Le porche III / The lychgate III
L'immensité du monde amygdalien, à l'intérieur duquel les ascensions droites n'effrayent aucunement les arachnomorphes, est, petit à petit, explorée, par les torgnoleurs, qui, après maintes déconvenues, funiculent plus que laborieusement ces guimbarderies, à travers les colles de soie. Bien qu'ils torchepotent des cavités, dans les roches entoilées, d'extrêmement serrées colles soyeuses, et, rebondissantes, les quelques torgnoleurs, qui s'approprient, de manière osée, le jeu d'obstacles, osent défier, dans des courses multidirectionelles, des géantes orientatrices, à l'abdomen tape-à-l’œil. Soyeuse soit le doux retour des tourmentés, vers la vie d'avant la chute trémendiée. Alors que les chutes sont fatales, les entorpés à faire désencheveler les quasi cénotaphiques tombeaux suspendus. Cependant, les orangs-outans, qui s'emberlificotent, dans ces toiles, aux gigantismes jamais égalés, forment, merveilleusement, une chaîne de bras, à la rescousse de ces petits accrobranchoyeurs. Les arroyeurs s'y pressent, avec une idée d'en découdre, dans ces passages tumorés, jusqu'à clairdécevoir de ces lumières, non à la hauteur des instants intermondiaux. Malgré les déceptions, ils donnent la mesure du monde, pour longtemps lointain. Devant les tesselles, qui remettent en ordre instantanément les idées, les cadrans, en tête, les torgnoleurs y lorgnoyent des sacs organiques, brésiliant, lorsque que les feux follets s'emparent des lieux accaparants. La beauté floconneuse se mêle de mots, qu'ils décrivaillent. L'encombre d'un monde viendrait presque les battre à plats de couture, excepté qu'ils disposent un oscillomètre exceptionnel. Pendant que les cracodingueries des torgnoleurs satisfont ce clan amadoué mygdées, le noisetier, Pollion, devant les sitelles, les ibis, et, les zoiseaux psittaciformiques, qui font éclosent, par des chutes savantes, des noisettes, par terre, observaille, avec l’œil, en compote, dans le houppier d'un séquoia le plus grand de tous, les milieux circumpolaires, rugissant de corones polaires. Sublimement, les perséides, la pluie d'étoiles filantes y sèment la joie éphémère. C'est alors que Pollion abrège l'impatience des suiveurs d'étoiles.
Pollion : Il faut qu'il tâche à bien agir. Il s'ouvre une cérémonie des étoiles. Avant cela, la beauté filante des perséides avait telle aussi bien momenté. Le temps défilerait, à nouveau. Une surprise de l'apprendre que les zouaves sont, toujours, à la ramasse. L'arc polaire nous attend.
L'un des encanaillés trognoleurs mastocs : Hélas, les brunissements mystérieux des taveleurs ont une origine remontant à ces noisettes bombebalantes, tombant de là-haut, vers le bas. Un marc magique doit être l'élément magique. Alors qu'ils pschittent, devant ces marcs placideux, l'un des filipendulistes cadreurs, encaissant les coups, a résisté jusque-là. Il détiendrait un début de réponse.
L'une des brévilignes créatures toquées : Ils pendicularisent ces étendues forestières, avant le vide glacial. Les enlucsés, dans ces places tourbillonnaires de pics de glace, qui ne sont que d'intrépides goguenards, en goguettes, et, leurs pièces magnétoformiques, qui magnéto-résistent, patinent. Ils resaquent des sacs emboyautés, d'où s'échardent des exosquelettiques. Un dégrippant ne serait pas de refus.
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