La civette IV / The scent IV

Après l'engourdissement de la situation, dans laquelle les gorgons nomades s'étaient enfermés, jusqu'à admirer l'intérieur, les tréfonds des méandres, au sein desquels de l'électroluminescence jaillit, de manière stroboscopique, le saurien démoniaque, Moloch, et une horde démoniaque, qui possèdent des organes sensoriels, afin d'y capter les moindres sources d'énergie, se dressent comme les principaux opposants. Les instants de furie ne peuvent être contenus, lorsque les éclairs expulsifs réduisent les chances de ces gorgons lambourdeux, comme hésitant sur ces mésas, qui infirment des voyages interspatiaux. Les moresques créatures s'en étaient données, à cœur joie, lorsqu'il s'agit d'anhydrer l'hydre gouffie de plusieurs têtes tueuses, plus qu'étrange. Tandis que les giboulements des cryokinésistes, toujours remplis d'espoir, et, d'un potentiel non négligeable de résolution de conflit, ne semblent jamais atteindre, suffisamment, l'intérieur interdit de ces terres achoppées, le smog, l'incarnation des souhaits de ces salamandres coriaçants, quant à lui, qui parvient à fuir au travers tous érigements, recouvre, jusqu'à tapisser entièrement ces dômes de fer, qui sarme, jusqu'à redessiner l'horizon. L'émotion est de mise, lorsque les gorgons entièrent, solennellement, les derniers combats, pour sauvegarder les pierres d'ambre, issue de résines ancestrales. Pendant cela, ils rouleautent des rouleaux de sables piétineurs. Néanmoins, l'ébouriffant gorgon macèreux, à la trombine stupéfiante, et, un peu, bré pour ces affaiblisseurs, qui témoigne des arrièrantes, et, atterrantes manœuvres des roupés-là, réveille l'éclat ambrant des pierres de protection, par photocatalyse. Il balise un monde, tout à fait, prêt à recevoir, sur ses terres ceinturées, ses ennemis jurés. Les récifs, plus qu'élevés, en hauteur, s'expriment, dans le vide, tout comme, dans le plein d'actions. Les géoconfluences ont des lieux de prédilection, qui serrent de cadre moribond. A bout d'élan, après avoir grabugeonné, le gorgon topissime, qui  limule les reliefs inarpentables, et, indomptables, pour avoir causé l'accidentation mortelle,  se prend dans les pattes, l'appendice caudal élapiforme, jusqu'à tomber dans les gisements de wullénites. Sur ce, la circonspectation est entière.

After the stubbingness of the situation, in which the nomad gorgons were cloistered, till admiring the inside, the bottoms of the meanders, within which the electroluminescence gushes, in stroboscopical way, the devious saurian, Moloch, and, a demoniacal horde, that are possessing sensorial organs, in order to capturing the slightest sources of energy, are standingstill as the principal opposing ones. The instants of fury can not contained, whilst the expulsive lightnings are reducing the chances of these shambly gorgons, as hesitating on these mesas , that are infirming interspatial voyages. The moresque creatures were heartening themselves up, whilst it is about to anhydrate the hydra full of several killing heads, more than strange. Whereas the icyballings of the cryokinesists, always, full of hope, and, of a not neglicted potential of resolution of conflict, do never ever seem, enoughly, the forbidden inside of these choped lands, the smog, the embodingness of the wishes of these headstrong salamanders, as for them, that are parvening to run through all buildingnesses, is recovering up, till carpeting wholly these domes of iron, that are erecting, till redrawing the horizon. The emotion is on, whilst the gorgons are solemnly wholling, the last combats,  for savving the stones of amber, issuing from ancestral saps. During that, it rolls over, these swooshing rolls of crushing sands. Nevertheless, the macerating gorgon, with the stupefying mug, and, a little bit, jinxed by these weakeners, who is the witness of the disputable maneuverings of the sleeping over ones, is re-awakening the unstupidying sparkle of the stones of protection, by photocatalyse. He is beaconing a world, especially, ready to receive, on his belted lands,  his sworn opponents. The elevated shores, reaching an immeasurable height, are getting expressed, in the void, as in the unemptiness of actions. The geoconfluences have places of predilection, that use of deathly crepancy. At the end of his dash, after having caused trouble, the notchy gorgon, who is razoring the untameable reliefs,  for haivng caused the mortal accidentation, is taking on his feet, the psychic caudal appendice, till falling on to the deposits of wullenites. On this, the cirsconspectation is whole. 

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