Les heautés IV / The helmfields IV

Le voyage chimérique de l'elfe, bien ressourcé, a eu du bon sur cette gangue verdie. La verdeur des pans végétalisés, et, mousseux, tel qu'il apparaissait, d'innocence, dans les rêves d'antan de l'elfe, à la main verte, est, en toute logique, le nouvel éden, dans lequel les mondes renaissent. Toutefois, l'elfin ému, qui, par particularisme, se réjouit de la reviviscente source d'immortalité, qui poursuivait ces miracles, dans les endroits les plus inaccessibles, terreau du mal. Pendant que l'elfe, au flair magnifique, supervise, avec magicalité, les différents saupoudrages de ces étendues cicatrisant, sur des tranches entières, où, craquelaient les croûtes, d'une tanière à l'autre, d'un tertre à un autre, des loups indulgents, sous le sceau de la vengeance, trimbalant, en réassurance d'un temps, les échappant, jusque-là, des cristalloïdes, aux éclats bizzaroïdaux, et, imbibés de pouvoirs incroyables, procurant sensiblement un aligot de pouvoirs, se pressent dans cet tabernacle, dans lequel l'élixir d'immortalité, quasiment inadaptables aux vivants de l'individualité, à l'intérieur duquel les cellules apicales se redéploient, afin mettre un point final à ces terres cendrifères, dont les mitochondries, telle une usine de cellules, accroissent une barrière d'immunité, subit un décantage quasi magique, où, les filtres mousseux et moutrants jusqu'à laisser dé-perler de ce tapis hydroponique, ampoulent cette essence lumineuse,  pratiquement au point. A peine avoir mis le pied, sur les chevelures soigneuses de la terre, autrefois, chauve, le rassemblement, jamais aussi complet, dans cette diversité d'espèces présomptives, est traversé par ce brin de magie, qui remporte la bataille de l'immortalité, que l'immentalité des arbrisseaux, en inertie, était sans bulbe de conscience. Néant y est le synonyme de mort intérieur de tous ces arrachés de troncs. Les elfes artésiques, séjournant dans ce convertissoir, aux échelles de temps diversiées, où, la beauté est simple, et, y donne uniquement une forme brute de vie, à mettre en peaufinage, y liment les fouillis de vie, comme les sources druidiques, immensongères, l'avaient récitalé. Bien que les créatures rotifèriques roulottent, jusqu'à panteboulucher, en imitation des événements liés à une catabolie, l'inquiétude des elfes de l'hippisme sauvage, communiant avec la nature décoltarée, et, réalisant, avec leurs tresses sublimement encouettées, aux vents, des sauts d'obstacles, absolument, haletant, comme pour être au plus près de ces coggieux et ventrêches remous des terres souterraines, se traduit, par des descriptions fleuries, jusqu'à emballer les cœurs de ces petites natures. L'endurance des elfes, conjugués à l'effort des chimères, ayant le pied dans les mondes surréels, a, à contribution, vaincu.  L'émotion y est si forte, que les chimères, dont la massacralité de ces terres louées est la pleurée du leurs temps, y sont fortement concernées.    

The chimeral journey of the elve, well ressourced, has good on this greening patches. The greeness of the vegetalized and moussy pans, such as it appear, of innocence, in the dream from the erstwhile, of the elve, with the green hand, is, in all logic, the new eden, in which the worlds are brought to life. However, the moved elve, with wondrous smelling, is supervising, with magicality, the different powderings of these lands cicatrizing, on whole trenches, where, the crusts were crackling, from a ware to another, indulgent wolves, under the emblem of the revengefulness, carrying, in reassurance of a time, escaping them, up to there, cristalloides, with weird sparkles, and, imbibed of incredible powers, procuring sensitively a bunch of powers, are serried, in this tent, where, the elixir of immortality, quasi undaptable, to the living of the individuality, inside which the apical cells are redeploying, in order to put an end to these ashy lands, of which the mitochrondria, such as a powerhouse of cells, increase a barrier of immunity, is enduring  a quasi magical filtration, where, the moussy filters, tapping, till letting depearl from this hydroponical cartridge, are bulbling this luminous essence, pratically finished. Barely putting the feet, on their silky hairdressingnesses of the land, a long time, bold, the rassembly, never so complete, in this diversity of next-to-kin species, is crossed by this hint of magic, that wins the battle of the immortality, that the immentality of the teeny tiny trees, in inertia, was without bulb of consciousness. Darkness is the synonyme of the inner dead of all these morsels of trunks. The artesical elves, sojourning in this converting pond, with timesscales, very variegated, where, the beauty is simple, and, is giving uniquely a brute form of life, to be embellished, are sleuthing the brushes of life, as the druidic sources,  non lying, had narrated. Although the rotating on themselves creatures are rolling, till provoking emergence of balls, in imitation of events, linked to a catabolism, the worriness of the elves of wild hippism, communing with the nature, in way of awakening, and, realizing, with their  sublimally weaved braidnesses, to the winds, jumps of obstacles, absolutely, crestfallen, as for listening closely these coggy and bellied quakes of the underworlds, is traduced by florishing descriptions, till taking up the hearts of these little natures. The endurancy of the elves, conjugated to the effort of the chimeras, having the foot in the surreal worlds, has, at the contribution, vanquished. The emotion is so strong, that the chimeras, of which the massacrlity of these rented lands,  is the moaned ones of the their times, are higly concerned.

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