Le porche VI / The lychgate VI

Tandis que les dragons spiraux frisent, avec décadence et gloire, les terres désolées, les fantassins draconiens, dont les dragons gardiens de repères, aux dents émoussées, qui filètent effarouchement ces quelques taraudables hydrofraises souterraines, malgré l’hydrocéphalie, qui gagne les quelques hydrothermistes, continuent, avec leurs alésoirs, à faire hypersomner les derniers coriaces, et, renfrogneurs aux failles indiscernables, s'éloignant de l'intérieur de leurs grottes aquifériques. De là, où, l'infanterie du clan des dragons, qui, par ailleurs, restaure leur calandre, afin d'y rameuter d'autres enfraineurs du même hymne, le palmarès des dompteurs de dragons est presque au complet, lorsque des dragonneaux, tout droits sortis des gisoirs, s'y mêlent, avec une déconcertation totale, aux initiales marches. Devant les indécernables couronnes, comme si le mérite d'avoir réellement vaincu les ordres maléfiques, était, dans tous les esprits, l'un des commodores sauriens y galvanise lambinatoirement, à marche forcée, les troupades, qui sortent d'avens.

L'un des commodores : Voilà, la garde prétorienne, pestiférique, qui preste, devant ces calandres d'un guilde de pirate, cirgicle, encore, une fois, près des calanques.

L'un des prêtresses gorgonites : L'olivine arbore un vert calme, dans ce val, en forme de cuve. Que les pires renfrogneurs froquent , avec leurs élytres éployées, ces glissements vers d'autres mondes. L'horrible monticulation montre qu'il y a un monde, qui n'est plus monde.  

L'un des dompteurs de dragons : Les pies noires font des pépiements, et, les cendres gagnent d'autres territoires houillés. Le rendurcissement des dragonneaux, que viendront fouler les pieds des montagnes maléfiques, est plus proche qu'il n'y paraît. Mais, les nuages sombres, qui se déposent, dans les vallons, récident.

L'un des gardes prétoriens : Les gobelins ne sont pas loin de là. Les cirgiclures des gobelins, aux alésoirs, encore plus, longicornus, et, bizzaroïdaux, sont, encore, peu appréciées pour leurs andouilleries. 

L'un des commodores : La méphitisation des terres délavées, incarbonifériques à présent, est à l’œuvre, par delà les prohibitions.

Whereas the spiral dragons are asiding, with despair and glory, the desolated lands, the draconian infantrymen, of which the dragons guardians of lair, with fangs that are stubbornly transforming into wire these few mouldable underground hydrodigging tools, in spite of the hydrocephaly, that seizes the few hydrothermists, are keeping going, with their metal sticks, in order to do hyypersomning the last frowners, with undetectable faults, going far away from the inside of their aquiferous grottoes. From there, where, the infantry of the clan of the dragons, that, by the way, is restoring their calander, in order to troop up other shambling ones of the same hymn, the palmares of the tamers of the dragons is almost completed, whilst little dragons, coming from the dens, are getting combined, with a total deconcertation, to the initial walks. In front of the ungiving crowns, as if the merit of having really vanquished the malefic orders, was, in all the spirits, one of the saurian commodores is galvanizing, in pacing, the troops, that coming from holes. 

One of the commodores : There they are, the pretorian guard, pestiferous, that is presting, in front of these calanders, of a guild of pirates, is cirgushing, yet, once, close the beaches.

One of the gorgone's prietesses : The green stone has calmingness in it, in this val, in guise of cuve. That the worst renfrowners are covering up, with the eployed elytrums, these shiftingnesses towards the other worlds. The horrible monticulation shows that there is a world, that is not anymore world.

One of the tamers of dragons : The black birds are crissing, and, the ashes are winning other territories. The hardening of the little dragons, that will come to tread down the feet of the malefic mountains, is close to an end. The dark clouds, that are poising, in the valleys, are reciding.

One of the pretorian guards : The goblins are not far away from there. The cirgushingnesses of the goblins, with sticks, even more, longihorned and bizzare, are, again, less appreciated for their dumbingnesses.

One of the commodores : The mephitisation of the dewashed lands, uncarboniferous, from now on, is spreading, beyond the prohibitons.

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