La bourse aux armes VII / The bargains of the weapons VII

Aux mêmes emmanchures, les mitonneries de cette consoeurerie, reconnue pour donner des forts héritiers aux rois, se succédant aux trônes, subissant l'oppression injustifiée du pouvoir décadent des rois séculiers, secrètement gardés, à travers les âges, par ces plénipotentiaires, qui rôdent, à travers les buissons et les rosiers épineux de ces jardins des cours royales, les nuits où les hiboux sont de la partie, afin d'y entretoiser les allées et les venues de ces noceurs, ces ménestrels et ces ministres vers les prétoires enfouis dans les mondes cachés, où, des prétoriens, allégeant le fard de ces monstruosités, qui servent à terroriser les âmes, reconnaissent, sans équivoque, les œuvres empoisonneuses de la nature, sans apporter ces vérités à la lumière, sont maudites par ces paladins et ces héraldistes, qui avaient auguré le pire, à partir de ces noces scandaleuses et anxiogènes, enfiévrant les bourgs et les bourgades de ce royaume condamné au déclin, et, qui avaient accrédité la thèse d'une existante filiation d'avec le diable.   

Pendant que les centuries de fantassins, hissant, à bout de force, les rutilants canons de lumière sur les champs de la dévastation, mollissent, sur ces plaines recouvertes d'ombres monstrueuses, les moines ascètes, qui avaient saccadement veillé, durant des âges, la quiétude, à l'intérieur de ces conciles, qu'aucun rejeton, et qu'aucun enfant orphelin ne soit abandonné à son triste sort, avaient lu sur les lèvres couturées de ces morfondeuses bannies, à l'image des monstres, tels des céphalopodes, jouant des pieds et des mains, pour obtenir, enfin, la pitié de ces prêcheurs malléables, n'ignorant guère l'existence de ces enfants prophétiques, ayant des royaumes, à leur merci, jusqu'à reconnaître distinctement les protectorats de ces divinités sourdes. Mais, il n'y a fallu que quelques moments d'égarement pour que ces gorgones vilaines et modestes, recelant des secrets indivulguables à propos de la naissance forcée de ces enfants, voués à se faire la guerre, à être rivaux, bourrent le crâne de ces borgnes, dont les vilaines balafres, sur leurs visages indélicats, aspirent à se confier, contrairement à ce qui est prescrit, en, ainsi, dépassant l'entendement, qui ont la mainmise sur le fils de l'homme devenu dieu, le véritable immaculé de conception. Au même moment, les propitiateurs pinailleurs, qui fouissent, sous terre, les preuves irréfutables et indéniables, que des enfants des ténèbres aient retourné au giron, lors de ces tintinnabulements, jusqu'à feindre l'existence de ces pèlerins, tels que les illustres gardiens claniques des sauriens, Hyaloïde et Hyoïd, tels des salamandres aux peaux bronzes, lancés à l'abordage de ces confins, trop longtemps, cloîtrés, tout en veillant, d'un œil vivace, sur l'une des progénitures du mal, ayant cette fâcheuse facuité de son géniteur. Tout était obscur jusque ici, jusqu'à que les paladins espiègles, qui avaient croisé, à différentes mésaventures, sur les routes ocres, ces malpropitiateurs, dont les omissions les ont précipités vers une débâcle à venir, n'avaient guère pu organiser de concertation d'avec ces, dorénavant, adjoints. Et, tout à soudain, les queues de ces salamandres, fouettant les flammes de feu, et, tisonnant les brandons incandescents, éparpillés dans ces bûchers, redonnent espoir à ces hommes ficelés à des bûches de bois, destinés à rôtir, lorsque le décrochage de cet appât, le pariah, lancé par des diables, et, des diablotins, sans scrupule, languissant infiniment dans l'obscurité de ces diantres, pour que ces sauriens mordent, enfin, à l'hameçon, après avoir fait des merveilles, jusqu’à attirer toute une hostie de dieux maléfiques, de suppôts du mal, de monstres, de démons, et, des ministres et leurs ménestrels s'opère, dans le pandémonium, devant les yeux des dévoreurs des mondes.   

At the about-turns, the simmerings of this sisterhood, known for giving strong heirs to the kings, succeeding to the thrones, suffering from the unjustified oppression of the decaying secular kings, secretly guarded, through the ages, by these plenipotentiary ones, that are prowling, through the undergrowths and the epinous bunches of roses of these gardens of the royal courtyard, the nights, during which the owls are in the game, in order to catch the glimpse of the fro and troth of these dissipateds ones, these minstrels and these ministers towards the places buried in the hidden worlds, where, praetorians, unblemishing the mask of these monstrosities, that are serving to terrorize the souls, are acknowledging, unequivocally, the poisoning works of the nature, without bringing these truths to the light, are accursed by these paladins and these heraldists, that had omened the worst, from these scandalous and worrying nights, plague stricking the towns and the small towns of these prone to decline kingdom,  and, that had given credentials to the thesis of an existing bonds with the devil.    

Whereas the centuries of infantrymen, hoisting up, out of strength, the shimmering cannons of light on the fieds of the devastation, are mollishing on these plains covered with grisly shadows, the claustral monks, that had veiled, by leaps, for the ages, the quietness, inside these councils, that none orphaned child is abandoned to his sad fate, had read on the seamed lips of these mourning ones, banished, in the guise of monsters, such as crawling ones, playing with their feets and theirs hands, for obtaining, in fine, the pity of these puppet preachers, in not ignoring the existence of these prodigal children, having realms to their mercy, till recognizing distinctively the guardianships of these deafened divinities. But, it has only needed few minutes of disarray for that these villain and modest gorgones, hiding untellable secrets about the birth of the forced birth of these children, fated to fight against each other, to be in duel, are putting false ideas into the skull of these borgnated ones, of which the awful wounds, on their undelicate faces, are aspiring to the confession, contrary to what should be prescribed, in, so, going beyond the understanding, that are guarding the son of the man becam god, the true immaculated conception. At the same time, the opining ones, that are burying, under the ground, the undeniable proofs that children of the darkness have returned to the fold, during these big stirs, till feigning the existence of these pilgrimers, such as the illustrious clannish guardians of the saurians, Hyaloid and Hyod, such as salamanders with bronzed skins, eager to the bordering of these confines, too long, closed, in veiling, with a lively eye, on one of the children of the evil, having this angry power of his genitor. Everything was obscured, up to there, the farseeing paladins, that had crossed through the ochrel roads of these ill propitiators, of which the mistakes have precipitated them to an upcoming mishap, could not have organized conciliatory parleys with these, from now on, adjoiners. And, all of a sudden, the tails of these salamanders, wagging the fire flames, and, stirring up the incandescent embers, littered in these piles of woods, are giving hope to these men tied to woods, fated to be roasted, while the unhooking of this bait, the paria, launched by the unscrupulous devils and the impish ones, in languishing everlastingly in the darkness of these deuces, for that these saurians do bite, in fine, the piece of foolishness, after having done wonders, till attracting a host of malefic gods, agents of the devil, of monsters, and, of demons, ministers and their minstrels, is being operated, in the pandemomium, in front of the eyes of the devorers of the worlds.    

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