Le cycle d'éclosion des aracées V / The cycle of hatching of the araceaes V

Tandis que l'imaginarium, à l'intérieur duquel les oniromanciens mêlent, par cérémonie, la magie des rêves aux requêtes des invocateurs, qui ouvrent vers la valeur de la liberté, qui s'amenuissaient, l'intégriste et puissant magicien, qui débaffre, avec une magie, si emballante, et, inimarginable, qu'elle interprète les rêves voguants, et,  puisqu'elle gagne la ferveur.des clans ogreux et d'autres présompteux, déborde de son lit originel, platement constaté. Alors que les griffons, voués à l'amoncellation des magots broqueux, y rajoutent de fantaisie, des couloirs inempruntés et inexploités, à cette mer des colères, les ogres fêliques et astringant, avec des potions empotelants, qui transmutent des corps en des chosifications que des magies populaires ne contrôlent guère du tout, interludent, bien qu'ils sont dans une mauvaise position. Les graillonneurs, à l'impopularité forte, due, certainement, à leur gueule de molosse, qui atavisent.ces quelques diurnaux, caputent jusqu'à faire rembouler Kapout, le destructeur. Malgré les menées liberticidales de ces invertébrés de la guerre, les ogres épars, aux talents de dispersion incroyablissimes, embaugeant, avec des grognolements boustiffaillants, jusqu'à s'en mettre partout, dans ces miracularisés, sans cesse, trous de libations, jusqu'à remplir, par broc, ces choses empintadés, décorées de mirabelles, enguirlent, folâtrement, ces baïnes. Malgré qu'ils rilettent, à l'aide de tourets, ces cadavres provenus de ces remareyages étranges de corps entuméfiés, après avoir bayés ces étendues entre deux corollants mondes, les renlèvements des corps s'étalochent tout le long de ces renfouissements vers les troglades. Alors que certains d'entre eux, davantage, mystérieux, comme issu d'un mystérium, aux pouvoirs sensoriels accentués, calorisent, avec tact, le moindre  effort à fournir pour se déplacer dans ces trogleux endroits. Près du câprier, l'orgre, à la médisance volontaire, et, maniérique, qui soupiraille, aborde ce péril de la pire manière.  

Whereas the imaginarium, inside which the oniromancians are combining, by ceremony, the magic of the dreams to the the requests of the invokers, that open to the valour of the liberty, that faded away, the integrist and powerful magician, who is unscaring with a magic, so emballing and inimarginable because it wins the fervour of the ogres' clans and other presomptuous ones, is getting out of its original.bed, flatteninh constated. Whereas the griffins, fated to the piling of the odd-and-ends' treasures, are adding of magic unexploited pathways, to this sea of wrathfulnesses, the crackling and astringing ogres, with pot-bellying potions, that the popular magics do not control at all, are interluding although they are in bad position. The eaters, of the strong unpopularity, owing certaintly to their muggingness, that are dimming up the diurnal.ones, are shubbing till making balled Kaput, the destroyer. In spite of the liberticidal leads of these rags-and-bones of the war, the dispersed ogres, with the incredible talents of dispersion, weltering, with grintingnesses, till splashing out everywhere, in these miracularized without cease holes of libations, till fulfilling these goosed things, decorated the goldish little fruits, are showinh themselves, in a maddening way, in these tidal pools. Despite the fact that they are crumbling with vulgar tools, corpses clming from these stranges pools of tumefied corpses, after having bayed these stretches between two eery worlds, the renappings of the bodies are.furrowing till disappearing in these trogling burinesses. While certains of them, evn more, mysterious, issuing from the imaginarium, with sensorial and accdntuated powers, are gently calorizing, the effort to furnish, for deplaxing in these trogling.places. Close to the shub, the ogre, with voluntary and mannerical medisance, that is sighing, is coasting this peril of the worst manner.

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