Holmium I / Holmium I

L'un des procurateurs : Quelle impression vous donne cette envolée dragonnique ?

Bordas : Une sensation de fin du monde doit s'emparer de chacun d'entre eux. Aux vertiges des terres tarmaquées, par les contraintes par des déviations sournoises, il y a cette sensation de vide, qui fait éloigner leurs âmes des terres.

L'un des procureurs des âmes : Ce ne sont pas des balivernes. L'ivresse de ces terres maudites, à la porocité, dorénavant, étrange, consume l'âme des soldats, qui s'extirpent difficilement de cette état catatonique. Le pieds fendillés, englués comme si les voleurs d'âmes les tirent à la corde jusqu'au sol, s'ouvrant, sur eux, comme ce que faisaient, les dragons, en leur temps, en les attirant dans leurs antres, sont d'un pas vengeur, jusqu'à entraîner des déterrassements fulgurants. Tout n'est qu'un recommencement. Il faut que patienter pour en connaître le déclencheur.

L'un des procurateurs : Les zygomatiques sont douloureux, jusqu'à rictuser de manière malhabile. Les démons des cavités fantocheuses, refaçonnent les chaussées, les sillons, les tranchées, jusqu'à rappeler que les dragons doivent être choyés.  

Bordas : Les demeurant dans les ciels racontent-ils les mêmes histoires ? L'isotropie doit s'avérer être vraie, partout. En tout cas, les dragons pergolent, et dépergolent, à présent, jusqu'à ne plus savoir où en donner de la tête. Ont-il besoin d'une correction, sinon notre utilité s'arrête ? Ceci s'annonçait déjà.

Alors que le druide, à l'approche lithothérapique, qui tente, dans le même temps, d'y faire recommunier et recommuniquer des apeurés des flammes lancées à destruction, y canope une canopée de créatures sylvaines fasciées, se débarrassant de leurs complexes, jusqu'à offrir boujourisamment, en échange de leur hospitalité, le baume topique, à ce dragon barbituré, qui, par ailleurs, ennuageait ces pensées éphémèriques, le spécifié, désormais, dragon peut se servir de ses ailes nosfératisées et, endoigtées comme d'une main géante. Le bon vent s'abat sur les engolfiques ailerons. Dans ces ailerons terrestres, où, tout semble asséner des vérités géologiques indéniables. Tout cela s'avère être capitale, pour cette capitalocène. Le recueillement de Bordas, faisant le constat tragique qu'aucun des escadrons est parvenu à libérer le potentiel de ces dragons. Les gémissements du dragon rappelle l'étoile montante, qui se meurt, enfin presque.

One of the procurators : What impression gives us this dragon like soaring ?

Bordas : A sensation of the end of the world must seize each of them. To the vertigoes of the cutten by constraint by gloomy driftings, lands, there is this sensation of void, that make remoted their souls from the lands.

One of the procurers of the souls : This is not some lies. The unsoberedness of these accursed lands, with the porocity, from the times forth, odd, consumes the souls of the soldiers, that are hardly extirapating themselves from this catatonical state. The cracked feet, glued as if the soul thieves drag him  to the ground, opening themselves, on them, as it was done previously by the dragons, in their times, in dragging them into dens, are of revengeful feet, till unravelling in fulgurating crumblings. Everything is just a rebeginning. We just have to patient for acknowledging the trigger.  

One of the procurators : The zygomatics are painful, till tipping, in an odd way. The demons from the ghostly lais, are remoulding the furrows, the trenches, till reminding that the dragons must be preserved. 

Bordas : Do the remaining in the skies narrate the same stories ? The isotropy must be proven correct, everywhere. In all case, the dragons are pergolating, and, depergolating, from now on, till not knowing where to watch over. Do they need a correction, either way our utility ends now ? This have been augured earlier.

Whereas the druid, with the lithotherapical approach, who is attempting, in the same time, to make recommunicated the feared of the flames launched to destruction, is canoping a canopy of sylvan creatures, getting rid of their complexes, till offering, in exchange to their welcoming, the topical balm, to this barbiturated dragon, that, by the way, clouded these ephemerical thought, the specified henceforth dragon can use of his nosferatical and fingered wings, as a giant hand. The good wind is striking on the engulfical little wings. All this is proven to be capital for this capitalocene. The workship of Bordas, instating the tragical constatation, that no one of the squadron has parvened to liberate the potential of these dragons. The gruntings of the dragon is reminding the starry gleam, that is dying, almost then. 

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