Olibrius I / Olibrius I

Dragoule : Les vases canopes, étaphiques, desquels les voix des morts résident comme éternellement, sont-elles prêtes ?

L'un des lutins sacrificateurs : Le panégyrisme y empouponne les quelques descendeurs. Des trouvères, qui maquignonnent, s'y cachent, jusqu'à ces grottes quartziennes, dans lesquels des pierres piézo-électriques baignent dans des cathodes et anodes. Quelque chose se trame, s'affirme, dans la nuit des morts ?

L'un des taverniers, choyant un eucaryote : Les choupailles de lutins facétieux, et, quasi ubiquois, mettent en pagaille les moindres déplacements. Les cénotaphes, qui ont été mis en place, dans l'holoférique grotte, dans laquelle le clan des vovoïdes sont entrain de résoudre, électrolytiquement, jusqu'au bout, jusqu'où les origines des trous vortex s'avouent. L'acerberie des prenants tous les dangers, à ce qu'il est, à moitié, constaté, se resserre sur Dragoule, seigneur des ténèbres.

Dragoule : Dites moi, quels sont les états des lieux ?

Balthazar : Les bruitements, les scories, et, les dégâts ont qu'une écume, celle des nymphes démoniaques. Depuis leurs guinguettes, et leurs cabanons maussants, les carabossantes sorcières éventent, par dessus tout, le mal, qui forcit derrière le dos de ces créants des bestialeries. 

Dragoule : Ce serait, bien, le cadet de ces soucis. Le tout-puissamment embrasé par l'énergie noire est tout feu, tout flamme. La relève et les ré-élus, de tous les camps, supposés, poliocertiques se gavent de la fluve odoriférique de cette bataille fantômale, entre les deux pires espèces du genre.

L'un des confesseurs : Le bilan des clercs, contre-attaqueurs, est maigrelet. Les esprits embourrés par les fracas de la bataille épouvantable, cassent l'unité des révélateurs. Sous les géôlées de ces commanditeurs, les goules, issus des goulags, sont, en conflit immortel, avec des loups spectres, aux piques acérées, et, arrêtées sur le dos, tels des subfossiles, sortis de ces suborifiques antres, jusqu'à devenir les épiques représentations de la mort. L'ensemencement commence.

Dragoule : Les psychokinésistes  revendiquent l'appui des géôliers, tenant, avec des ferrailles incassables, ces crissantes et remuatives créatures, et, vindiquent une hissée des derniers goules monolithes. Dommagés d'une peine incompensable, les filleuls de ces parrainages de la mort, où, s'incompatisent des chemins de destinées, rejoignent, de force, les camps bousillés, entretemps, le temps qu'ils attendent, que les berges escarpées s'anarchisant jusque-là, sont repassées par des vaisseaux, les transformations terraciques seraient semées, par ces ensemenceurs de la mort.

Draghoul : Do the cenotaphes, in which the voices of the death resides as eternally, ready ?

One of the sacrificating sprites : The panegyristm is, on it, blemishing the few descending ones. Some minstrels, that are making up things, are hiding, till going inside these quartz's grottoes, in which some piezo-électrical stones, are bathed in cathodes and anodes. Something is afoot, is getting affirmed in the night of the death ?

One of the tavern's owners, caressing an eucaryote : The facetious and mighty sprites are putting in disorder the slightest deplacements. The cenotaphes, that have been putten in holoferous grotto, in which the clan of the vovoids are going to resolve, right, up to there, till the origins of the vortexal holes are getting avowed. The roughy pond of the takers of all dangers, to what it is halvingly constated, is getting reserried on Draghoul, lord of the darknesses.

Draghoul : Tell me, what is the bilan ?

Balthazar : The noisings, the scories, and, the damages, have a same foam, that is originated of the devious nymphes. From their restorative ponds, and, their accursed caban, the bumped weirdingly wtichesses are speaking forth, above all, the evilnes, that is forcing , behind the back of these creating ones of the beasties.

Draghoul : It would be the least of his chick weeds. The almightiness embraced by the black energy, is all fire, all flame. The rechosen ones, from all the camps, supposed, polioecertical, are eating the embalmed river of this ghost battle, between the both worst species of all kind. 

One of the confessors : The bilan of the clerks, counter-attackers, is minced. The spirits fulled by the splittings of the horrible battle, are breaking the unity of the revealers. Under the jailings of these commanditers, the ghouls, issuing from the goulags, are in non mortal conflict, with the spectrum' wolves, with acerated and arrested pikes, such as subfossils, coming out of these suborifical dens, till becoming the epic representations of the death.  The sowingness starts.

Draghoul : The psychokinesists revendicate the push of the jailed ones, holding, with unbreajable shackles, these crissing and removing creatures, and, vindicate a heaving of last monolithe ghouls,. Damaged of an uncompensable pain, the sons of these filiation of the death, where, the path of the destinies are getting uncompatized, are rejoining, of force, the exterminated camps, between-whules, the time that they are aaiting, that the yardangs getting shown like anarchy, are steamed by vessels, the transformations of the terraces would be sowen be the seeders of the death.

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