Le dragonnier II / The dragon's blood II

Plutôt défaitistes qu'opitmistes, les bataillonnistes extractionnistes, si bien qu'ils sont, en peine, de repousser les armées maléfiques, qui approchent vers les anneaux de téléportation, rifflant les airs jusqu'à créer, dégradamment,un brouillard rayé. Les transfuges de première livrée, d'un monde à l'autre, sont des argonautes, tels des mollusques coquiphonistes, et, recroquevillés dans des coquilles vides, aux concrétions pointantes. Les godons, tels des bouffons, arment, avec une dose de folie, qui leur est propre, les pis d'une coque ostéodermique verte, prêt à dévaler sur ces pentes vertigineuses, à la manière du clan éternel, qui avait immortalisé ces passages vers l'ailleurs. Auprès de décuvoirs basaux, dans lesquels les riffles brumeuses se transforment en des vaguelettes mystiques, les combleries de sous-clans, en périphérie de tout, sont les seuls relais, au centre de l'activité paranormaliste. Malgré qu'ils n'ont de cesse, après l'apparition de terres arc-en-ciel, de régler, colorimétriquement, les quelques chasseurs d'étoiles, les aéronautes, et, les colombophiles, les perruquiers aux plumes majestueuses, et, ocellées, les encore, là, privilégiés de cette, avant cela, ouverture vers les espaces planétaires circumbinaires, pétiolent, ainsi, avec des  brindillements absolument sublimissimes, ces levées de soleils coronaux. Tout à coup, dans l'atrium, envahi par cette rage de vaincre, où, le digne, et, intègre, gobelin, Strax, croissant, dans sa volonté de se délivrer de ses carcans, y forme les rangs desserrés de rotariens, dans ces cabestans. L'encouragement est contagieux, lorsque le pouvoir psychique de Strax est quasiment ombellifèrique. Des armes claniques aux casques cimiers, Strax doté d'une ressouvenance de moment, où, il crucifiait ses concurrents patibulaires, grâce à ce luxmètre, pour couper, au diamant, selon la dureté de ces saletés, avait certifié avoir serti les quelques portes-lumières gemmiques. L'onyx y crache une lumière noire, qui ferait dépéricliter son peuple, tels les rangs ronflaillent. L'optimiste, à tout prix, est là, lorsque des argonautes, ouvrant le bal, se perdent, dans les vagabondées valements. L'anthropo-ethnologie y ressusciterait des peuples décimés, à partir de cet élément de vérité. Malgré que l'ergotisme empêche les quelques damnés, dans les puits danaïdiques. Malgré les vernacularités constatés, les vestigialités restent les seuls sculptures de vie, capable d'être porté par le déferlement vert. Les abondants combattants verts, aux matoiseries curieuses, se prémassent,devant les dragons, aux marches dissymétriques, aux dynamicités fonctionnelles, et, géoadaptologiques, montrant que ces îlotiers composent leurs marches sur des pianées laviques. Quelque part ailleurs, les dionées, dans ces étendues luxuriantes, où, les stupas amplifient un rayonnement brillant, les héraldiques occiseurs, en y abhorrant les batailles confrontales et coinçantes, sont aux aguets. 

Quite not optimist,the extractionnist batallionnists, although they are, in pain, of repeling the malefic armies, that are coming close to the rings of teleportation, scratching the airs, till creating, degradingly, a misty cloud. The transfeerers of the first sending, from a world to another, are some argonautes, such as coquiphonist, and, shelled in empty shells, with pointy concretions. The goddams, such as gluttons, are weaponizing with a hint of madness, the tits of a green osteodermical shells, ready to fall down on these dizzy slopes, in a way of the eternal clan, that had immortalized these pathways towards the elsewhere. Among the basal decuving ponds, in which the foggy riffles are getting transformed into mystic waves, the cumbs of subclans, in periphery of everything, are the only relays, in the centre of the paranormal activity. Despite the fact that they have not cease, after the appearance of rainbowed lands, to fix up, colorimetrically, the few hunters of the skies, the aeronautes, and, the colombophiles, the makers of majestic and ocellated feathers, the favorized ones of this, before that, opening towards the circumbinary planetary spaces, are like flaky, absolutely sublimalnesses, these risings of coronal suns. All of a sudden, in the atrium, invaded by this rage o vanquishingness, where, the dignified, and, integral, goblin, Strax, growing, in his will of surrending of its jails, is forming the desserried ranks of rotarians, in these turning wheels. The encouragingness is contagious, whilst the psychical power of Strax is quasi shadowing. From the clannish weapons to the crested helmets, Strax, endowed of a remenberingness of moment, where, he would crucify his concurrents, thanks to this luxmetre, for cutting edgingly, with diamand, according to the hardness of these sullied stones, had certified to have embedded the few carrying of gems' light. The onyx is spitting out a black light, that would make depericlited his people, such as the ranks snooze. The optimist, at all cost, is there, where the argonautes would ressuscitate decimated people, from this  element of truth. In spite of the ergotism prevent the few damned one, in the reclining island. In spite of the constated vernacularities, the vestigialities remain the only sculptures of life, capable of being carried by the green storm. The abundant green combattants, with curious glaringnesses, are prepiling, in front of dragons, with dissymetrical walks, with functionnal dynamicities, showing that the islands makers are composing thei walks on lavas' steps. Somewhere else, the dionaeas, in these abundant stretchingnesses, where, the stupas amplify a brillant radiance, the heraldical killers,, in abhorring the confrontal and stucky battles, are on the warfoot.

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