Le léviathan V / The leviathan V

Or, les vaguelettes noires provenues de ces mares de fièvres obscurcies, où, la décomposition de ces corps cadavériques est avancée, refluent imprévisiblement aux pieds calleux, aux espadrilles et aux lacets ternis, de ces anges du protectorat, irradiant, encore, après tout ce temps passé, dans les ténèbres, de bonté, ayant des morbidités, en quête d'une nouvelle chance, devant ces taquins et soulagés séraphins, broyant du noir, et, espérant revoir des constellations, dans les ciels étoilés, comme jadis. Hormis le fait qu'elle soit quasi dépecée de ses ailes protectrices, prêtes à être arrachées, lors d'un moment de libération ou un moment de torpeur, l'ange décalqué et chassé, aux visages brunis et contusionnés, tarabuste, comme une pie jouvencelle, ces plaies comme si l'eau de vie modeste était, dès lors, suffisante pour la faire revivre.    

L'un des anges : L'oracle a-t-il sa place parmi ces ordres sertissant ces mondes sombres, aux deux aspects ? Les tissus de mensonges piqués par ces rombières et ces langues de vipères, aux venins empoisonnant l'existence des gens biens doivent êtres déficelés, par une de ces fileuses des destins, dont la voix semble si fade, maintenant que les dieux changent le destin de quelques gueux et quelques bâtards.  

Tandis que la nébuleuse bleue, qui ne montre, qu'à une distance très lointaine, qu'uniquement quelques éclats inouïs et bleutés, suffisamment pour mettre en émoi tous les quasi convaincus, qu'une force astrale, sous une forme méconnue, menacée par l'extinction de masse, apportera quintessentiellement et, avec suspense, la vie autre part, que, dans ces planètes mourantes, égrène les journées imperturbables des robots du froid permanent et de la glaciation, jusqu'à faire courir les plus folles rumeurs, parmi tous les pays visités, qui sont curieusement prémunis de la grande fièvre, où, il y a des prédicats, l'éphémère réjouissance, dans l'un des petits mondes fermés, reposant dans l'un de ces ressacs perdus des confins souterrains, n'a guère été relevé, de la manière dont les gnomes puérils et, quelques fois, enfantins, apprenant étrangement des nouvelles, qui ne sont guère à la portée de tous, assis, à même le sol, sur le nef, de ces cathédrales de pierre, et, de religion cosmique, l'avaient épaississe pour rendre congrue leur conviction, envers et contre tout. Mais, à la tare et à la manie quêteuse de jouer s'ajoutent des prémonitions de guerre et superstitions de mort, auxquelles les pédagogues dévots de la lumière et les prédicateurs ne peuvent guère désaffabuler, sans risquer de perdre leur influence bonificatrice, sur eux, jusqu'à alors, à leur merci. Et soudain, l'un des gnomes, pour la plupart, philistins, tel un démagogue proclamé, soupesant honnêtement ses mots, évoque l’agrandissement de cet ancien monde des nixes, jusqu'à ouvrir des perspectives insoupçonnables. Bien que ce clan gnomique, partagé entre de variés et distincts petits mondes de lumière, au bord desquels des nixes, qui sont toujours présents, tarissent, tout comme ces séraphins guillerettes, qui décorent de glyphes leurs armes séraphines, sont également accaparées par la guerre, est assis sur une richesse de savoirs, les choses de la vérité perçues, qui sont, outre, affables, lorsque l'émotion manipulée enjoint une pensée nuancée, teintée par des omniprésentes pensées sombres, sous-entendent des choses mauvaises, qui peuvent choquées, et, restreintes la pensée cognitive et conative, comme si la vérité ne pouvait, en aucun cas, être savourée, à pleine bouche, lorsque les donations de fruits de vérité, jusqu'à alors, blettis et, aux insoupçonnables vérités, apostrophant, à chaque morsure, puis, goulue bouchée, les moines ascètes, les dévots et les prédicateurs, de passage, reconnaissant, du mieux qu'ils peuvent, l'iniquité, révèlent instantanément les goûts âpres de ces nectars, qui seront sucés, et, les chairs, seront mastiquées par des cruels monstres, qui affroidissant les ardeurs de ces commanderies, en devenir, dont la prescience des choses, qui n'est qu'une science d'à peu près, est mise à rude d'épreuve, entre poison et pièges mentaux. C'est alors qu'un des moines pense à haute voix, jusqu'à bouche bée l'assemblée de cet concile, espérant à une embellie.  

L'un des moines : Mais, alors, la fièvre annihile cette capacité de contestation, et, de contradiction. Ils ne digèrent pas les nouvelles, comme à leur habitude, après que ces pensées soient détriturées, jusqu'à amener à une certitude raisonnable. Ils perdent la notion de sagesse.

L'un des gnomes : Serait-ce un moyen d'empêcher d'acquérir de nouvelles pensées ?

