant absorbées, en totalité, se brisent, se fragmentent, collapsent, jusqu'à l’effondrement total. Les mémoires défilantes, et, tournantes se figent et se fixent sur des peltées de roches fragmentées, jusqu'à la disparition, dans un trou temporel. Intangible, puis, tangible, sous la forme de gemme de mémoire, instillée de clairs d'esprits, dont l'émotion de deux morés, se connectant subliminalement à cette nature rocheuse, où, des fusions de dragon se produisent spectaculairement, avait réservé le plus beau des spectacles cosmiques, les livrées d'âmes  s'évanouissent, dans les apées ventrèches. Rare sont les témoins de l'explosion particulaire. Alors que l'apogée céleste y constitue le summum des temps infinis, ils ne sont qu'au pied d'un des piliers de l'univers. Pendant ce temps, le guide des lumières, sans se l'avouer, venant des territoires des crânes, frappant au bon endroit, dont les faisceaux sont, au moment décisif, déviés, n'est qu'un gorgon, au trésor d'espoirs de pré-destination, rempli de sidérantes pierres lithomantiques. Les temps décalés ne jouent guère en leur faveur, lorsque le cadastre commun, qui roturie, y recèle des cadavres encollièrés des fameuses insignes. Avec la plus grande peine du monde, les plus grands combattants de la lumière, poussés par des vents septentrionaux, y débusquent, et, y meulent le monolithe, dans ces suffocatoirs, ayant trait de porte de l'au-delà. Depuis les tourments ventés de cette caverne mirageusement clairoyante comme si le siège du cloaque, se situant, quelque part, sur le front, était, à ce jamais, éclairé, le bataillon d'extraction s'oriente, jusqu'à soudain, éphémèrement, une troisième œil y apparaît. Alors que les espoirs d'extraction s'amenuissent au fur et à mesure que les démons effrayeurs frayent chemin, le pouvoir du cerveau y fait, magnifiquement qu'improblablement, bellir une force rassurante. Dans l'enfer des dédales, la façon d'imaginer la fin, qui est le début d'une époque, tient à ce moment crucial. Les angoisses accentués, par des trépas, qui  trombent, à chaque fois, qu'ils espérent les tirer de cette mauvaise impasse, où, l'aveuglement progressif ne fait qu'enterrer leur vie d'autrefois, jusqu'à, soudain, la force de vie, traduite par l'ouverture de ces chakras, s'alignant sur cette force invisible, qui déchire cette poche temporelle, l'emporte, par grand émerveillement sur la mort. Les cris déchirants, qui font arracher les dernières forces de cette indivisible armée, ré-illuminent l'ensemble des nuits, les plus obscures les unes que les autres, qui voilent la magnificité des énergies adoptables. Les grands seigneur de la lumière, doctrineurs, qui visent l'iris de cette troisième œil physique, se forment, sur l'exploit tardif des deux combattants ressentant, au plus profond d'eux, reliant toutes ces chaînes du vivant, y compris la constellation d'étoile dans l’arène, l'univers, qui leur dicte d'y posséder ses extrapouvoirs.

Quelque part, dans la toute lumière, où, il y a guère un grain d'obscurité, dans laquelle les savoirs se mêlent aux actes des plus grands bravoures, le dévot honorifique de la lumière, directeur des âmes, aux yeux clos, contre le directoire des démons, met en supplication, ces temps combattants.

L'un des dévots honorifiques de la lumière, à bout de force, effondré sur lui-même : Partages la peine du monde, et, l'univers nous rendra grâce. Voilà, nous ressentons la peine obscurcissante. Le bien et le mal, en eux, s'expurgent, jusqu'à retenir, grâce à nos enseignements lumineux, que la force du bien.

Un autre dévot : Dans une position quasi fœtale, les glandes pinéales, l'épiphyse, cachés à l'intérieur du cortex cérébral, libèrent une énergie, grâce à la respiration aveugle, et, à la contraction du bas. Que le signal soit donné aux souterrains. L'énergie est là, à portée de nos connaissances.

L'un des dévots honorifiques de la lumière, dans ces prémonitions : Les enfants de l'univers reconduiront la bonne lumière, jusqu'à armistier. Soyez la lumière, et, chassez les ombres !

