L'infra-ordre I / The infra-order I

Aussitôt que le dévoué à la lumière, Parangon, noircit, d'un regard sombre, le camp de fer, jusqu'à faire ses adieux à des vastées régions enserrées de matières noires, d'une broie de noir, les premiers bataillons d'exploration droïdaux, composés, essentiellement, de droïdes, reviennent, euphoriquement, dans le second giron des novateurs, où, les robotoïdes sémanticiens, consultent, avec permission accordée, la carte des étoiles du planétarium, afin d'y mieux appréhender le pouvoir des supernovés. Les métathéories sur l'énergie noire dominatoire sont d'immenses travaux, auxquelles se référent les vies intelligentes, et, artificielles. La contimidité des bots, franchement, timorés, n'a eu à entacher la mission des ploqueurs, dans cette capillarité d'actions d'extraction. Aux collets de cages maxilloformiques des enfers, les bots ne ratent aucune occasion de freiner, jusqu'à estran, la progression louveteuse des loups bigarreux. Au tournant de cette guerre de savoirs, menés des soumissionnaires, dans laquelle la sous-mission, selon laquelle des robotoïdes, inséparables de ces armoires à énergie, transmutatrices, et, transpondeuses, sort de cette inertie, savamment menée, pouvait rétablir des équilibres, le temple de savoir, le temple de l'électronique, où, tout est modularisé, à volonté, y est le refuge manifeste de nombreux valétudiants, tels des futurobibliotechniciens, à la studieuseté, quelque peu, réformée, jusqu'à ne plus savoir adopter quel comportement, tantôt, agressif, tantôt, crispant, devant des incubateurs de savoirs. Dans les réduits, où, se calfeutrent des briscards, les forfantiers, et, les groupies fanatiques de ouvrageurs mégalomaniaques, et, à l'égocentrisme tournant autour d'un axe défini, à l'avance, en des tragiques trahisons, font concourir un danger impendant au-dessus des têtes des diplomates. Alors que les jobardeux enferreurs dans ces affaires endilettées pour n'avoir d'opposants directs, gérés par ces tribunaux révolutionnaires procrastinatoires, sont des fins manipulateurs macchiavélant, toujours, davantage, et, avec une longueurs d'avance, le diable est, donc, aux affaires interministrées. Alors que les législateurs sont abusés, les recours à la force nécessite l'accord de l'ordre approbationniste, sans quoi, les attaques sont caduquées, au pire moment. Toutefois, une garde, sans concession, tient bon, sous l'héritage du monde cybernéticien, dont le digne représentant, fleuron de nation mécatroncienne, le technodéfenseur, et ses secondiers, qui calfatent, en battant des records, les vaisseaux transbordés, dans les forêts domaniales, où, des mégagazages pertubent le flot continu des rivières flottantes, montent un réseau d'espiègleux, tels des bots alouettés par des propriétaires, à affaire avec la proprioconceptivité le plus clair de leurs temps, à l'esprit démiurgique, néanmoins, sont à la technoattaque. C'est alors que l'escientiseur technodéfenseur arrime ce champs inconnu de la connaissance de la cosmogonie.

Le technodéfenseur : Toute fin a un début, et, vient d'un départ, dont il faut saisir le rebond pour repartir de rien. Mais, l'attaque vient de ces déchirure spatio-temporelle. Soudain, les héliosphères, à l'aura d'un monde élémentaire d'entités, qui frisent une phase critique, dans cet espace déchiré, dans ces jonctures dimensionnelles, aux polytonalités de couleurs, et, de sons, sont, même, diffilement camées, par ces polydioptriques, comme s'ils assistaient à une éclosion pouponniste de pouvoir. Hélas, il fourneaute, toujours, un mal contreindicatoire stricto sensu.

L'un des rebellistes : A l'entête de ce portail vortexé dimensionnel, où, des miracles tabulationnels se produisent, surtout, dans lequel il est impossible, par avance, d'écrire les pouvoirs convoyageurs, les muographes, tabernaclant jusqu'au torsitortillonnement, y dévoilent une anomalie relative à la métalléinité. La puissance de chute des comètes mémorielles, à la célébration des planêtes mortes, y est problalement la cause.     

As soon as the fated to the light, Paragon, is darkening, with a black look, the camp of the iron cladded ones, till saying his farewells to vasted regions enserried of black matters, of a smudge of blackiness, the first droidal bataillons, essentially compounded of droids, are coming back, euphorically, in the second fold of the novators, where, the semantician robotoids are consulting, with granted permission, the map of stars of the planetarium, in order to better apprehend the power of the supernovated things. The metatheories about the dominating black energy are immense workships, at which the intelligent and artificial lifes. the contimidity of the bots, frankly, timid, has not sullied the mission of the plocking ones, in this capillarity of actions of extraction. Close to the maxilloformical cages  of the hellworlds, the bots do not miss any occasion of  stranded the progression of the bigarrous wolves. At the turning of this knowledge wars, led by undermissionaring ones, in which the undercrafting mission, according which robotoids, unseparable to these warding items of energy, transmutating, and, transponding, are coming out of this inertia, cleverly led, could retablish balances, the temple of the knowledge, the temple of the electronics, where, everything is modularized, at will, is the  manifest shelter of numerous valstudients, such as futurobibliotechnicians, with the studiousness, somewhat, reformed, till not knowing adopt which behaviour, whether, agressif, whether  crisping, in front of the incubators of knowledge. In the rooms, where, thievery is current money, the joyous ones, and, the fanatic ones, of the megalomaniacal workshippers, with the egocentrism turning around on axis, per advance, in tragical betrayalnesses, are let run an impending danger above the heads of the diplomates. Whereas the jobarding liars in these cases, repelled for not having direct opposing ones, managed by these procrastinatory revolutionnary tribunals, are fine manipulators macchiaveling always, and, with the length of advance, the devil is, so, to the interminstred affairs. Whereas the legislators are abused, the recoursed to the force needs the accord of the approvaling order, whitout which, the attacks are cancelled, at the worst moment. However, a guard is holding tight, under the legacy of the  cybernetical world, of which the dignified representant, flagsetting of the mecatroncian nation, the technodefenseur, and, his acolytes, that are caulking the vessels transborded, in the domanial forests, where, the megagazingnesses are disturbing the continu flood of the floating rivers, are eriging a networks of spies, such as bots rented by prorietary ones, having to deal with the proprioconceptivity, the clearest of the time, with the noble spirit, nevertheless, are at the technoattack. It is then that the technodefenseur is landing on the unknown field of the knowledge of the cosmogony.

The technodefenseur : All end has a debute, and, comes with a departure, of which it is needed to seize the rebound in order to start from the stratch. But, the attack comes form the spatiotemporal splints. Sudden, the heliospheres, with the aura of an elementary world of entities, that enters into a critical phasis, in this space splitted, in these dimensionnal jonctions, with polytonalities of colours and of sounds, are evem, hardly camed, by these polydioptrical ones, as they assisted to an eclosion of power. Alas, it shealthes, always, a counterindicatory evilness, in the strict sense. 

One of the rebellists : At the top of this dimensionnal vortexed gate, where, tabulationnal miracles are getting happened, especially, in which it is impossible, per advance, to scrib up the convoyaging powers, the muographists, shelling themselves up to the splints, are disclosing an anomaly reletive to the matellainity. The puissance of the fallouts of memorial cometes, to the celebration of the dead planets,  is probabingly the cause.

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