Le léviathan IV / The leviathan IV

Tandis que les pustules sur les créatures des mares de fièvres, bouilleuses, gisant, depuis bien longtemps, dans ces mares nauséabondes, effraient nullement les quelques guérisseuses vagabondes, quelque peu, réticentes à pavoiser, parmi les être déchus, nécessitant plumassier, pour les revêtir d'une couverture apprêtée à cet effet, désireuses, tout de même, de prêter main forte, lorsque les mages sonnailleurs, tirent leur révérence, comme catastrophés, les bastions des bardés de fer, telles des citadelles prédatrices, qui sont fières à inféoder les bourgs révérenciels, dévastés par la guerre, où, squattent subrepticement des escadrons de soldats, en tout genre, habitués aux assommoirs, s'interpénètrent, à proximité de ces antres remplis d'houilles, en y retoquant, avec une virulence telle que les gambadements des brebis égarés, les promenades nocturnes des fouineurs, et, les cabrioles des noceurs, ayant palanqués ces lieux d'interdits, soient rapidement d'anciens souvenirs, ceux dont la place n'est guère à cet endroit d'éhonterie. C'est alors que le couvage de ces sortis des mares de fièvres laisse coi les séraphins, en quête de réponses, les mages et, maintenant, les anges déchus, sur la voie de la guérison psychique, ayant bravotés les quelques marmailles, qui obstruaient hideusement leurs chemins jusqu'à les tenailles du mal les fassent, enfin, se courber, à cet endroit, jusqu'à plisser leurs ailes, prêtes à arracher. Et, les douilles, au sol, qui témoignent de l'horreur, allant des giclées de sang au bain de sang, sont encore chaudes, dans les mains graciles de ces anges déchus, quelque peu, mièvres. Ainsi, la fermeté de l'ange, à la vue de ces scénettes, qui prennent aux tripes, révèle, par des mots, à demi teinte, à l'oreille d'un des séraphins, grivoisants et au sourire jaune, et, aux crampes paralysantes, tentant, tout de même, de dédramatiser la situation, comme si les célestes pouvaient soigner toutes les plaies, l’instigateur, par présomption, à l'origine de ces crimes odieux.   

L'un des séraphins : Tout cela est un spectacle de l'horreur, auquel les vacarmes des gorgons balourds, les martèlements des nains, les jacasseries des gnomes, les essouchages requis par le druide barbu, les redondes des grosses cloches assistées des clochetants, jusqu'au tintement du clocher, opéré par les pâtres, à travers les pastorales paysages, remplis d'obèles, n'avaient pas, à aucun moment, démontré que ces monstres farcis étaient immangeables. 

L'un des anges déchus : Les dieux capricieux et facétieux, y compris les protecteurs des terres comblées d'horreur, courent un risque, encore plus grand. Mais, me voilà, dans ces accoutrements, sans fard, qui m’empêchent de pérorer, devant les seigneurs.

L'un des séraphins : Un des monstres entichés, selon les révélations intrompables, tenant, comme à la prunelle de ses yeux, à ces demoiselles, aux odeurs de mamelles laiteuses, doit rejoindre les seigneurs des guerres. Du côté du bien ou du mal, nous saurons, dès lors, qu'il sera devant elle.

Whereas the rednesses on the creatures of the fever swamps, having scattered, since a long time, in these putrescent swamps, are not frigthening the few healers errants, somewhat, scared to parade, among the fallen beings, needing a feather master, for wearing them with a cover weaved for this effect, desiring, anyway, to giving a helping hand, while the forever ringing bells maguses, are giving the curtsey, as doomed, the bastions of the case set iron ones, such as predator citadels, that are proud to infeodate the reverencial towns, devastated by the war, where, the squadrons of soldiers, in all kinds, habituated to deathlike places, are clandetinely occupying, are interpenetrating, close by these dens full of black substances, in summoning up, with virulence such as the steepings of the disoriented goats, the nocturnal walkings of the rodents, and, the agitation of the night lovers, having flanked these forbidden places, are quickly distant past memories, the ones of which the place is not the place where the shame grows. It is then that the covering of these ones out from the fever swamps, let silent the seraphins, in quest for truths, the maguses, and, now, the fallen angels, in the way of a psychic healing, having braved the few horrible things, that hideously obfuscated their paths till that the grippings of the evil are making, finally bent down, at this place, till folding their wings, ready to be pulled off. And, the metal caps, on the ground, that wistness the horror, from the blood spurts out to the bloodshed, are still hot, in the slendering hands of these fallen angels, somewhat, idle. Thus, the firmness of the angel, seeing this scenes, that grasp the stomach, is revealing, by muddled words, to the ear of one of the greying seraphims, with paralysing side effects, attempting, by anyways, to soften the situation, as if the celestials might heal all the wounds, the instigator, by presumption, originating these odious crimes. 

One of the seraphims : All that is a spectacle of horror, at which the boomings of the lout gorgons, the hammerings of the dwarves, the talkings of the gnoms, the delousing required by the barbu druid, the redondancy of the big bells assisted by the ringing bells ones, up to the ringing of the bell, operated by the herdman, across the landscapes full of bells, had not, at any moment, demonstrated that these engrossed monsters were uneatable.

One of the fallen angels : The capricious and facetious gods, including the protectors of the soil full of horror, are endangered, in taking into acocunt the risk, even more higher. But, here I am, in these  disguisements, without blemishing, that not allow him to fare forth any further, till warning the lords. 

One of the seraphims : One of the monsters enticed, according to the unfooling revelations, holding, as the plum of their eyes, these ladies, with odors of udders, has to join the warlords. From the good side or the bad side, we will know, when, he will be in front of her.   

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