Le projectionnisme III / The projectionnism III

Tandis que le clan des renégats amène, après chaque jour fait de petites victoires, à un grand délivrement de ces clans sentencieux, la victorieux de ces batailles contre les démoniaques, qui est l'un des anti-capitulaires, ne se réforme guère à la perte de ces terres aux trépans innombrables. Une couleur de flamme, un fanon, un monde céciteux de ces combattants invisibles, sont des expressions du temps, qui conjuguent les actions de ces bataillons de combat, d'extraction et, surtout, de survitologiques. L'antenne de ces fantassins chevillés à ces terres de désolation s'anime, au flambeau de ce victorieux. La victoire porte la guigne que les invictorieux des autres batailles avoisines, ayant, à la décampe, réussi, tout de même, à renloigner encore pour quelques temps, les armées adversaires, tentent de tout faire pour ne guère regretter leurs avancées. Une avance, certes, mais qui manque de la lumière providentielle des élus pour réexister, l'après confrontation ultimatée. La solidarité apparente de cette lie des peuples ramifiés, sous l'égide d'un protecteur éternel, est une préexistence de cette foi envers ces élus. Alors que les enrouements des terres fêlurées, bouturées ne font que montrer les râles obséquieux des créatures de l'entrefer, le retour auguré par des plus âpres aux combats contre les destructeurs harne les quelques gardiens, s'acharnant, à l'impuissance de faire transiter les quelques méritants. Les méritocrates y provident les quelques jarrettes, dans lesquelles des palimpsestes, à la révèle de théoformicité, de théomorphologie incroyable d'êtres supérieurs, jusqu'à s'attirer la conquête des nymphettes.

Pendant ce temps, où, l'éclosion des fleurs, dont les artistes topiques n'arrivent décidément guère à faire défâner se réserve comme exclusivement, à leurs seuls yeux inquisiteux, dans ces prairies sérinées, grâce aux vents des lointains, par des flûtistes, la fêlure du temps est, désormais, maintenue par des agents crépusculaires, jusqu'alors, minaudiers. Tout irrigue la fin. Dans tous leurs actes de branque, l'écophysiologie de cette nature, se réinventant, jusqu'à loqueteauter par ces gobelins surpris à pouvoir de contenir ce jardin botanique, primordialise ces momentés temps du monde.  L'arboristicité, qui livre le tronc commun des connaissances non négligeables des gobelins, est l'arbre, le plus arroyeux, cachant la forêt. Dans les gloupillières, serpillées, en long et en large, par les gobelins natants, les rubis, en losange, sont roucanés. 

Whereas the clan of the snugglers is bringing, after each day done of little victories, to the great delivering of these sententious clans, the victorious one of these battles against the demoniac ones, that is one of the anti-capitulary one, is not reforming himself to the lose of these lands with countless digging tools. A color of flame, a flag, a world blind of these invisible combattants, are expressions of times, that conjugate the actions of these batallions of combat, of extraction, and, especially, survitological. The antenna of these infantrymens anchored to these lands of desolation is getting animated, to the flame of this victoring one. the victory is jinwxd that the unvictorious of the other neighboured battles, having, succesfully derouted the opponent armies, are attempting whether it takes to do not regret their advances. A advance, indeed, but, that lacks of providential light of chosen ones, for reexisting, the ultimated after confrontation. The appearing solidarity of this ramified peoples, under the aegis of an eternal protector, is a preexistence of this faith towards these chosen ones. Whereas the rollingnesses of these crackles, tipped lands are just showing the rashingnesses of these craetures of the in between of the iron cladded ponds, the return augured by the most fierceless to the combats against the destructors, is clinging on to the few guardians, burstling to the powerlessness to do transite the few meriting ones. The meritocrates are emptying the few jars, in which the scrollingnesses, devoted to the revealing the incredible theoformicity and the the theomorphology of superior beings, till attracting themselves the conquest of the little nymphs.

Between-whiles, where, the eclosion of the flowers, of which the topical artists are not resolving themselves to make died, is reserving as exclusively to their only inquisitor eyes, in these erstyards,, drummed by the musicplayers, the crack of the time is, henceforth, held by crepusculating agents, up to there, timid. Everything irrigates the end. In all their acts of bridging, the ecophysiology of this nature, getting reinventing itself, till making lockaded it, by these goblins surprized to do some wollings of containing this botanical garden, is primordializing these momented times of the world. The arboristicity, that surrends the common trunk of not neglictable  knowledges of the goblins, is the most arraying tree, hiding the forest. In the weltered chasms, cleansed by the swimming goblins  the rubis, in lozengue, are going to be pillated.

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