Les rainures de clavette V / The key ways V

Après quelques temps, les orgues du mal et les cornes de brumes, enquérant les créatures bestiales et dimorphiques du diantre, le progéniteur, croupissant, depuis les temps immémoriaux, dans les sentines de l'iniquité, qui sécrète profusément une substance répugnante, en période de chaleur, emplissant cette cuve, que les suppôts de la divinité maléfique, abreuvant les arcanes de cette bastide, de telle manière que la réputation du sein des diables soit toute faite, jusqu'à terrifier, lorsque l'évocation des membres de cette secte soit faite, les exhorteurs de ces manifestations du mal, tels des sombres ignares et rejetons, ignorant le pouvoir suprême de ce progéniteur des mondes pugilistes, accentuent le climat de terreur. Bien malheureux sont ceux qui avancent vers ce trépas.

Certes, les serpes des diables et les serpettes des diablotins, enfantant des disciples du mal, écervelés, leur extirpant les vers du nez, sous la houlette d'avocats malveillants, sans scrupule, ayant eus, grâce à ces assemblées de tentateurs glandeurs, aux visages indélicats, englandant tout ce qui vaille bien, à engrosser, comme des oies, pues, gavées, jusqu'à l'engraissement, par le nourricier, imposant aux hommes de respecter les lois et les règles, des dispositions testamentaires concernant ces frivoles putassières gentes, dans le sein de ces tonlieux, n'avaient guère permis à des reculades de ces propitiateurs, avec fard, faisant des sordides cueillades de vérité, pour connaître les véritables tenailles de ces diables sur les hommes. Dans la pénombre émaillée de pierres de pouvoir, à peine, étincelantes, où, les gantés servants du roi, castes et classieux, qui apprivoisent la peur comme pour avancer, sans encombre, et qui parasitent ce monde de vices, où les cris d’orfraie dénoncent la poliorcétique de ce diantre et leurs diables, rythmant ce requiem de la mort, rejoignent, dans ces affres pénitents, les gantés limiers, ayant, toujours, été opposé à la main de fer, dont la main tenant, la férule, a bâti un monde d'esclavage. Bonnant malant, les serviteurs des rois séculiers, portant les blasons chevaleresques, et, les effets peaufinés par ces tanneurs, dont l'art raffiné des peaux de bêtes est un savoir très lointain, ayant sis, jadis, les bourgades de ces royaumes des preux chevaliers, savent qu'ils ont côtoyé le diable, en chair et en os. Malgré ces sceaux du secret, les servants du roi, dévoilent, enfin, leurs cartes du jeu, comme si le hasard pouvait être bousculé. Et la soudaineté, au détour de ces caveaux fangeux, survient lorsque l'un des castes servants du roi, déguisés, qui dérouille les écervelés et les viciés, en les pillant, décroche le médaillon de cet offenseur, ayant la jacule facile jusqu'à qu'il crache les informations, qu'il possède, à sa gueule. 

L'un des paladins : A quelques encablures de là, les velours des gants, qui ne sont que des finesses, et, des raffinements que l’œil, appréciant la subtilité, et, remarquant les défauts, peut être trompé, mais, l'esprit, saturant, jugeant le trop plein d'illusions, se rassérène en contemplant la valse des oiseaux, dans ce ciel pur. A se rapprocher de la perfection, le diable, qui en a entiché plus d'un, s'est trahi. Mais, le cygne, qui mire sur les reflets de l'eau, l'âme des personnes viciées, malfaisantes, interdiront les colombes blanches, d' accompagner les âmes vers cette paix éternelle.

L'un des offenseurs : Il y a toujours un cygne noir, dans la mare. Ô Diable, les principes des hommes et des dieux, dont la stricte application est impossible, soient entérinés.

L'un des paladins : C'est un satanée menteur !

After a while ago, the organs of the evil and the foghorns, enquiring the bestial and dysmorphic of the deuce, the progenitor, crawling, since the immemorial times, in the sinks of the iniquity, that is profusely leaking a loathing substance, during the period of heat, filling up this jar, that the agents of the malefic divinity nurture the mysteries of this strong house, in a such way that the reputation of the ship of the devils is implacable, till terrifying the reppellers of these manifestations of the evil, such as dark ignorant one and expelled ones, ignoring the supreme power of this progenitor of the pugilist worlds, are accentuating the climate of terror. The ones, who are advancing to this last obstacle, are unlucky.

Thus, the big pruning-knifes of the devils and the pruning-knifes of the impish ones, bringing forth disciples of the evil, unbrained, in extirpating the worms from the nose, under the crupper of the malefic advocates, without scrupule, having had, thanks to these gatherers of dull tempters, with undelicate faces, having relations with all that worth to be fecundated, as gooses feed, to be full, till the engreasiness, by the nurturer, imposing to the men the duty of respecting the laws and the rules, devises about these frivolous whore genders, within these places, had not permitted to the withdrawings of these disguised propitiators, doing a small harvest of truth, for knowing the true grasps of these devils over the men. In the twilight pranked with powerstones, so hardly, gleaming, where, the gloved servants of the king, classy, that are taming the fear as for advancing, without hitch, and that are attempting to disjonct this world of vices, where, the yellings denounce the art of decimating of this deuce and their devils, pacing the requiem of the death, are joining, in these penitent throes, the gloved sleuths, having been, always, opposed to the iron hand, of which the hand holding the iron rod, has forged a world of slavery. As the story goes, the servants of the secular kings, bearing the knights's escutcheons, and, the effects embellished by these skin markers, of which the redefining art of the skins of beasts is a knowledge from the very distant past, having, sieged, in the olden times, the small towns of these kingdoms of these brave knights, acknowledge that they have greeted the devil, in flesh and bones. In spite of these adornments of secrecy, the servants of the king are disclosing, in fine, the cards of the game, as if the luck can be reversed. Nad the suddeness, at the twist of these muddy caves, is operating, while one of the classy servants of the king, disguised, that is hitting down the unbrained and the vitiated ones, in stealing them, is snatching the medal of this offencer, having the easy thrill, for that he spits out the informations, that he possesses, to his face.

One of the paladins : From a short distance away from there, the velvets of the glooves, that are only finesse, and, embellishments, that the eye, appreciating the subtilities, and, noting down the defaults, can be fooled, but, the mind judging the overnumbered illusions, is strengthening in contemplating the dance of the birds, in this pure sky. Getting close to the perfection, the devil, who has enticed more than one, has betrayed himself. But, the swan, that gazes upon the reflections of the water, the soul of the viciated, mischievous persons, will not allow the white dove of accompanying the souls to the eternal peace.

One of the offencers :  there is always a black swan, in the swamp. Devil, the principles of the men and the gods, of which the strict application is impossible, are buried.

One of the paladins : It's the deuce of the liars.

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