Gorgonmania VII / Gorgonmania VII

Le trail est escarpé, quand, le noir réclame leur progéniture. La fienté des diablesses est difficilement acceptée, jusqu'à les faire ravaler leurs fiertés, comme si chaque entreprise employant ces forces enténébrissantes, âme et ciel, est chose indue.  L'indualité avec l'opposé du sauveur éternel, qui ténue, ne semble guère être, d'aucune façon, graduable. La solide entaille, qu’espèrent des bataillons d'extraction de la dernière chance, auxquels des pleutres potentiels, clairaudientés, jusque-là, tant les bâtons de sagesse s'érigent, en autorité, sur les esprits vêlés, confient leurs vies, qui s'exboubient, est, à l'aube de son achèvement. La semée d'embûches est une paradoxalité, encore, à un âge flué. Le choc temporel, dans lequel les capsules temporelles sont l'unique sorti d'impasses, y est, d'extrême, frôlé. Alors qu'au précipice de perdre toute connaissance de monde, des tables d'activation, crépinées par les remontées racinaires, provenant de gouffres catatoniques, sont le seul recours, sur lequel s'appuient des révélateurs, à la chance renversante. Des logogrammmes d'activation, sont, de chose utile, le parapettage, comme pour armer, avec une telle outrecuidance, ces zones, qui apparaissent indomptables, jusqu'à s'esbroufer, le présent, qui n'est que le passé de ces combattants émériques, s'éloignant d'eux, est inacte, jusqu'à, soudain, les tortillements, différentialisés, par des équations irrésolvables, en équilibre entre les dimensions parallèles, dissoudent, surprenamment, les peurs de jamais revenir à leur port d'attache du temps. Alors que la fuite vers l'ailleurs désorganise les voyages des autres bataillons, jusqu'à provoquer un surplus d'émotion, la pureté d'âme des potentiels, qui y joue un rôle crucial, est, enfin, suivi, jusqu'à asséréner les maîtres de dévotion, en confrontation psionique avec des drosophiles géants coprophages, jusqu'à espérer rebouiser ces sentiers, où, la mère des connaissances était acquise. La mitochrondrialité y survit, aux agressions du temps.

Dans les cryosismicités, où, la nébuleuse de Cryos conduit de plus en plus de peuplades, à matérialiser, dans une forme éblouïe de l'élévation collective spirituelle, leurs esprits d'attaques, relative à la force télékinétique, jusqu'à décharger sur les terre d'attache les puissances produites par une supernova. Bien que les tâclages des sites restructuralisantes, et, de raboutage, contre les gouffres verticaux, secouent ces cénotes pleurvalantes, de telle manière que les cascabellisations des fouisseuses créatures sont métaphoriquement les liaisonneurs, dans le cosmos, les vitrifications, tout autour du centrum, commencent à ganguer, par un phénomène physique, et, empris d'une magie du temps, ralentissent les inarrêtables et instoppables, qui entendent les voix d'un avenir mosaïqué, qui crée un lien de communion de peuplades, à travers les obstacles, à travers le temps. Ainsi, alors que les vitraux vibrent, jusqu'à remonter le temps où, l'esprit des bâtisses, retenant les âmes d'interposition, se fige sur les arcanités des obscurités, le chapelier, registrant cet être haloé, Nova répond, d'une voix assurée, à Cryos.

Nova : Que Cryos, qui rêve, de la pureté du verre, l'assemblage des rêves, soit l'excauceur. De sable et de feu, tout redépart.

Cryos : Au sein des ordres de la lumière, la parité entre les démonifuges, et, les semi-possédés, maintenant le lien d'esprit avec ces esprits frappeurs, n'est guère plus respectée, tant le démonisme leur ouvre les portes. 

The trail is scafolded, where, the blackiness is claiming their sons. The fiendishness of the bedevilishing ones is hardly accepted, till making swallow their prides, as if each enterprise employing these forces darkening, soul and sky, is a non due thing. The induality with the opposed to the eternal savior, who straints, does not seem to be, in none ways, graduable. The solid crack, that are hoping the batallions of extradiction of the last chance, to which the moaning potentials, clearsighted, up to there, as the staffs of wisdom  are getting erected, in authority, on the villainous spirits, are entrusting their lifes, that twitch, is at the dawn of its achivement. The sowing of the ambushes is a paradoxality, at a minced age. The temporal shock, in which the temporal capsules are the unique outgone of the deadlocks, is, on it, of extreme, touched.  Whereas, in the chasm of losing all knowledge of world, the tables of activation, covered, by intersection, by the rooting upstreams, coming from the catatonical chasms, are the only recourse, on which revealers, with the toppling over chance, are taking account. The logogrammes of activation, are, of useful thing, the gridlinking, as for weaponizing these areas, that appear eagerly untamable, till being blurred, the present time, that is just the past of these meriting combattants, going far from them, is an unact, until, sudden, the squirmingnesses, differentialized, by eaqutions, in balance between the parallel dimensions, are dissolving, surprizingly, the fears of never go back to their timescaled harbour. Whereas the run towars the elsewhere is disorganizing the expeditions of the other batallions, till provoking a surplus of emotion, the pureness of soul of potentials, that plays a crucial role, is, in fine, fllowed, till strengthening the masters of devotion, in psionical confrontation against the giant coprophageous drosophiles, till hoping to undergrow these places, where, the mother of the knowledge were acquired. The mitochrondiablity is survivor, to the agressions of the times.   

In the cryoquakes, where, the nebulingness of Cryos, driving more and more of peoples, to materialize, in a dazzling form of the spiritual colletive elevation, their spirits of attackingnesses, relative to the telekinesical force, till discharging, on the lands of attach, the puissances produced by a supernova. Although the tossings of the joining and restructuralizing sites against the vertical chasms, are banged, in these teardropped cenotes, in a such way that the sound veerings of the burying creatures are metaphorically the bonders, in the cosmos, the vitrifications, all around the centrum, are starting to clob up, by a physical and full of a magic of time phenomenon, are slowing down the unstoppable, that hear the voices of a mosaical future, that creates a link of communion through the peoples, throughout the obstacles, through the times. Hence, while the colored glasses are vibrating,   till going back to the times, where, the spirit of the buildings, containing the souls of interposition, is fiwed on the strangeness of the darkness, the hatter, Nova, is answering, of an assured voice, to Cryos.

Nova : That Cryos, that dreams, of the purity of the glass, the assemblingness of the dreams, is the summoning one. From sand of of sable, everything is just a redeparture.

Cryos : Within the orders of the light, the parity between the deamonifuging ones, and, the half possesed, maintaining the link of spirit with these hitting spirits, is no longer respected. as the demonism is opening some doors.

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