A la trôle VI / In a trolling way VI

Pendant que les homo bionicus, tels des modèles d'ingénierie scintigraphique, qui se préparent aux soulèvements des technocréatures, transforment leurs andromèdes, en véritables cartoucheries, et, sous-commanderies, les combats célestes, dont la dévotion des dévots de la lumière, et, les prélats, qui se propage, descend, sont dans tous les esprits. Les combats se ressemblent, mais, les victoires sont durs à acquérir. Sournoisement, les sismomètres utilisés par les carriers, pour avancer, à pas serein, dans ces souterrains géodésiques, y révèlent les agitements anisotropiques, afin d'y lancer définitivement l'alerte final. Partout, les embarcations vers les vaisseaux de transports de sentencieux sont innégociables, pour le millionième des rescapés. Bien qu'ils rescapent sans jamais regarder derrière eux, les doubles démoniaques de ces combattants phrénographes, lâchés dans les terres golgothiques, suite à des doublements transsubstantiaux, ayant mijotés, dans les frontières surnaturelles, les rattrape, jusqu'à les empêcher de protéger la ceinture transnéptunienne, à la limite des galaxies. Les ceintures d'allégeance transcontinentaux commencent à faire émerger des peurs cachés, dont l'horizon interminable semble nourrir, à présent. Dans ces amas nébulaires, rien contrevient à circumnaviguer à travers. La circumduction des tunnelages est inquiétante. Alors que la dislocation des plaques tournantes, sur lesquelles les secteurs carcéraux s'étaient, profondément, ancrés, est proche, à cause de puits cosmiques actifs, l'approche empirique des cosmocrates, qui est, à tout hasard, escientée par des spécimens endémiques, laissés pour morts,semble être obsolète. Dans les terres arc-en-ciels, où, les bandes multicoloriques montrent des rase-mottes, un peu, hagards, jusqu'à imaginer un ciel de défense, au moins, d'y faire partie. Avant cela, les bataillons d'extraction, qui sont liés aux sorts de ces terres embranchiques, s'y reprennent à deux fois, avant de faire parler les volcans. Les lahars laviques, dont les volcanologues font désassoupir les chaînes volcaniques, palissadent les entrées monumentales vers d'autres territoires d'esseulement. Dans tous ces chamboulements transatmosphériques, dans lesquels se dépressurisent des gaz rare, les armatologues profitent de cet avantage territorial, où, les ions, qui conduisent à l"état plasma de toute force, en contraste aux fjords, où, l'alciation déclenche l'euphorie, viennent de la mane du lion de feu. Les lanternations sont fantastiquement acceptées, un peu partout.

Whereas the homo bionicus, such as models of engineery, that are preparing themselves to the rising of the technocreatures, are transforming their andromedes, in true sub commanderships, the celestial combats, of which the devotion of the devotees of the light, and, the noble ones, that is spreading itself, are in all the spirits. The combats are the same, but, the victories are hard to acquire. Filthy, the sismometres used by the mining ones, for advancing steeply in these geodesical undergrounds, are revealing, on it the anisotropical agitations, in order to launch definitively the final alert. Everywhere, the embarcations towards the vessels of transports of the sententious ones are unnegociable, for the millionth of the survivors. Although they are surviving, without never ever lokking behind them, the devious doubles of these phrenologist combattants, dropped in the golgotha's lands, following the transsubstantial doublingnesses, having been souped, in the supernatural frontiers, is catching them bacl, till avoiding them to protect the transneptunian belt, at the boundaries of the galaxies. The transcontinental belts of allegiances are starting to make emerged hidden fears, of which the endless horizon seems to nuture, nowsadays. In these nebula's rings, nothing forbid to circumnavigate through it. The circumduction of the tunnels is worrying. While the dislocation of the turning plaques, on which the prisonned sectors were deeply anchored, is close, because of active cosmic wells, the empirical approach of the   cosmocrates, that is, by all luck, esciented by endemical specimens, left for dead, are seeming to be obsolete. In the rainbowed lands, where, the multicolored bands are showing snagging ones, a little bit, haggard, till imagining a sky of deense, unless, to be part of it. Before that the batallions of extraction, that are linked to the fates of these branching lands, are taking twice, before make spoken forth the volcans. The lavas' rivers, of which the volcanologists are made desleep the volcanical chains, are laning the monumental entrances towards the other territories of loneliness. In all these transatmosphérical goings off rampage, in which some rare gazes, the armatologists are taking advantage of this territorial advantage, where, the ions, that tense to the state of plasma of all force, in contrary ot the fjords, where, the altiation is trigerring the euphory, are coming from the fur of the lion of the fire. The lanterningnesses are fantastically accepted, everywhere.

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