Le projectionnisme VII / The projectionnism VII

Tout à coup, dans la lumière des statues grandioses, sur lesquelles s'éclairent des visages ravagés par l'émotion, comme annonciateurs d'un monde non avenant, le moins du monde affecté par la disparition de cette sacralité, qui les avaient tenus unis, contre les ténèbres, y résout, tant qu'il est l'éléfique et l'élevé, tous les problèmes de ces soupirails, où, jalouse un pouvoir sombre, aussi noir, que la terre a eu à porter, dans ses entrailles, qui ne peut être, au risque de décimer des peuplades, enlevé de là. C'est, ainsi, que la cité mystérieuse flottante se présente, aux yeux abasourdinés de ces elfes, quelque peu, paillards. De fait, les chambouteurs, tels des fagottiers, et des baratteurs, y suintent la peur d'être avalé par le vide. Toutefois, empacteux, l'elfe songeur, qui y trémole, dans ces dents de scie, des ligots d'armes, aux étincellements curieuses, pour ne guère dire, spéciales, dans ces encaissements, où, il y a un écho résonant en lui comme un appel enivrant ses sens, y consigne sa parole, qui devra, ainsi soit-il, maintenir une longueur suffisante longue pour inspirer quelconque pourfendeurs.

L'un des elfes, pratiquement chloroformisé : Se lève l'infinie horreur, dans ces lointaines choses, que la représentation symbolique, qui est néante, ne peut être dépictée par une main ordinaire. Les vents extrasouffleurs atteignent le corps et l'esprit, qui se désassemblent, et, ne s'assemblent plus. Les vexiles n'existent plus, jusqu'à laisser qu'une distendue peau nue. Les créatures invectives, introverties sont souveraines de ces pans horrifiques.

Tout à coup, des souverains des ténèbres gênent le passage des nouvelles, qui s'obscurcit au fur et à mesure qu'il tend la main. A la suite de quoi, une voix endiluée, sortie de nulle part ailleurs, ayant un arbre au contrôle supérieur que la mère nature a donné, d'un atrié, enfin, commence à clairsemer, plus qu'à l'habitude ce moment, voué à l'oubli, se persiste, dans l'oblivion. Le quasi usurié, qui n'a vie que pour ce devoir l'appelant à agir, est, dans cette guerre d'attrition, comme un cheval infatigable. L'elfe se démanche jusqu'à soupeser ces pesons, qui apparaissent comme pour peser les âmes, à faire transvivoter, jusqu'à aphantasier, à son tour. L'esprit fortifié à faire barrage aux ombres, par les sommitalités, existant, dans la nature, n'est que conatif, et sonatif, à ce moment psychique. Soudain, l'image de lui garde la main lourde, qui déferme son esprit à s'ouvrir à l'ailleurs.

All of a sudden, in the light shedded in the great statues, on which faces ravaged by the emotion are lighted up, as auguring of not welcoming world, the less of the world affected by the disappearing of this sacredness, that had held them united, against the darknesses, is resolving, as he is elfish and risen, all the problems of these blowing ponds, where jealouse a dark power, as black, as the earth had had carried in his wombs, that can not be removed, at risk of decimating peoples. It is then that the mysterious floating city is exhibing, to the contempted eyes of these elves, somewhat, rude. Indeed, the shamblers, such as shelterers and shrouders, are thrilled by the fear of being swallowed by the void. However, packing, the thoughtful elf that is pulling out from these accidental reliefs, knottednesses of weapons, with curious sparklings, for not saying special, in these quagmires, where, there is an echo resonating into him as a call for enhacing his senses, is consignting, on it, his speech, that has to maintain, a length enoughly long for inspiring some slayers.

One of the elves, barely chloroformed : The infinte horror is raising, in these farrest tihngs, that the symbolical representation, that is empty, can not be depicted by an ordinary hand. The extrablowing winds reach the body and the spirit, that are disassembled, and, are not assembled any longer. The vexiles does not exist, till letting a streched naked skin. The invective and introverted creatures are sovereing of these horrifical pans.

All of a sudden, some lords of the darknesses are disturbing the pathway of the news, that darkens as far as he holds the hand. Folowing that, a diluated voice, coming from nowhere, having a tree to the superior control that the mother earth has given, of the atried ones, finally, is starting to unworsening the moment, where the duty calls him to act, is getting peristant, in the oblivion. The quasi usued, that has just life for that this duty calling to act, is, in this war of attrition, as a unfatigable horse. The elf is showing his forearms, till poising these portative weighing scales, that appear as for weighing the souls, to make passed through the souls, till aphantasizing, by turns. The spirit fortified to standing still against the shadows, by the somitalities existing, thoughtout the nature, is just conative, and sonative at this psychical moment. The image of himself is keeping the heavy hand, that declose his spirit to get opened to the elsewhere.

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