Les gousses d'ailleurs VI / The pods from the elsewhere VI

La mesure est à la grandeur des mondes croisés, lorsque des luminarcs, telles des illuminations, les plus rassérènatrices, exploitent le subconscient des êtres imparfaits, à la recherche de cette hédonie perdue. Alors que les instinctualisations font pâles figures, face à l'étendue descendue des rochers immortels, le diacre, quelque peu, abusé par la cousine lumière, met au diapason, les croisés chevronnés. Tandis que les veillées des mondes continuent à propager l'idée qu'il y a une autre existence dans l'un dans l'autre monde, l'étendue de combattants, qui est entièrement médusée par les quelques lanternes luminarqués, venant jusque des plus profondes conclaves du monde souterrain. Toutefois, les chevrons de la résistance, qui s'y déploient, dans les promontoires, lovés dans des entremaillages cousus à la lumière, annihilisant des matières exotiques, sont supportatifs d'une charge exponentielle, des plus durs à contenir. Alors que les buts sont difficiles à objectiviser, pour des n'ayant recours à la projection de sonorités astrales, comme ces fuites de sons éthérationnels, qui trouvent confort, dans les orifices des coquillages géants, tympanisés tels des oreilles du monde surfacique, que les diluviens n'ont de cesse d'écouter, en vain, les phares projectaux sur les mondes abyssaux, y sont là pour y défecter le fait qu'ils soient contenus, qu'en unique témoin de la plus belle terraformation, qu'il existe. Bien portants, malgré l'éreintage des croisés, éperdument amoureux de ces luminarcs, qui syntoniquent, les condensats cristalloïdaux sont, également, d'immenses réceptacles, qu'il faut choyer. Alors que, de par le monde, les clans grégationnels trouvent, par la force des rêves oniriques, l'inouïe imagination à faire revivre, lors de ces consubstantiations, les différentes époques de plaisir, et, de frivolité, les masses noires ne sont que là pour inonder de malheurs les mondes. Au travers de leurs destinées, les plus insacrifiables temps dévolus à rassembler les siens, à travers des mondes cousins, sont d'immenses regrets, et, de gaspillages inévitables, pour ces croisés, comme lâché dans les attrape-mondes, jusqu'à soulever des caches des mondes, l'armée apocalyptique ne peut qu'y affronter une armée, libre de terre. Mais, hélas, les terres n'appartiennent qu'à cette révolution temporelle. Pendant qu'ils cherchent, sans distinction de groupe armé, un refuge, un eldorado, et, un paradis, au lieu de cela, il trouve un oasis de combattants, dans lequel le commandant des armées draconiques, le fleuron de la flibusterie, et, le porteur de la lumière, qui enguêtralisaient, avec es matériaux de réflexion, les moindres promontoires déchaussantes, sont, enfin, à la dimension de cette guerre apocalyptique, sous oublier les bataillons d'extraction, aux caquèlements extrêmement frissonantes. Près du frêne, l'ange céroféraire, à la flamberge, y brise, d'un seul fracas, le monde des hurleurs, dans lequel la chaleur des élus, héliosphérisée, est, enfin, chalumante, près des avens, ce qui signifie que la projection transsolaire, accompagnés de gaz muographisables par des bataillons d'extraction, à la peine, est la nouveauté, qui embaume les cœurs. 

The measure is at the greatness of the criss-crossed worlds, whilst some luminarcs, such as illuminations the most strengthened up, are exploiting the subconsciousness of the imperfect beings, in the seeking for this lost hedony. Whereas the instinctualizations are pallid, facing the stretch falling down the immortal rocks, the religious one, somewhat, abused, by the next-to-kin light, is putting in the diapason the rushing crusaders. Whereas the veilingnesses of the worlds are continuing to spread the idea that there is another existence in the in between world, the the stretch of combattants, that is medused by the few lanterns luminarking, coming from the deepest conclaves of the underworld. Thereupon, the pinned structures of the resistance, are getting deployed, in the mountcies, in the entwinningnesses weaved at the bright light, annihilating the exotic matters. are supportative of an exponential load, more than hard to contain. Whereas the goals are hard to objectivize, for the not having recourse to the astral projection of astral sonority, such as these runnels of the etherationnal sounds, that find comfort, in the orifices of the giant shells, tympanized such as ears of the surface world, that the diluvians have not ceased to listen, in vain, the projectors upon the abyssal worlds, are there for defecting the fact that they are contained, for being just witness of the most beautiful terraformation, that exists. Well carriers, in spite of the tiredness of the crusaders loving of these luminarks, that syntonical, the cristalloidal condensats are, also, huge receptacles, that they need to cherish. While, throughout the world, the gregationnal clans are finding, by the forces of the onirical dreams, the inouish imagination to make relived, during these consubtantiation, the differents times of pleasure, the black masses are just there for innundating the misfortunes of the worlds. Across their destinies, the most unsacrifiable times devoted to gather up their siblings, throughout the neighboring worlds, are huge regrets, and unevitable wastingnesses, for these crusaders, as leaked in the catch worlds, till uplift the hides of the worlds, the apocalyptical army can just confront an army, freed of land. But, alas, the lands are just belonging to the temporal revolution. are seeking Whereas they are seeking, without of armed group, for a shelter, a paradise, instead of that, it founds an oasis of combattants in which the commander o fthe draconian armies, the flagshiper of the flibustery, and, the carrier of the light, that were spadding up, with reflection materials, the slightest mounts, loosening, are, in fine, at the dimension of this apocalyptical war, without forgetting the batallions of extraction, with extremely thrilling yellings. Close to the tree, the ceroferary ange, with the flamberge, is breaking, with one single split, the world of the howlers, in which the heat of the chosen ones, heliospherizable, is, in fine, chalumating, close to the holes, what means that the transsolar projection accompaned of gazes muographizable by batallion of extraction, in hard task, is the news, that embalm the hearts.

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