Aï tridactylique III / The three toed sloth III

Tous pressentent un final plus que terrible. Bien que la mort stellaire est entrain de marquer les esprits, les étoiles fugitifs de ces galaxies s'assemblent comme pour annoncer, dans ces palais archéoastronomiques, de plus en plus nombres, la fin d'un tout. Les piètres astromanciens ne cessent de lire dans les étoiles, en vain. Le visage écarlé de rouge, le combattant crépusculaire, Onus rubin, avec l'hexagonale pierre rougeâtre, comme pour soudoyer les cinq dragons eschatologiques, qui amène les amenées de gargouilles, puisqu'il n'est qu'un briseur de pierre parmi tant d'autres, fait occire les quelques guivres, et, quelques vouivres, aux similarités étranges avec des dragons drageonnant. Sans visiblement de repère, dans le griffoire, à l'envergure des dragons grappineux, le sableur, au mensonge d'élixir, n'avait oncques de remède pour guérir des blessures internes, que les dragons, en ça, élémentaires pour la géologie extraterrestre, devaient porter éternellement, à moins qu'un reflux temporel renverse cette malédiction. Pendant ces temps-ci, dans ces descenderies, à l'intérieur desquelles les descendeurs, avec une trempe incroyable, à faire pâlir les quelques macchabées, infligent des châtiments ultimes à leurs jouteurs, le rafleur des savoirs minéralogistes ne peut que contempler le chemin parcouru, depuis lors. L'apatridisant n'importe quels courroucés a finalement mis la main sur une migrée de pierres éclatante, d'une grosseur scandaleuse, dont les facettes éclatent la réalité contemplée. C'est alors que les contemplatifs salamandres tavelurés, Hyoïde, et, Hyaloïde, expatriés vers les contrées transitoire, regagnent, peu à peu, leurs indépendances face aux pierres obsessionelles, tout en taffant les fumées fumigèniques de couleur sang, afin de nifler, pour quelque temps perdus, le safran violet. Hors d'eux-mêmes, les tourmants du clan des salamandres, qui y expérimentent le transmiroitage de ces rubis mystiques, les criblent de déshonneur, lors de ces pérégrinations vers leur supposé élu. Voilà ce que Hyoïde et Hyaloïde voient pyrobioser, dans ces entrefeux, jusqu'à fléaliser ces combattants crépusculaires, dont le brêleux briseur de pierre est taillé, dans ces pyrogravures. Les tisonniers ensemblisent, avec des mots d'occasion, ces moments de retour d'espoir.

Hyoïde : Le souffle ardent, aux va-et-vients, nous époustoufle jusque-là. Un embraseur, né de ces conjonctions, serait le porteur du faix, mais, quel est le but final de ces pré-paracheveurs ?

Hyaloïde : S'auto-proclamerait-il être le repéreur des mondes vivables pour les créatures diabolifériques, après leur monde se soit autodétruit ? Les haveuses créaturesques sont l'aveu qu'une galaxie se meurt.

Hyoïde : Les hexapodes accrochés à ces lieux d'embrasement sont les seuls à pouvoir grappiller, dans ces souffleries ardentes. Les tourbilles de feux, aux virevolteries diables, sont l'hantise de cette clade des ferrailleurs. L'ange céroféraire flamberge-t-il cette dague, dans le feu sacré?

Everyone forebode a final more than terrible. Although the stellar death is going to hearten down the combattants, the wandering stars of these galaxies are gathering up, as for auguring, in these archeoastronomies, more and more numerous, the end of everything. The clumsy astromancians are not ceasing to read in the stars, in vain. The scarlet face, the crepuscular combattant, Onus rubin,, with the hexagonal red stone, that is bringing the bringingnesses of gargoyles, because he is just a stonebreaker amongst man, is letting slaughtered the few wurms, with odd similarities, similar to the trodden down dragons. Without visibly of spot, the sandy man, to the lie of elixir, had never ever of remedy for healing the intern wounds, tha tthe like that elementary for the extraterrestrial geology, dragons, could bear eternally, unless that a temporal reflux reverse this accursedness. During those times, in the undersided ponds, inside which the descending ones, with an audacious manner, in order to make wan the few boogy men, inflict punishments to their yokers. the compelling any wrathful ones has finally putten their hand on a migratedness of gleaming stones, with a scnadalous size, of which  the little faces split the contemplated reality. It is then that the contemplative sptted salamanders, hyod and Hyaloid, expatriated towards the transitory lands, are rewinning, little by little,  their independances face the obsessionnal stones, in smelling out the red bloody smokes, in order to niflate, for lost moments, the purple safran. Out of themselves, the tormentors of the clan of the salamanders, that are experimentating, on it, the transmirroringness of these mystical rubis, are debting them of dishonour, during these peregrinations towards the supposed chosen one. There they, hyod and Hyaloid, are flaming up, in these in-betweens of fires, till scourging up these crepuscular combattants, of which the flaky stonebreaker is moulded in these pyrocraftings. The stirring up ones are wholing up, with words of occasion, these moments of the return of the hope.

Hyod : The fierce breath, with fro and throth, is amazing us, up to there. A firestarter, born of these conjunctions, would be the carrier of the burden, but, what is the final goal of these fora-paramountced ones ?

Hyaloid : Would he be autoproclaimed of being the spotter of the worlds livable for the diaboliferous creatures, after that their world has been autodestroyed ? The creatures diggers are the vow that a galaxy is dying.

Hyod : The hexapodes clinged to these places of ablazement, are the only that are able to climb, in these fiery blowing ponds. The whrilwindingnesses of fire with the devilishing weeringnesses, are the haughtiness of the clade of combattants. Would the ceroferary angels transform this dagger in the sacred fire?

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