Les gousses d'ailleurs III / The pods from the elsewhere III

Téragone : Il y a, de liberté, dans les pensées des séraphins. Ils parlent, avec leurs tripes.

Nèphe : Cela nous vient des traditions séculaires. Les vents contreversent, sans limite de souffle, à travers les contrées disparates, jusqu'à que pleure une rivière flottante oniromancée par tous peuples, ayant affrontés les destructeurs, afin de nous alerter des périls. Cette liberté se saisit de nous, et, l'aile commandière n'en est dévolue qu'à ce tenant.   

Téragone : L'impérissable devoir des séraphins est, de haute fois, gratifiante. De par ce demi croissant de lune, cécédillé d'une serpe fauchante, une haute signification, tremblant d'une vérité cachée, de si loin, doit découler d'une conjonction cosmique.

L'un des héraldistes, à la bouche commissurée parlante : Une bonne compagnie n'est aléatoire, que si l'hôte leur en donne, que de peu de direction. La parsème est là. 

Téragone : Au perdant de toutes considérations des autres, la voix de l'héraldique sera comme flamme à sa torche, administrant les couloirs souterrains. Parole de gobelin.

Tandis que les bastingueurs, tiédis par les brumes paréidales, qui évanescent, de telle manière que les rêves se couturent à leurs yeux imbrillés de pétillance, qui sont, par ailleurs, de brillantissimes découvreurs de runettes, torchiseraient presque ces grands moments de receinturation des terres oublieuses, à cause des vapeurs étourdissantes, le fleuron des flibustiers n'est guère près de la déréliction. Il n'y a guère trop d'attente, lorsque les bas-fond réclament, tout à l'instant, ces immenses sciures fistulées, que les flibustiers jalonnistes, en partie, qui sont décalcophobiques, pour ainsi dire, de peur que un bout de l'univers s'effondre, à partir de ce point, précisaillent, ainsi, la détente de cet arc conquérant les ciels. L'avant-garde y est, quelque peu, chambrailleuse. Les, d'emblée, épurés de toutes ces crasses, qui remontent des profondeurs assassines, produisant, toujours, sans cesse, les mêmes tintouineries, grâce à cet enduit miraculeux, à base de poudre de diatonites, sont de cassulescentes choses, dans les griffes dévastatrices des escogriffés, Tout à coup, le diable refrappe, lorsque ils se carquent, à cause des cervicalgies douloureuses, pour faire fuire, dans les cielleusetés, des tirs de leurs, jusqu'alors, peurs.

Pendant qu'ils essaiment leur courage, à la bastille, bien, gardée, d'une volonté indestructible, afin operquer, de telle manière à pouvoir reboucher cette brèche, aux fistulations énormissimes, les cyclopéens, enfin, trisaïeuls, escarpent ces savoirs montagnisés, depuis des éons, jusqu'à encycliter, d'après l'encyclique, le savoir, noué à ce temps. Malgré la cyclothymie des cyclotronciens, la magnétohydrodynamicité y est l'ultime apendoir. Les truffes diverticulées de ces endroits chaptellisés, ne sont, que'une pierre humectatrice, placé à l'avant-vie de leur élu. L'ignoblissime caractère des chiendés tombe, lorsque des runologues, qui décrivaillent les signes oro-contrôlés par des contributeurs spéciaux, aléaturent ce qui semble être une vadrouille extraordinaire. Les envadrés sont piédestaliques.

Terragone : There is, freedom, in the thoughts of the seraphims. They are talking with their wombs.

Nephe : That comes secular traditions. The winds are counterpouring, without boundaries of breath, through the dispersedlands, till that a floating rivers oniromanced by all tribes, having confronted the destroyers, in order to warm of the perils. This freedom seizes us, and, the commanding wing is just devoted to this holding.

Terragone : The unperishable duty of the seraphims is, of high times, gratifying. From this half crescent of moon, added with a mopping down faux, a high meaning, trembling of an hidden truth, of so far, must simper of  a cosmic conjonction.

One of the heraldists, with a speaking forth commissurated mouth : A good company is not aleatory, except if the host is giving them  just a little bit of direction.

Terragone : At the losing of all considerations of the others, the voice of the heraldist will be as flame to his torch, administrating of the underground lanes. Speech of goblin.

Whereas the shushing ones, less heaten by the pareidal mists, that are evanescent, in a such way that the dreams are sowing their eyes unshined of brillance, that are brillant discoverers of runes, would almost pass aside these moments of rebelting of the lands of oblivion, because of headaching vapes, the flaghound of flibusting ones is not close to the dereliction. There is no long awaitedness, whilst the bottoms are reclaiming, all immediately, these huges splints fistulated, that the flibustiers jalonnist, in part, that are decalcophobical ones, for the sayous ones, of fear of a morsel of the universe collapse, from that point, are precising, then, the triggering of this ark conqueering the skies. The forecast is somewhat, shambling.The henceforth epurated of all these sulliednessesses, that come from the murdering depths, producing, alaays, without cease, the same runnels of noises, thanks to the miraculous wax, on the basis of powder of diatonites, are little fragil things, in the  devastating claws of clawed ones, for making run away, in the skyshperes, triggers of their, up to there, fears. 

While they are assaulting their courage, with a well kept bastion, of an indestructible will, in order to operculate, in a such way of wanting to reloot up this beach, with enormous wounds, the cyclopeans, in fine, ancient, are escarping these knowledges, that have mountained, since th eeons, till encycliting, according to the encyclicalness, the knowledge knotted to this times. In spite of the cyclothymy of the cyclotroncians, the magnetohydrodynamicity is the ultimate pendant. The diverticulated noses of these chaptel, are just a humectating stone, placed to the before life of their chosen one. The ignoblissime behaviour of the doghound is falling, when runologists, that are describing the signs oro-controlled by special contributors, are spoiling what is seeming to be a great journey. The journeyed ones are stallions.

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