Les mygdées V / The mygdees V

Dès l'instant, où, les mucus boguenaudent, jusqu'à les faire piquer du nez, les torgnoleurs éternuant, tels des dragons ternuaient, à travers les puits gravitationnels, remplis d'eaux saumâtres, jusqu'à que toutes leurs cavités endonasale soient prophylaxés, par prévention, avant d'être grabateux, sont salvateurs, tout à fait, spéciaux. La réputée inadaptable vie fait merveille. Alors que la néotrophologie, liée certainement, à la néophobie, serait supposée à les rabougrir, en temps normal, les uns comme les autres, non rassurés d'un retour vers les plats pays, Ils font résonner limbiquement la pensée de l'unique, après s'être résolu à chercher la rassurante voix éternelle, afin de traverser cette période, qui turbule. Tandis que les bourlingages des lurons donnent de l'attrait, quelque peu, plaisant, aux paysages lointains, qui étaient, bien, longtemps, répulsifs, à cause des araignées géantes, lapant les perles d'eau, à l'intérieur desquelles les rêves étaient, d'une attirance réservée plus qu'à un monde, sur les pampilles surentoilées, le clan des mygdées pionnier, quant à lui, qui surbaisse les instincts tripatoulleurs des araignées octopodes,  jusqu'à topier des étendues labyrinthesques, afin de s'approprier les caches de pierres de pouvoir, y relève le niveau. Soudain, les nappes cachant des vides sidéraux, qui se nucléent, au fur et à mesure, que les araignées monumentales, tisserandant jusque'alors, calfeutrent les venus des tertres, qui en connaissent un rayon sur ces portes stellaires. Pendant que les arachnomaniaques attaques aux mandibules mettent en fuite les quelques endorsés chevronnés, la plus que charmante idée du Brocheton, de dépoter des fleurs à tépales, à la magicalité à prouver, fait son bout de chemin. Face à l'enigmatique collerettes rocheuses, où, tout apparaît dissimulé, l'héliotropisme des tournesols sauve Brocheton, et, son équipe de bras cassées. Alors que tout était perdu, dans ces impasses, la nature déverouilleuse veillait bienvaillamment sur eux. Morpiés, les torgnoleurs y plantureraient presque. La magie s'emballe, et, le tour du cou magistral du tournesol, noir à l'intérieur, et empétalé d'une couronne coronale jaune est, absolument, féérique, lorsque les créatures simarresques pimpent, à nouveau. Voilà que des filipendulistes changent, d'emblée, de position marellesque.  

L'un des filipendulistes : Le feu libère sa puissance décréationniste, que les composantes de la nature capture. Dans ces rets, et ces filets, ils doivent supporter la vie. La larme a choisi l'expression florale, et, la vie n'est est que plus belle, et, inoffensive. L'âme des fleurs ornementales, et, des plantes succulentes est bien existante. Les oniromanciens l'avaient, avec une telle pertinence, ornée dans les livres vivants. Elles sont à l'abri des intempéries cyclothymiques, comme nous l'enseigne d'avoir, l'arbre de la connaissance.  

Brocheton : Le clan des mygdées a-t-il trouvé l'or rouge, à l'odeur safranée ? L'un des feux follets doit s'abriter sous l'abrisseau. 

L'un des filipendulistes : La porte décèlée est colletée par une sorte de toile d'araignée, émue de rêves rêvés. Une journée fantastique de plus les attend. 

Since the moment, where, the mucus are bogging, till making them fall to earth, the spawns sniffing, such as dragons go through land to sky, throughout the gravitationnal wells, fulled of salty waters, till that all the endonasal cavities are prophylaxed, by prevention, before being down with fever, are salvating ones, indeed, special. The notoried unadaptable life does wondrous. Whereas the neotrophology, linked, certaintly to the neophoby, is would be supposed to be shrinked, in normal time, the ones than the others, not reassured to a return towards the plate lands, they are doing resonated limbically the thought of the re-ensuring eternal voice, in order to pass through this period, that disturb. Whereas the shamblingnesses of the pawns are giving some pleasent traits, to the far away landscapes, that were, well, a long time, repuslive, because of the giant spiders, licking the pearls of the water, inside which the dreams were, of an attraction reserved not to an only world, on the overstarred frame, the primary clan of the mygdee, as for him, that is lowering the tripping instincts of the octopodal spiders, till topiating labyrinthical stretches, in order to appropriate the hides of the powerstones, is levelling up. Suddenly,, the neaps hidding sideral voids, that are getting nucleated, as far as the monumental spiders, weaving up to there, are covering up the came from the tumulus, that, are knowing a lot about these stellar gates. Whereas the arachnomanical attacks to the mandibulas are putting in danger the few fierce endorsed ones, the more than charming ider of Brooch, of depoting the headdowning flowers, with the magicalness, to be proved, is continuing its path. Facing the enigmatical rocky neckingnesses, where, all appear dissimulated, the heliotropism of the sunflowers is saving Brooch, and, his team of borken arms. Whereas all was lost, in these deadlocks, the unlocking nature was veiling, in a benevolent way, upon them. Morpiated, the shamblers would almost be planted like that. The magic is hushing, and, the magistral turn of neck of the sunflower, black from th einside, and, petaled of a coronal crown of yellow, is absolutely fairy, whilst the chimeras creatures are pimping, again. There that filipendulists are changing, from the times forth, of position. 

One of the filipendulists : The fire liberated his decreationnist power, that the compounds of the nature captures. In these threads, they must sustain the life. The teardrop has picked the floral expression, and, the life is more than beautiful, and unoffensive. The soul of the ornating flowers and the succulent plants is well existing. The oniromancians had, with a such pertinence, ornated in the alive book. They are sheltered against the climaticidal storms, as taugh by the tree of knowledge.

Brooch : Has the clan of the mygdees found the red golden, with the safraned odor ? One of the madden fires must shelter under the litte tree.

One of the filipendulists : The decealed gate is sticked by a kind of spider's web, moved of dreams. An eery journey of more waits for them.  

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