Dans ce qui reste d'eux, l'énergie salvatrice, immaculatrice, les enveloppe, de manière chérissante, jusqu'à les porter, pour le dernier affrontement, où, le temps suspendait les esprits affrétés à quitter ses corps usés, jusque-là, où, le lien avec leurs esprits était filant, les deux âmes, qui y développent une autre forme de conscientisation spatiologique, dans le même temps, où, le maléfique mutilateur, qui canalise leurs énergies diminuantes, jusqu'à l'extinction, au fur et à mesure que les démons dévorent le faiscellage de lumières, qui s'extrayent de cette gangue du mal.  

The exhaustion of the forces of the both half awakened representants of  this living gender is so vibrating, that the rocks of this carthatical cave, excavated of these both memories, of the most memorable, from the times forth, absorbed, in totality, are collapsing, till the total collapsing. The flying and twirling memories are fixing on the plethora of fragmented rock, till disappearing, in a temporal hole. Untangibility, than, tangible, in the guise of the gem of memory, instillated of clearedness of spirits, of which the emotion of both mored ones, connecting subliminally to this rocky nature, where, fusions of dragon are spectacularily happening, had  reserved the most beautiful cosmical spectacles, the surrendings of souls are vanishing, in the bellied sinkholes. Rare are the witnesses of the particulars' explosion. The celestial apogium is constituted on it the summit of the infinites, they are just at the footpad of the pillars of the universe. Between-whiles, the guide of the lights, without vowing themselves, coming from the territories of skulls, striking at the right place, of which the beams are, at the decisive moment, deviated, is just a gorgon, with a treasure of hopes of fore-destination, full of siderating lithomatical stones. The decaated tomes do not play in their advantage, whilst the commune water pond, that show commonalties, is recealing corpses with famous insignias. With the biggest pain of the world, the most fighteous combattants of the light, pushed by the tremendous winds, are discovering, and, are crushing the monolithe, in these unbreathable places, having been rendered as gate of beyond. From the revented turmoils of this cavern miragingly enlightening, as if the besieging of the cloak, getting situated somewhere, in the forehead, was, at this never, lightened, the batallion of extraction is orientating, till suddenly, ephemerously, a third eye is appearing. Whereas the hopes of extraction are slowing down as the frightening demons are scaring, the power of the brain is  doing, wondrously as  unproblably, bellish a savving force. In the hell of the dedaeluses, the way of imagining the end, that is the beginning of a time, is holding to this crucial moment. The accentuated anguishes, that are happening, each times, whilst they are hoping to drag them of this bad deadlock, where, the progressive blindness is forcing them to bury their life of erstwhile, till that, the force of the life, traduced by the opening of the chakras, getting aligned on this invisible force, that breaks off this temporal breach, is winning over, by big wondrousness, the death. The heartrending screams, that are stretching out the last forces of this indivisiblearmy, are re-illuminating the wholiness of the nights, the darkest the ones to another, that veil the wondrousness of the adoptable energies. The greatest lords of the light, doctrinating ones, that are aiming the physical iris of this third eye, are forming on the late exploit of the both combattants, feeling, deep down them, relying all these chains  of the living, including the constellation of the stars in the arena, the universe, that dictates to seize his extrapowers.

Somwhere, in the whole light, where,  there is no grain of darkness, in which the knowledges are combined to the bravest acts, the honorific devotee of the light, director of the souls, facing the directory of the demons, with closed eyes, is putting in supplication, these fighting moments.

One of the honorific devotees of the light,  out of strength, collapsing in himself : Share the pain of the world, and, the universe will give us the grace. Here there is, we felt the darkening pain. The good and the evil, in them, is getting expurgated, till reholding, thanks to ous enlightements, the force of the good.

Another devotee of light : In a quasi foetal position, where, the pineal gland, the epiphyse, hidden somewhere, inside the cerabral cortex, are liberating off an energy, thanks to the blind breathing and, the contraction of the lower. That the signel is given to the underworlds. The energy is there, within our reach.

One of the honorific devotees of the light, in his premonitions : The children of the universe are driving the good light, till the armistice. Be the light, and, hunt the shadows !

In the remants of them,  the salvating and immaculating energy is shrouding them, with a cherishing way, till carrying them, for the last confrontation, where, the time was suspending the spirits freting to leave their used up to there, bodies, where, the link with their spirits was flying, the both souls, that have developped another form of spatiological conscientization, samewhile, the malefic mutilating one, who is canalizing their diminishing energies, till the extinguishingness, as the demons devour the beamingness of light, that are being extirpated of this evil fill.