Le trognon cosmique VII / The cosmic stalk VII

Crocus : Comment de tels chefaillons ont réussi, là où, échouaient les révélateurs ? Les pirates de l'espace sont, sûrement, à bord des vaisseaux amiraux, lorsque ceux des dévots ne décollent pas. Les émérites doivent polyphoniquement faire entendre leurs voix.

Antilope : Il y a, certainement, une raison à cela. Quelle ostentation auraient-ils retenu ?

Crocus : Les grosses étoiles doivent veiller sur eux, lors de ce retour grandiose, que les siècles de pluies d'astéroïdes n'auraient restitué, jamais. Les poussières astronomiques viennent jusque-là, et, les céphérides scintillent, par intervalle de temps.

Antilope : Après les ceintures d'astéroïdes, le voyage capsulaire des accomplis serait accompagné par les géminides. Les fléaux léviés se repositionnent sur cette trajectoire, qui emportent même, les demains.  Fléaux et forces s'affronteront.

Crocus : Quiconque, seulement, imbécile, pourra fuir la coalescence de pouvoir maléfique. Il ne faudra qu'attendre que les ombres irrésilieuses de voir, littéralement, pousser des châteaux maléfiques, se déploient dans les mitres géologiques, là, où, ça brumaque. Les forces exultatrices reforment, pour le meilleur, et, le pire, des rangs, comme si les guerres connaissent des tournants, que les observateurs n'aient eu, suffisamment, l’œil. L'univers regarde, et, quel œil pourrait suffire. Qui portera le chapeau pour ces types de résurgences des ombres illéviteuses ?

Tandis que les cascades de questionnements dévalent jusqu'aux deux non guère impassifs et, surtout, non évasifs, gardiens de l'observatoire de la lumière, aux sceaux de lumière, ainsi, planétarié, comme porté par un pilier, qui y astiquent, avec double d'effort, leur télescopes, en se donnant peu de temps, après avoir, méticuleusement, repéré les embarcations spationautiques, similaires à des objets dérivants, dans l'espace, la force de cinq destinées, transcendant une partie de l'univers, est plus forte que tout. La transition, telle une ondée embolique, et, propagatrice, en un écho de l'univers, ébranle toutes les étoiles phares, sur son passage. En toute beauté, les gardiens des constellations d'étoiles étiolent le feu cosmique. Dévoués à sauver le reste de leurs peuples, à reconquérir, la force des étoiles, rémane, puis, s'impose, en dernier, face à cette autorité du temps.  Or, les créatures planétaires, quant à elles, qui pilent, fantomatiquement sur ces vagabondes planètes, y provoquent des désorientations de ces invictorieux, à travers le temps, qui sont, de guingois, sont, absolument, catatoniques, sur ces planètes, en décrépitude. Sardoniquement, les ricanements des vovoïdes y dévoilent des mondes liés par les malédictions. 

Crocus : How the little chiefs have succeeded there, where, the revealers have failed ? The pirates of the space have surely boarded the amiral vessels, while the ones of the devotees do not soar up. The deserving ones must polyphonically let their voices heard.

Antelope : There is surely a reason for that. Which would have the ostentation held ?

Crocus : The big stars must veil upon them, during this great return, that the centuries of rains of asteroids, have never ever restituted. The astronimical dusts come, right, up to there, and, the cepherids are scintillating, by interval of times. 

Antelope : After the belts of asteroids, the capsular voyage would be accompanied by the geminides. The scourges, leviated, are repositionning on this trajectory, that windsweeps the  tomorrows. Scourges and forces will confront. 

Crocus : Whoever, lonely, dumb, will run away from the coalescence of malefic power. It will need to wat that the shadows unresilient to see liteerally grown malefic strongholds, are deploying in the geologic hats, where, that is misting. The exultating forces are reforming, for the good and the best, the ranks, as if the wars ackonledge turns, that the observers had had, enoughly, the eye. The universe watches, and, the which eye would suffice. Who will be accussed of these types of resurgences of uprising shadows ? 

Whereas the waterfalls of questionnings are descending to the both not impassive and, especially not evading guardians of the obseratory of the light, with the emblems of light, hence, in guise of planet, as beared by a pallir, who are cleansing, with double effort, their telescopes, are giving themselves times, after having, meticulously, spotted the spationautical embarcations, similar to the drifting objects, in the space, the force of five destinies, transcending a part of the universe, is stronger than everything. The transition, such a spreading wave, like an echo of the universe, is shaking all the stars, on its path. In all beauty, the guardians of the constellations of stars, are stirring up the cosmic fire. Defated to save the rest of their peoples, to be reconquered, the force of the stars is remanating, then, is getting imposed, face the authority of the times. Henceforth, the planetary creatures, as for them, that are ghostly being reexaminated, on these planets vagabonds, are provoking some sismometrical disorientations of these unvictorious, through the times, that are messy, are absolutely catatonical, on these decaying planets. Sardonically, the laughings of the vovoids are disclosing worlds linked by the curses.

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