Olibrius VII / Olibrius VII

Les symbiotiques créatures semblent vivre, en parfaite cohésion, à proximité de ces fabacées impressionnantes. Tels des mouchards, les syrphiques mouches épieuses, et, spadassiennes, aux dards éperonneux, en accointance avec des harpies vengeresses,  y picolent, avec des pompes soupirantes, jusqu'à s'enivrer du nectar des narcisses. Dans ces mondes, jamais, inessoufflés, en reconstruction, reconstruits à partir de ces cires malléables, par des créatures ouvrières, les plantes dioïques, et, les planturesques dionées, aux sépales dacticiennes, qui tactilent les quelques pièces de métaux précieux, numismatiques, de collectionneurs, ayant eu la chance du pendu, y orchestrent les bécasses, et, les autres oiseaux chanteurs, qui reprennent, en chœur, le refrain dilé. La plateresque des mots ne semblent jamais atteindre les floraisons de ces hauteurs végétaliques. Alors que les argonautes se frappent contre les inhonorables progénitures du mal, les dryades, quelque peu, charmés, par les charmes de ces deutéragonistes, loin de leurs andromèdes, y avaient, lors d'échanges subtils, et, inouïs de grâce, réceptaclé, par des sépales de calicées, le safran, aux pistils rougeâtres, et teinturantes, qui y recèlerait un monde aux émois, le guide safranothérapique semble être la lumière de ces incrusteurs. L'attirance de cette lumière floralistique, et, fluettique n'attire que les bellâtrisés par le temps, mais, des invasivités. A l'image de ces mollusques  empiquettés, tels des argonautes, malaqués, et, arborant les contractions et les contractures des trous disparaissants, l'attirie de ces argonautes, en lutte, contre ces gigantomorphes, est plus qu'inimaginable.  Cependant, l'un des estroqués par ces mondes de recel, y estrope, avec une arme coulissante, cachée dans les rochers témoins, l'une des butineuses, fourrées dans ces embutinements. Cocasse, le trognoleux, qui y récolte, après que des sacs glandulaires de ces étrangetés agressives, soient explosés, le produit de l'hémodialyse de ces troupes vampirisées.

L'un des trognes : Ceci a l'air totalement différent de l'hémolymphe. L'unihémisphère de ces harpies, ne dormant que sur un œil, montre qu'ils sont issus d'un ciel sauveur. Il n'y a plus à rosser, ici. Après des gouffres et horreurs, nous pistillons, comme la célèbre pourfendaison, à la renommée des vulvées. Que provient de la providence, à part des brutalités d'alents.

Un grognon, aux tricornus casques : Il s'y est gagné une volonté d'aller, toujours, plus loin. il y a encore des angiospermes, là dedans. De plus, dans l'arrêtoir, la diapause de ces espèces invasives est un souffle des mondes soufferts, qui nous reconnaissent. Un brin d'espoir ne doit être déraciné, de là, lorsque des mouches gigantesques salsent comme sonophiliques. 

L'un des trognes : A ne pas perdre garde de ce trognon cosmique, au long, au large, en haut et an bas duquel les cissailleuses y cissent les contours de ce monde atemporel. 

The symbiotic creatures are seeming to live, in perfect cohesion, close to the impressive plants. Such as spies, the hoverflying lognating flying and spadassian beetles, with dagging weapons,, with acquaintance with revengeful harpies, are drinking, without moderation, with soupiring pumps, till intoxicating themselves of nectar of narcisses. In these workshipping worlds, in reconstruction, rebuilt from these moulding waxes, by craftmanship's creatures, the dioical plants, and, the dioanaeas' living plants, with dacticial sepales, that are touching slightly the few pieces of precious metals, numismatical, of collectionners, having had the chance of the hung ones, are orchestrating, on it, the birdies, and, the other chanting birds, that are chanting, altogether, the dealt refrain. The morosity of the words do seem, never ever, to reach the blosomingnesses of these green heights. Whereas the argonautes are hitting against the unhonourable progenees of the evil, the dryads, somewhat, charmed by the charms of these deuteragonists, far away from their andromedes, had, on it, during the subtil exchanges, inouished of grace, recollected, by foliages of flowerishing items, the purple flower, with reddishing and tainting powers, that would receal a world to emotions, the safranotherapical guide is seeming to be the light of these incrustating ones. The attirance of this floralistical light is not attracting uniquely the beautifulled ones, by the times, but, by the invadednesses. All of a sudden, at the image of the peaked mollusked ones, such as argonautes, unshimmered, and, wearing the contractions of the disappearing holes, the arsenal of these argonautes, in struggle, against these gigantomorphical ones, is more than unthinkable. However, one of the sliders sided by the worlds of receal, who is, in a fatal way, hitting, with a sliding weapon, hidden in the witnessing rocks, one of the pumpins beetles, back in these soakingnesses. Sly, the runty ones, who is, on it, recollecting, after that glandulary bags of these agressive oddities, are explosed, the substance of the hemodialysis of these vampired troops.

One of the runty ones : This is looking diffrent of the hemolymphe. The unihemishpere of these harpies, slleping with an eye, shows that they are issuing from the saving sky. There is no more faintedness, there. After chasms and horrors, we pathing, as the famous slayedness, at the reknown of the vulving ponds. What comes from the providence, except the brutal arrests ?

A grousing ones, with trihorned helmets : It has been won a will of going further. There is still angiospermes, overthere. Furthermore, in the arresting pond, the diapause of these invaded species is a breath of the suffered worlds, that recognize us. A hint for hope must not be unrooted, from there, whilst a gigantic flying beeltes are salsing as sonophilical.

One of the runty ones : We must keep out this cosmic stall, along, large, on the top, and, on the bottom of which the scissoring ones are scissoring the forms of this atemporal world.

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