Holmium V / Holmium V

Tandis que les communément acceptés dragons, aux vilaines destructurations, qui les faisaient occire, ne font qu'hystériser les quelques monteurs, et, les quelques dévaleurs hérétiques, aux errements plus qu'étrange, il est, alors, structurel que ce changement, dans les ciels, s’opérant, doit forcément, passer par les bataillons de dragons. Le dilemme avec les dragons processeurs, au cœur des fusions, éprouve tant les esprits, qu'ils flanchent, au dernier moment des dévalements terrassiques, qui écrasent leurs derniers espérances. L'auréolisation des derniers croyants détrompe les clans des dévoriens, dans ces crescents lunaires. L'atypicalité de ce clan, le plus oppresseur, est qu'il réduit la portion de leurs âmes, qu'ils dévorent, lors de sacrifices de terres. D'une lune d'attaque à l’autre, où, les portes vers d'autres sièges du temps sont attelantes, les brisés de l'intérieur n'avancent que pour ré-vêler, et, de trocider, jusqu'à implorer l'arme envêlée sacerdotalité. Sans espoir d'y apercevoir, dans cette chaoticité, jusqu'à re-indéfinir leurs actes, l'héliocentre, qui fait brillance d'ingéniosité thermique, la drasticité des mesures est, encore, un moindre mot, comparément, au déchaînement des tempêtes torrentielles, dans lesquels des valses de bout de terres, les siennes, sont laminoirement brés. Les atteleurs, des océans y voient, une nouvelle fois, la colère chaotique, qui est étendable. Malgré que les montées, et, les descentes, à travers les effilements azmuthaux, et emboulgueux, la resserrée sur le préceint des sauveurs, y frode des falaises, complétement, lambrés, jusqu'à perdre cette indorénavance. Alors que le vert du monde est encore, apaisamment, retranché, les bataillons de croisade laisse un nuage de pensées, risquant, à tout moment, d'être pompé par les psychopompistes de ce clan fielleux.

L'un des clercs : Aucun corps tiendrait, dans ce chaos d'éboulement. L'étrangère émotion, qui n'avait pas modifié les visages roboratifs de ces malotrus, provenus de ces débandades, se lit, en un instant de mort immédiate. Dans cette clarté, les pensées des envallants doivent servir à quelque chose. 

L'un des croisées : Pour quelle colonie, tout ceci est prévu ? L'existence d'une seule vie ne peut subsister, après nous.

Loin des effondrements, dont l'hystéricoscopie fait le kaléidoscope collapsologique, l'embaîllement des terres agressées, embâchotées, sur lesquelles le déméritant Everite trempine, est grande annonciateur d'un chaos inarrêtable. 

Everite : L'empressement des frustres croisées, perlées, soudainement, de lumières étoilantes, les faisant poursuivre, de quelques pas, sur ces lieux brisurés, sur lesquels les gros grains, formés par cette in-sorte de biosphérisation, panurent les quelques robotoïdes, se fait, soudain, entendre, en contre-tempête. L'empressement de la terre, à s’échapper de cette compression, est si forte que toute la méthodologie historico-critique ne nous fait pas avancer. L'albédo s'y aperçoit, en un aussi beau contraste.

When the commonly accepted dragons, because  are just hysterizing the few heretics climbers, with wanderings more than strange, it is, then, structural, that this changement, in the skies, getting operated, must forcefully pass by the batallions of the dragons.  The dilemma with the processing dragons, in the core of fusion, is defying si much spirits, that it flicks, at the last moment of  terrasses like downfalls, that are crushing their last hopes. The aureolization of the last believes is defooling the clans of the devourians, in these lunar crescents. The atypicality of this most oppressing clan, is that it reduces the portion of their souls, that they devour during lands' sacrifices. From a moon of attack to another, where, the gates towards others time's sieges, are clutching, the broken from the inside are jus advancing to be reviled, and, killing bargain, till implorating the weapon viled of sacerdotality, Without hope of aperceiving, in this chaoticity, the heliocentre, that makes shimmering of thermical ingeniosity, the drasticity of the measures, is yet a slightest word, comparedly to the going off rampage of the torrential sotrms, in which valse of morsels of lands, their own, are laminatingly sliced. The clingers of the oceans, are seeing, once again, the chaotical wrathfulness, that is stretchable. In spite the upstraeams and the the descents, throughout the azimuthal threadingnesses, leading to death by buttons, the resseried on the precinct of the saviours, is crushed against wallfalling cliffs, till losing this unforthingness. Whereas the green o fthe worl is yet, apeasingly, retrenched, the batallions of crusade is letting a cloud of thoughts, risking, at any moment, to be pumped by this defying clan. 

One of the clerks : no body can hold stand, in this chaos of downfalls. The strange emotion, that had not modified the roborative faces of these intruders, coming from these quarrel ponds, is readen, in a immediate death instant. in this clarity, the thoughts of the envalleyed must serve something.

One of the crusaders : For which colony, all this is planned ? The existence of one signel life can subsist, after us.

Far aay from the collapsingnesses, of which the hysteriocscopy is doing the collapsological kaleidoscope. the belching of the agressed lands, covered up, on which Everite is weltered, is big announciator of unstoppable chaos. 

One of the crusaders : The hasslingnesses of the sylvan ones, pearled of starry lights, making them pursuit, of few footsteps, these places borken, on which the big grains, fromed by this unkind thing of biospherization, are smacking the few robotoidal ones,, is suddenly being heared, in counter-storm. The hasslingness of the land, to escape from this compression is so strong, that  the historico-critical method do not make us advance. The albedo can be perceived, in such beautiful contrast.

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