Aï tridactylique VI / The three toed sloth VI

Les pales avioniques du vaisseau fauconnique,dans lequel le traverseur des ciels, Lug, se cramponne à sa place modeste, pour l'heure, tandis que les attaques intrusives pénètrent périmétriquement les terres porteuses d'anneaux de téléportation, cèdent presque à la pression des jets ondiques, jusqu'à être dévier de sa trajectoire. A l'abordage de ces estanques, sur lesquelles une colle ostéoderme, issue du monde du vivant, forment le pont terrestre, suffisamment solide, les jets cryovolcaniques s'y cachaient, derrière les brouillards spectraux, dans le seul but d'éteindre les bruits de ces propulseurs. Soudain, à cause des effets transcérébraux, liés à des attaques psychiques, moultement démontrées par des visiobracelets, qui méphitisent les esprits, le limier, Lug, et des valets technologiques, voient, avec écœurement, mourir un plancher subterrestre, emportant avec lui, des milliers d'une troupe. Le long émoi de Lug n'avait de prévenance d'une telle surreprésentation de l'un des conciliateurs des ciels. Alors, l'éraflure mystique, selon laquelle les seigneurs démoniaques, aux nécroplamicités plus que transtoraxales,se referme, jusqu'à planter là, une flottille. Les pathétiques aéronautes le somment de s'exprimer, face à ces déroulés tragiques des événements.

Lug : Les élus sont, dans ces expurgations du mal, qu'au début. Prends les cœurs remplis de bonté pour guider les peuples, guisés en serfs.

L'un des limiers : Les néo-médiévistes, mais, aux moyenâgeuses méthodes, doivent être les ameneurs des gargouilles, jusqu'à interdire l'accès aux ciels de l'enténèbrement, où, les cœurs noircissent. Dans l'inespérance, il y a toujours de l'espoir.

Lug : L'abîme s'est refermée, là, où, les limaces rampantes, aux antennes extraordinaires contrant les attaques psychiques, qui se sont coltinées ces quinconceries étranges, ont vaincu ces structures complexes, en dédale. Retrouverons, dans la volière géante, des ailes assez fortes, et, fugatiles pour déréserver ces points de jonction, avec les ciels, l'incoiffable sommet de feu. Le temps de l'homme est-il passé ?

L'un des limiers : Pourquoi les oiseaux de feu, tels des flamants banaux, ou même, des centaures marins et  garçants, forment des lignes nébulaires, à travers les paysages ravagés ? 

Tout tombe à pic, lorsque les némésis déclavent les enclavettes, à l'intérieur desquelles les combattants protagoniques sont, à corps défendant, entrain de défendre leurs élus, le hiatus prend fin. L'un des némésis sarcastise.  

L'un des némésis némés: Les derniers, aussi justes soient-ils, ne franchiront pas les quelques temps indemnes. Où sont passés les allégateurs ? Dans les puisards, au fond desquels croupit de l'hydrotherme halocinique, et, halothérapique, le danger amphibique s'éloigne. Son sel est un poison.

The avionical pales of the falconing vessel, in which the crisscrossing one of the skies, Lug, is hanging to his modest place, for the moment, whilst the intrusive attacks are perimetrically penetrating the lands carried of rings of teleportation, are almost yielding to the pressure of the waving jets, till being deviated to its trajectory. Landing these terraces, on which a osteodermical glue, issuing from the world of the living, are forming a terrestrial bridge, enoughly solid, the cryovolcanical jets, were hidden, behind the spectral mists, in order to extinguish noises of these propulsors. Sudden,, because of the transcerebral effects linked to psychical effects, demonstrated by visiobracelets, that are mephitizing the spirits, the sleuth, Lug, and technological valets, are seeing dying a subterrestrial planck, carrying with him, thousands of a troop. The long emotion of Lug has no warning of a such overrepresentation of one of the conciliators of the skies. While the mystical scratchingness, according to which the devious lords, with necroplamiscities, more than transtoraxal, is closing, till avoiding the attack of the fleet. The pathetical aeronautes are summoning up him to express, facing the  tragical unravellingnesses of the events. 

Lug : The chosen ones, are, in these expurgations of the evilness, at the beigining. Take the hearts filled of goodwill for guiding the peoples guised into slaves.

One of the sleuths : The neo-medievists, but, with rustre methods, must be the bringers of the gargoyles, till forbiding the access to the skies of the darkening, where, the hearts are darkening. In the unhopingness, there is always hope.

Lug : The abyss has been reclosed, where, the scrawling worms, with extraordinary antennas thwarting the psychical attacks, have vanquished these complex structures, in dedaluses. Find back, in these giant wingpond, wings enoughly strong and stealthy, for dereserving theces points of junction, with the skies, the unbrushable summit of fire. The time of the mankind has been pasted ?

One of the sleuths : Why the fire birds banal, or even, the outbursting sea centaurs, form nebular lines, thoughout the ravaging landscapes ? 

All sudden, whilst the nemesis are delocking the enclaves, inside which the protagonical combattants are, defending their chosen ones, the hiatus takes end. One of the nemesis is showing sarcasm.

One of the nemesis : The last, as just they are, will not have easiness in the criss crossings. the few times, safe. Where are the allegators ? In the wells, on the bottom of which the halocinical, and, halotherapical hydrothermy, the amphibian danger is now distant. his salt is a poison.

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