La transduction génétique III / The genetical transduction III

Tandis que l'ameneur des tragédies, Dragoule, devant des mimes, qui ironisent sur le sort des goules, ayant été modifiés par les montagnes magiques, est inavenant, jusqu'à que le goule suprême, Krakosins, aux préductions de plus en plus embarrassant, qui est, quant à lui, absorbé par son seul être, comme si l'ombre augurait de sa personne, malgré qu'ils subrogent, dans le même temps, les lois martiales, le temps d'y voir clair, les tragédistes, les plus envoûteux, et, les plus enrôleux, qui y carasticent, de bien des manières, aubainent la chance d'y décoffreter, avec des coffretiers absolument magotins, une possession des diablotins, toutefois, s'apparentant à une anti-chambre, dans laquelle les flots de la mort nécroplamiques, débordeux de leurs parallélépipèdes cénotaphiques, ne cessent de rembourratiser, et, rempatouiller, jusqu'à raser, à fleur de sol, les demi-vivants. De là y floralise, dans les cimetières de vie, des fleurs du mal, aux quantités accablantes, et, biliantes. Sur le fait accompli, le représentant illustre du directoire des démons, Dragoule y affiche, pour cette fois, où, son sang vient de tourner, l'irrespect aux vaillants goules, à cause de cette perte tégumentaire, lorsque la perfidie offre, au limite des carrefours, des monstres écrabouillants n'importe quel vie. Celui, qui regarde, avec tel mépris que la rage l'emporte, et, un regard perclus de dettes de vie, qui avait volé aux bons samaritains, qui samaritaient, jusqu'alors, n'est qu'un adventique. De plus loin que l’œil jeté s'y colle, avec une sultée paralysie de tous les autres sens, à la réalité dystopale, l'effroyable de la plus effroyable des métamorphismes des organicismes, dont l'aspectation biomorphique y est sabordée, n'ayant plus, dorénavant, la mesure du monde, est, de semblance revigotique, que trompeuse. Le serpilleuse créature a, certes, de quoi inasséréniser le dirlo, qui se détourne de son propre peuple, par un insoupçonné contrôle d'esprit que seul, le directeur des sous-démons peut ablâmer, comme pour y défeutrer ses pas invisibles, à travers les carrefours carrouants, n'est que l'ignoble décision des peuples déservant la cause de l'honorabilité. Puis, le maquereauteux, Dragoule, face au ternes goules, aux cages de chastetés, y rembuise, jusqu'à les faire changer, quelque peu, de leur propres croisades. 

Draghoule : Dans la ligne de mire des goules, il y a ces quelques sacerdoces laissés par ces croisées et chevaliers, prisonniers de leur propres lumières révélatrices, et, tutelliques. Qu'envisagent les goules macchabées, tamtamerisant, sans cesse, pour y éloigner les loins ?

L'un des goules : Les loins sont proches de réussir l'épreuve d'immortalité. Notre dieu y défend un écrin de roche, mais, pas une chair, jamais assez préparé pour cette inéprouvée expérience de l'immortalité. Le soupçon, que Krakosins ait conduit lumière au lieu que obscurité, est empierré, dans ces pierradés. D'ultimes combats ont blèmi la face du vioqué. La ligne marginale entre révélateur et dissimulateur, et, entre régénérateur et préservateur, semble plus que ténue. Les riblées des goules, à travers les piques rocheux, sont moins performantes, seul un faisceau de lumière peut battre l'obscurité.

Un autre goule : Les chocs anaphylactiques ont, premièrement, abattus les premières sexions. 

Whereas the bringer of the tragedies, Draghoul, in front of mimicking ones, that are ironizing about the fate of the ghouls, having been modified by the magical mountains, is unadvening, till that the supreme ghoul, Krakosins, with preductions, more and more embarrasing, who is, as for him, self absorbed, as if the shadow would augure of his person, despite the fact that they are subrogating, in the same while, the martial laws, the times of seeing clearly, the tragedists, the most enthralling and, the most enrolling, are roaming for an antichamber, in which the necroplasmical flows of the death, outburstling from their cenotaphical parrallelepides, do not cease to razor, till tocuhing slightly, the flower of the soil, the halved living ones. From there is blosoming, in the cimetery of life, evil flowers. with accabling and bilinked quantities. On the accomplished fact, the illustrous representant of the directory of the demons, Draghoul, is exhibiting, while turning his blood, the unrespect for the valliant ghouls, because of the tegumentary loss, whilst the perfidy is offering, to the boundaries of the squares, monstres scumbling any life. The one, who is watching, with a such snaggingness that the rage carries it, and, a look perclused of debts of life, that he has stolen from the good saviours, that weltered up to there, is just an adventical one. Furthermore than the thrown eye is sticking, with a sulteous paralysie of all the other senses, to the dystopal reality,, the dredest of the dreadful metamorphisms of the organicisms, of which the biomorphical aspectation is sabotaged, in not having, from the times forth, the measure of the world, is of of revigotical semblance, more than fooling.  The smudging creature, has, indeed, what to unserenize the dirlo, who is who is turning against his own people, by a control of spirit that, only, the director of the subdemons can blasphemed, as for unerasing his invisible footsteps, through the squares, is just the ignominous decision of the peoples, deserving the cause of the honourability.  Then, the mackerel, Draghoul, facing the dimmed ghouls, with cages of chastety, is furrowing, till making them change a little bit, of their own crusades.   

Draghoul : In the target of the ghouls, there is these sacerdoces let by these crusaders and knights, prisonners of their own revealing and tutellical lights. What are envisionning the boogy ghouls, drumming, without cease, in order to cast away the farrest ones ?

One of the ghouls : The farrest ones are close to succeed in the spur of the immortality. Our deity is defending a rock gear, but, not a flesh, never enough for this unspured experiment of the immortality. The suspucion, that Krakosins has conducted light instead of the darkness, is stoned, in these hot stones. Of ultimate combats have pallid the face of the shambler. The marginal line between the revealer and the dissimulator, and, between the regenerator and preservator, seems to be slendered. the ribblednesses of the ghouls, across the rocky peaks are less performing, only a ray of light can beat the darkness.

One of the ghouls : The anaphylactic shocks have, firstly, beaten down the first sexions.

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