Et le bref moment survient lorsque des connaisseurs des ténèbres et des bombardiers, qui rejoignent l'assemblée, en apportant une pierre à cet édifice de savoir, discourent, tels des orateurs, alors qu'ils n'avaient recours qu'à la force.

L'un des connaisseurs des ténèbres : Les milices utilisent ce type de traqueurs pour abrutir les bêtes !

L'un des bombardiers : La lumière doit être faite sur ces zones d'ombres, témoignant qu'une guerre insidieuse entre les intelligences de ce monde, entre les révélateurs et les dissimulateurs, se joue, en ce moment.

Hence, the small dark waves came from these darkened fever swamps, where, the decomposition of these deathlike bodies is advanced, are nightcastingly steeping in the feets, wight hard callosities, with tarnished uncovered shoes and fleeces, of these angels from the protectorate, irradiating, again, after all this time liveth in the darkness, with goodness, having morbidities, in quest for a new chance, in front of these playful and relieved seraphims, eating the grass, and, hoping for seeing back constellations, in the starred skies as before. Excepting the fact that she is half outboned from her protective wings, ready to be taken off, during a moment of liberation or a moment of torpor, the overshadowed and hunted angel, with brunished and bruised faces, is upbraiding, as a faithful youngling, these plagues as if the modest water of life was, even since then, enough for making her relieve.  

One of the angels : Has the oracle its place amongst these orders incrusting these dark worlds, with both aspects ? The covers of lies piked by these polite ladies and these vipers' tongues, with venom poisoning the existence of the good persons have to be untrodden, by one of these threaders of the destinies, of which the voice seems so faded, now that the gods change the destiny of few dull ones and few bastards.    

Whereas the blue nebula, that is showing, at a very far away distance, only uniquely few bluish dazzling sparkles, enoughly for putting in agog all the quasi convinced ones, that an astral force, under an unindentified form, threaten by the extinction of mass, will quintessentially bring suspenseful the life elsewhere, than, in these dying planets, is dotting the undisturbing journeys of the robots from the permanent frost, till making run the mad rumours, among all the visited lands, that are curiously premunized from the big fever, where, there is predicating things, the ephemeral beaming, in one of the little closed worlds, in one of these bags lost in the underground confines, has not been noted down, such as the pueril and, sometimes, childlish gnoms, listening oddly news, that is not convuluted to any public, besieged, on the soil, on the alley of these cathedral of stones, and, of cosmic religion, had thickened it for making congruous their conviction, towards everything. But, to the latency and to the questing endevour of playing to apply, on their arms, are added war premonitions and death superstitions at which the teaching devotees of the light and the predicating ones can not unfooled, without risking to lose their great influence over them, henceforth, at their mercy. And, sudden, one of the gnoms, for most of them, alike cultured ones, such as a proclaimed idiomatist, weighing honestly his words, is evoking the growing of this ancient world of the nixies, till opening new unbearable forecasting. Although this clan of gnoms, shared between variegated and distinctive little worlds of light, at the edge of which the nixies prolifically lie in, such as these seraphims, that ornate with glyphs their seraphim's weapons, are also plodding on with the cause of the war, are sitting down a richness of knowledge, the perceived things of the truth, that are, moreover, speakable, while the manipulated emotion joins the shading thought, tainted by always dark thoughts, are producing bad thought, that can shock, and restreint the conitive anf conative thought, as if the truth can not be savoured, in full mouth, while, the donations of fruits of the truth, thenceforard, sleepy and, with unsuspected truths, flabbergasting, at each bite, then, gulping mouthful, the claustral monks, the devotees and the predicating ones, in crossing, acknowledging, as well as they can, the iniquity, are instantaneously the changed tastes of these nectars, thath would be sucked, and, the flesh would be bitten by cruel monsters, that are cooling the ardours of these commanderships, in making, of which the prescience of the things, that is only a almost science, is at test, between poison and mental traps. It is then that one of the monks is thinking out loud, in crestfalling the gathering of this council, hoping for better days.  

One of the monks : But, then, the fever annihilates this capacity of protest. They do not digest the news, as usual after having tousled their thoughts, till leading to the resasonable path of truth. They are losing sense of wisdom. 

One of the gnoms : Would it be a way to brain to acquire new knowledges ?

And, the brief moment is happening when connoisseurs of the darkness and bombermen, that are joining the assembly, in bringing a stone to the edifice of knowledge, are arguing, such as orators, while they used to have recourse to the strength. 

One of the connoisseurs of the darkness : The military groups have used this kind of beacons for dumbing the beasts !

One of the bombermen : We should shed light on this hollow areas, witnessing an insidious war between the intelligences of this world, between the revelateurs and the dissimulateurs, is at stake, at this moment.

Les textes et les images ne sont pas libres de droit. Merci de contacter l'auteur. The texts and images are not free of right. Please contact the author.