Le règne des pierres de pouvoir III / The reign of the powerstones III

Tandis que la terreur, sévissant sur cette partie préservée de la forêt des arbres géants, quelque peu, souillé par le sang, ravive ces souvenirs lointains de l'effroyable guerre universelle, les progénitures innocentes issues de l'illustre créature des ténébres, telles qu'elles sont, soudainement, indomptables, endeuillent cet espoir vain auquel les combattants des ciels s'étaient irrémédiablement accrochés jusqu'au dernier moment, jusqu'à leurs derniers souffles. Les vociférations angoissantes de ces monstruosités tyrannisant les cœurs braves de ces combattants des ciels, s'accrochant, jusqu'à saigner des mains, aux racines géantes de ces terres, jadis, généreuses, lorsqu'elles éclatent bruyamment, à travers la volière géante, provoquent des soulèvements de cœurs. Les cœurs fendus, ces mêmes combattants des ciels, qui observent impuissamment l'apparent éternel bouclier naturel de la volière géante, protégée par des racines géantes durant un règne millénaire, se fendre, sous leurs yeux apeurés, ne cèdent aucune terre.    

Pendant que la terreur grandit inexorablement sur les terres d'entre deux, les terres perchées dans les ciels, sur lesquelles des combattants des ciels issus de la congrégation des ciels ont érigé incroyablement, en ces dures moments, un nouveau refuge pour l'humanité en reconstituant, avec le consentement de la lumière, un bastion, sont encore épargnées, jusqu'ici. A cet instant de panique où la nuit grandissante couvrant, les unes après les autres, ces contrées proches et lointaines de la terre promise, obscurcit l'âme de ces combattants perdus, les archanges songeurs, aux visages à la fois inquiets et pensifs, ouvrant consciencieusement, sous l'égide des dieux des cieux, les portes insolées du royaume céleste à ces hommes, découvrent l'ineffable vérité à propos de l'évolution de la guerre. Mais, les écueils insurmontables des hommes, une fois, surmontés par ces songeurs espiègles, cette allégorie fantastique, mettant en scène ces beaux parleurs et ces apparents vociférateurs, révèle une autre vérité inénarrable et intrigante, cachant une autre facette du monde. Soutenant cette sombre et terrifiante vérité que des royaumes obscurs émergeant des obscurités régneraient, ces sombres jours finissants, sur les terres d'entre deux, ces mêmes hommes incompris refusent à croire à cette fatalité, sifflant doucement à l'oreille de ces songeurs, l'existence d'un dieu parmi les hommes, promis à un règne, encore, inexistant. C'est alors que ces songeurs, fortement intrigués, occultent, contre toute attente, ces préceptes de ces dieux capricieux, par lesquels les hommes impurs, qui ne sont pas destinés à ces terres divines, ne peuvent, ni même, avoir un dieu parmi les hommes.   

Whereas the terror, striking down this preserved part of the forest of the giant trees, that is, somewhat, blood stained, is reviving these distant memories of the dreadful universal war, the innocent progenies issuing from the illustrious creature of the darkness, while they are, suddenly, untameable, are extinguishing this vain hope at which the combatants of the skies were clinged, without remedy, to this last moment, till their last breathes. The anguishing vociferations of these monstruosities, terrorizing the brave hearts of these combatants of the skies, grabbing, till their hands are bleeding, the giant roots of these generous, in the old past, lands, while echoing noisily, through the giant aviary, are provoking qualms. The broken hearts, these same combatants of the skies, that are powerlessly observing the apparent eternal natural shield of the giant aviary, protected by giant roots during a millennial reign, breaking, under their scared eyes, are not yielding one land.     

Whereas the terror is inexorably growing on the lands caught in between, the lands perched in the skies on which the combatants of the skies issuing from the congregation of the skies have incredibly erected, in these tough moments, a new shelter for the humanity in building again, with the consent of the light, a stronghold, are not stormed yet, up to now.  At this panic striken moment when the gathered darkness covering, the ones after the other, these lands near and far away from the promised land,  is darkening the soul of these doomed combatants, the thoughtful archangels, with faces, at the same time, worried and meditative, opening thorough, under the aegis of the heavenly gods, the gates bathed into light of the celestial kingdom to these men, are discovering the ineffable truth about the evolution of the war. But, the insurmountable hardships of the men, once, overpassed by these implacable thoughful ones, this allegorical tale, gathering these smooth talkers and these appearing vociferating ones, is revealing another intriguing and unspeakable truth, hiding another face of the world. Underlining this dark and terrifying truth that the rampancy of the dark realms, emerging from the darkness, will occur in reigning, these dark ending days, over the lands caught in between, these same misunderstood men are refusing to believe at this fatality, in whispering to the ear of these thoughful ones, the existence of a god among the mankind, praised to a non existant yet reign. It's then that these highly dubitious thoughful ones are occulting, against all odds, these precepts of these capricious gods, by which the purity of the men, that is not sufficient to tread upon these divine lands, can not allow them to have a god among the men.    

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