La morphogenèse IV / The morphogenesis IV

Tout se déconstruit, y compris la peur, comme pour revêtir l'habit démoniaque, leur étant destiné, autour de cette énergie noire. L'inertie d'actions rendrait malade n'importe quel larron. Face à l'inhospitalité de ces avens, dans lesquels des gnomes, représentant, sans doute, ce dernier espoir de lorgner les portes stellaires, au temps des lumières, s'étripaillent, entre eux,  le cerbère, jappant trois fois plus forts, jusqu'à hystériser les quelques démones lépreuses, y flaire l'odeur florale, qui embaume les forêts cinéraires. Soudain, la chance sourit au gnome pétaudant jusque-là, y ramasse une pierre incendiaire, de cet empierrement obscur, comme s'il s’interprétait, sa dernière volonté. Ainsi qu'il comprend que les obéissances de cet matière informelle, et, informe sont du à une aptitude parapsychique, qu'il interpréte comme une démence sénile. Pendant que les démentiels instants, se détachant de ces toupières, aux tourbillonnements incessants, font réenvisager d'emprunter l'autre issue, dans laquelle les chenils de chiens des enfers se métamorphoseraient, en un axe du mal, les aboiements sonomorphosants y dérétrécissent des urètrales portes, engoncées, de manière, si, mystérieuses, que, même des ministres du mal ne peuvent dégonder. Seuls les empalés peuvent lire, avec leurs yeux vitreux, les inscriptions endorurées. Aussitôt, les larrons, aux cris gutturaux déchirants, tels des douroucoulis, qui percent le mur du son, en hoppant trouver une destination heureuse, dans les terres d'ailleurs, à travers lesquels les organistes sont entrain d'orchestrer le retour des seigneurs du mal, dans les entrailles des enfers. Faisant unité, l'un des larrons déclame, avant d'être témoin du jamais survenu.

L'un des larrons : Nulle vie a été fabriqué, sculpté, composé pour cette fin d'étape du vivant existant. De lumière et de métal, l'exceptive raison, pour laquelle il y a des étoiles, en constellation, et, des météorites, en pluie galactique, ne fait que subsister. Et, le grand interprète de la vie rebalbutie. Voilà qu'un méristème, tel un neurone floral, est prêt à rebourgeonner.

Pendant ce temps, dans les donjons, à l'intérieur desquels les archères se prononcent sur le destin de tous ces descendeurs, puisque la mésosphère, qui y est saturée d'innombrables vaisseaux arrachés du sol subterrestre, et sismisé, en plein effondrement, montre, encore, l'inévasion guérillière de ces rébellions, les technodéfenseurs, qui protoplanétarisent une planète massive et habitable, grâce à leurs astrophotographes, lancés à la quête de la vie, mènent, tambours battants, ces contingences, malgré d'autant de transformations de bataillons, en des créatures infériorisées. C'est, ainsi, que les monochromatisés, et, autolapsés sous-lieux, qui sont, à peine, intriqués maîtrisamment, jusqu'à surexploiter l'énergie électrothermique, que les complications commencent.

Everything is getting mopped down, including the fear, as for wearing the devious habit, destinated for them, all around this black energy. The inertia of actions would render sick any brats. Facing the unhospitality of these holes, inside which the gnoms, representing, without a doubt, this last hope of lingering about the stellar gates, at the times of the lights, are trucidating themselves, the cerbere, yerking out three times louder, till hysterizing the few lerpous demones, is smelling out the floral odor, that embalms the cinerary forests. Sudden, the chance is smelling to the gnom bratting up to there, us grabbing an incendiary stone, of this dark stoning, as if it was interpretation of a last will. Henceforth, he is understanding that the obeyingnesses of this informal, and, informed matter, are owed to a parapsychical hability, that he interpretates as the madness. Whereas the demential moments, detached off these swirling ponds, with unceasing whirlwinds, are making reenvisionned of taking another issue, in which the chenils of hellhounds would get metamorphozed, into an axis of evilness, the sonomorphosis' yerkings are denarrowing the uretral gates, stuck in a so mysterious way, that the minstrels of the evilness can not deblockade. Only the gored ones can read, with thei white eyes, the golden inscriptions. As soon as the brats, with guttural screams, such as monkeys, that are piercing the wall of sound, in hopping to find a happy destination, in the lands of the elsewhere, through which the organists are going to orchestrate the return of the evillords, in the wombs of the hellworlds. Doing unity, one of the brats is declaiming, before being witness of the never happened.

One of the brats. None life has been fabricated, sculpted, composed for this end of stage. Of light and metal, the exceptive reason, for which there is stars, in constellation, and, meteorites, in galactical rain, is making subsisted. And, the great interpretating ones of the life is rebeginning. There, that a meristeme, such as a floral neuron, is ready to reblossom up.

Whereas, in the dungeons, inside which the arking windows are pronunciating about the fate of all these descending ones, because the mesosphere, that is saturated of countless of vessels extirpated from the subterrestrial and quaking soil, in full collapsing, is showing again the warmongering unevasion of the revolts, the technodefencers, that are protoplanetarizing a massive and inhabitatable planet, thanks to astrophotographers, launched to the quest fot life, are leading, with beating drummings, these contingencies, in spite of so many transformations of batallions, into inferiorized creatures. it is then, that these monochromatized, and, autolapsed subplaces, are barely intricated, with controledness, till overexploiting the electrothermical energy,.  that the complications are starting.

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