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09 Mar

Les antennes du pouvoir II / The antennas of the power II

Publié par Nipon Duong  - Catégories :  #calypso, #nymph, #onus rubin, #onus rubis, #révélateur, #revealer

Dans ces réalisations s'allongeant paréidoliquement, dans les ciels rudoyeurs, qui s'avèrent être le jet d'esprit, qu'elle aurait désiramment voulu pour impressionner monts, et, dieux, le propre de reine de pouvoirs maléfique est d'être honoré de ces légendes. Noir y grandit la peine du monde à la combattre. La lassitude du temps des affrontements finit par gagner celle, dont tous se méfient. Toutefois, la reine nymphettique, Calypso, caudée de choses étranges, qui a vouloir s'entourer de ces fameuses posidonies, finit par céder à la tentation d'y revoir son libérateur, en admettant qu'il est toujours, en vie. Alors que les nymphe démoniaques exsudent extirpamment des êtres vivants rendu lividifiés, tout en développant des troubles syndactyliques, telles des truites, et, tels des harengs, de là, où, se transformaient des plans tourbeux en de véritable plan de pêche d'âmes entonnant le chant des sirènes, les créatures simarresques, et, peu coordonnées à la métamorphose de toute étant admise être, dans leur royaume, sans borne, jusqu'à migrainer l'esprit des plus grands, sont bien menantes. Elles mènent à de grandes choses. Le souffre-douleur du temps, qui est cette stèle runifiée, où, au croisement des destins, la marque rubigineuse, sur lequel le pognon, qui s'enfoncerait, sur le seul défi de l'âme sur l'imphysique, l'immatériel, l'impossible tangibilité, le creux, qui ouvrirait le monde fantasmagore, était la seule attache à ce rêve de libération, est craché par les trompes trombesques. Soudain, les galops des mers violeurs s'agacent, des obscénités, sur cette mise en abîme, d'un pas brisé, le briseur de pierre, enlarbiné, face aux suppôts, de plus en plus vicieux, dans toutes les perditions de ces penseurs, perdant leurs âmes, dans les précipices, où, s'effondre le courage, est debout, malgré que les karstes dalléoleuses, comme si l'iréalité avait réalité, tout de même, espalient, jusqu'à dévier vers les marches de l'apocalypse, creusées dans l'horreur. Le courage est debout, tandis que les âmes éconduites nomment la liaison avec les âmes repéchés. Les forces ébranlantes le sol, mises en contribution, par des suppôts, sont destructrices de cette dissymétrique criante, que le chaos ne peut plus se permettre. Alors que sous les yeux ébranlés d'Onus rubin, rare d'une iris, encore, précieuse, le mal, et, le bien se confondent, dans une injoyeuseté innommable, le précieux de la révélation, déjà, égratignée, sur laquelle des millions de vies peuvent être sauvés, issue d'un ressort uniquement de lumière.   

In these realizations, extending pareidolically in the rumbling skies, that prove to be the jet of spirit, that she would have deriringly wished for impressing mounts, and, gods, the proper of the queen of malefic powers is to be honoured of these legends. Black is growing the pain of the world to combat her. The laziness of the times of confrontations is finishing to win the one, of which all are mistrusting. However, the nymph's queen, Calypso, attached of strange things, who has wished to be surrounded of famous posidonies, is finishing by yielding to the tentation of seeing back his liberator, in admitting that he is always in life. Whereas the demoniacal nymphs are extirpating living beings, made livid, all, in developping syndactylical troubles, such as fishes, from there; where fever swamp were turned into plan of soul, chanting the chant of the mermaid, the chimeras creatures, less coordonning the metamorphosis, of all thing belonging to their realm, without boundaries, till heardaching the greateest spirit, are the well leading ones. They are leading to great things. The sufferingness of the times, that is this rune like stele, where, at the criss crossing of the destinies, the red mark, on which the pognon, that would get pushed, on the only challenge of the soul upon the unphysicalness, the unmaterial, the impossible tangibility, the hole, that would opened the fantasmagorical world, was the only attach to this dream of liberation, is spitted by the jets. Sudden, the rides of the violating seas, are getting pissed by the filthinesses, on this put in abyss, of a broken foot, the cuddled stonebreaker, facing the agents of the evilness, more and more vicious, in all perdition of these tinkers, losing their souls, in the precipices, where, the courage collapses, is standingstill, in spite of the paving flattened stones, as if the unrealness had reality, even through, are climbling, till deviating towards the footpads of the apocalypse, The courage is standingstill whilst the expelled souls are naming the link with the strolled souls. The forces shaking the soul, put in contribution, by the agents, are destroying of this yelling dissymetricalness, that the chaos can not allow any longer. Whereas, under the shaking eyes of Onus rubis, rare of iris, yet, precious, the bad and the good are getting confounded, in the unnamable unjoyousness,  the preciousness of the revelation on which millions of lifes can be saved, is issued from a trick uniquely of light.      

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.

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