Olibrius IV / Olibrius IV

Tandis que les diurnes mercenaires, d'une guilde rebelle, ricanant sardoniquement, à l'approche de ces repères fourmillant de myrmidons scabreux, procèderaient, bien évidemment, vers cette issue, à laquelle tous aspirent, si les circonstances leur permettaient d'agir, les frontières de l'encouragement, sur lesquelles la plupart des démonosophiques, qui agitent, jusqu'à perdre le serein de ces moments languissants, le trouble consuspicieux, à l'intérieur de ces mares, où, rivent des volutes noires, sont l'enfer de ces agents malfaiteurs. A peine élités, le bataillon d'assaut, embarricadé, derrière des guérites, y digue, après avoir passés des gués sablonneux, ces dikes, et, ces berges escarpées, dans lesquels des détachés des armées maléfiques y forment un creuset. L'expédition excavatoire tourne mal dès que des sentinelles, fricandant n'importe quel engin de téléportation, provoque l'hypoxie de ces quelques mercenaires. Au contrepoint, les mercenaires introspectifs, ayant eus, maintes et maintes fois, l'expérience immersives de la mort de planètes, jusqu'à y embrasser le médaillon de voyage, à travers ces planètes condamnées, en rappel au sauveur éternel, y pulsent zatamment, afin d'y provoquer une hémorragie, au sein de cette armée dense, et, qui, vraisemblablement, aurait une autorité sur le temps. Malgré que l'anti-maléfice a de l'existence, dans toutes leurs actions, comme si un ange-gardien, d'une armée céleste, donne à la veillance, son accord tutélique sur eux, les retranchés dans les arrière-bases contre-attaquables, dont les dévoués à cette cause, qui y abhorrent les trous des ténèbres, lientent le ciel de cette armée fantasmagorisée, de célestriers, s'effacent, du registre des clercs, lorsque le dilemme se propose à eux. Pendant que les supradémons, mortiant, là, montent, erectamment, un front moribond, tout le long, signé comme une cicatrice béante, duquel les armées contre-annihilatrices lèguent des ruines aux pathétiques combattants des mondes de l'entre-deux, comme si, dans un horizon d'avenir, à l'intérieur duquel les légateurs de part et d'autres, y dessinent les auras des releveurs de cette situation apocalyptique, le hiatus, au cours duquel les explorateurs, issus de bataillons d'exploration, y exploraient l'espoir, ailleurs, jusqu'à se recentrer sur leur lumières intérieures, qui se connectent aux cieux, est, encore, le seule répit, qui vit, qu'ils ne souhaitent, comme à tout jamais, ne jamais laisser prendre fin, devant le déchaînement déferlatoire. 

Dans l'immédiat de ceux, qui sont sur le chemin retour sur les terres, qui sont, toutes, encore, des royaumes de vie, qui restent, en vie, dans les ornières de ces mondes fantastiques, où, l'intraévolution est vécue comme bénédiction, les réincarnants en une multitude de vies manichéennes, qui n'ont guère, dans leur côté, le monde de l'attrape-rèves, y massent des assemblées, pour faire fléchir ces croyant durs comme fer, au mal puissant. Une trinité y subsiste, à travers ces créatures anecdotières, inhérentes aux changements appelés. Dans ces bains des mondes terrifiques, puis, des mares balnéologiques, où, la frétillance de ces sortes de créatures mirisées, telles des trognes, plongeant, avec des queue-pagaies, dans ces grottes holofériques, appelées  des tris, plus que ébourrifants, y huilent oléagineusement ces poils des loupiots endormis, sont comme bulles d'oxygène dans l'orage.   

Whereas the half hollowed mercenaries from a rebel guild, sardonically laughing, close to these dens swarming of myrmidons, would proceed, eventually, towards this issue, at which all aspire, if the circumstances allowed them to act up, the frontiers of the encouragingness, on which the most of the demonosophical ones, that are agitating, till losing the serene of these linguering moments, the consuspicious trouble, inside of these lakes, where, black volutes are drifting, are the hellgate of these devilishing agents. Barely first named, the bataillon of assault, barracked, behind warmongering ponds, is forming sandbanks, after having passed through the muddy barrier ponds, these dykes, and, these yardangs, in which detached off ones of the malefic armies form a melting pot. The excavating expedition is turning badly, as soon as sentrys, frying out any engine of teleportation, are provoking the hypoxy of these few mercenaries. At the counterpoint, the introspective mercenaries, having had, countless times, the immersive experience of the death of planets, till kissing the medaillon of the voyage, throughout the condemned planets, in reminding of the eternal saviour, are pulsing, with laser, in order to provoke a bleedingness, within this dense army, that would really have an authority upon the times. In spite of the anti-malefice has of the existence, in all of their actions, as if a guardian angel, from a ceslestial army, gives to the veiling, his tutelical agreement upon them, the retranched ones in the counterattackable back bases, of which the devoted ones to this cause, that are abhorrating, on it, the holes of darknesses, are linking the sky of this fantasmagorical army, are wiping themself out, from the register of the clerks, whilst the dilemna is gettign proposed to them. Whereas the suprademons are ercting a moribund front, all along, signed as a empty scare, which the counter-annihilating armies are rendering just ruins to the pathetic combattants of the world caught in between, as if, in an horizon of future, inside which the legating ones from part and the other, are drawing the auras of the rehoistering ones of this apocalyptical situation, the hiatus, during which the explorating ones, issuing from the battallions of exploration would explore the hope, elsewhere, till recenterizing themselves on the inner lights, that are connecting to the heavens, is, again, the only respite, that lives, that they do not wish, as for the nevermore, never ever letting end, before the deferlating going off rampage.

In the immediate of the ones, that are returning, in the eathen worlds, realm of life, in the vicinities of these eery worlds, where, the evolution is lived as a blessing, the reimbodying ones into a multitude of manichean lifes, are have not, on their side, the world of dreamcatch, are teaming assemblies, for making fletched these believers believeing hard as iron to the powerful evil. A trinity subsits, on it, throught these anecdotal creatures, inherent ot the called changing. In these balneological swarms, where, the quiveringnesses of these kinds of mirifical creatures, such as runty ones, plunging with paddling tail, in these holoferous grottoes, in these trys, more than astounishing, are oiling oleaginously these haris of slept wolfy ones, is like bubbles of oxygens in dark storms. 

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